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Journal - Page 26

  • La lutte des classes

    Des voisins plus riches

    Des gens qui vivent dans des petits pavillons plus chics

    La lutte des classes comme un jardin

    Une table de ping pong

    Une chambre pour chacun

    Une cheminée dans le grand salon

    Une voiture neuve

    Un frigo plein

    Des vacances été hiver

    De chouettes habits

     

    [ Pascal Bouaziz, Mendelson, Barbara 1983 ]

     

     

    Millions de vies cachées dans des maisons de tôle

     

    [ Gérard Manset, Que deviens tu ? ]

     

     

    En introduction du roman Les Lisières, d’Olivier Adam

     

    Vous m’direz – et vous aurez raison…

    « C’est ça l’ordre du monde, on y changera jamais rien, ça a toujours marché comme ça »…

    Sauf que…

    Soit on est du bon côté de la barrière, soit on est du mauvais côté…

     

    Mais… Qu’est-ce que le bon côté ?

     

    Ta maison qui brûle dans un incendie, te voilà à la rue avec juste sur toi ce que t’as sur le dos, pas même ton portefeuille ni même ton smartphone (enfin si, quand même peut-être) ni ton ordinateur et tes albums photos partis en fumée

    Un cancer ou quelque vacherie que t’as chopé alors que tu fumais pas, que tu bouffais bio et que tu buvais que du Perrier

    Ta femme qui te quitte

    Tes mômes que tu vois plus

    T’es viré de ton boulot

     

    Que ta maison soit de tôles – dans ce cas t’en referas vite une autre de mêmes tôles

    Ou que tu vives dans un petit pavillon plus chic que celui de ton voisin…

     

    La lutte des classes…

    Oui mais…

    Monsieur Ouragan ou Madame Cyclone

    Ou perfide crapaud dans tes entrailles…

     

    Elle devient, la lutte des classes, scoumoune à tous les niveaux sociaux, à toutes les conditions humaines…

    Quand rugit Monsieur Ouragan

    Quand s’imiscie perfide crapaud quelque part dans tes entrailles…

     

     

  • La Culture en berne... Mais aussi en déshérence

    La Culture est en berne faute de budgets rétrécis mais les festivals d’été, gros et petits, pullulent et attirent des foules…

    Les plus gros, ceux d’Avignon pour le théâtre – en « in et en off » - de La Rochelle avec les Franco-folies, de Belfort avec les Eurokéennes, d’Aurillac du Théâtre et des Artistes de la rue, de Musicalarue à Luxey dans les Landes…

    Jusqu’aux plus petits un peu partout en France, les uns n’étant que d’importants marchés locaux et festifs avec diverses animations de musique et de danse sur fond de fête foraine, les autres plus « thématiques »…

     

    La gratuité – de certains de ces festivals- entrée et spectacles, n’est plus de mise – du moins pour la plupart d’entre eux – les billets d’année en année devenant de plus en plus chers – de l’ordre de 20 à 50 euros ou davantage selon l’importance et selon la notoriété du festival ; billets s’achetant en majorité par internet… Il faut dire qu’avec la réduction des budgets et des subventions – de l’État, de la Région – le financement repose désormais en grande partie sur le nombre d’entrées payantes et donc sur les spectateurs – les festivaliers…

     

    Ils ont tous – en gros- les mêmes caractéristiques, ces grands et petits « festivaux » :

     

    Toute une « constellation » d’artistes et de producteurs dont le succès a surtout été assuré par Youtube – des milliers de « followers » - tous « anti système », de « Gauche du Grand Soir », anti extrême droite (ça oui, j’adhère), mais « pro palestine libre » et « très couscous de l’amitié avec nos amis musulmans » - mais cela dit, y’a pas un seul musulman dans le festival- tous (les chanteurs et les musiciens) créateurs d’albums plébiscités sur les réseaux sociaux, et les autres, tous les autres (comédiens, artistes de scène publique, peintres, amuseurs, comiques, caricaturistes, culturistes de « haute voltige » splendidement musclés), héros du jour sur Instagram et sur Facebook…

     

    Et toutes ces « constellations » d’artistes et de « créateurs » - notez les guillemets parce que souvent la « création » est soutenue par la technologie et par l’Intelligence Artificielle – voisine avec toute une jeunesse et une « moins jeunesse » (des rassis – la cinquantaine confortable fringuée aux modes nouvelles et branchée – anti Rassemblement National, pro Macron ou pro Multi Gauche, parfois LR ou Modem… Jusqu’à même ceux de ces « rassis » - aux revenus mensuels confortables- qui se posent en « intellectuels anarchistes » (« pseudo anarchistes en vérité »)… Et qui presque tous « ont publié en ligne » quelque roman ou essai – ou publié à compte d’auteur…

     

    Tout ce monde là accro de dope – haschish, marijuana, cocaïne – ou vape fruitée ou clope de contrebande ; souvent alcoolisée, guincheuse en « boîte à ciel ouvert », tous et toutes,deux, trois fois concubinés ou remariés ou re-avec quelqu’un…

     

    Les festivals les festivaux – de nos récents et prochains étés – sont faits de « tout ce monde là » artistes et festivaliers confondus… Vivant à mille lieues du « commun des mortels » qui lui, par millions dans notre pays la France, passe sa vie à « galérer » dans son travail, ses soucis d’arriver à la fin du mois, ses problèmes de santé, ses drames, ses déboires et qui lui, n’est pas sur Youtube, n’écrit pas de bouquin (bon c’est vrai, il se shoote aussi, vape, pinte, clope aussi… Mais pas dans le même état d’esprit que les « in et les off » des festivaux !)

     

    La « nouveauté » - phénomène récent de société qui va s’accroître dans les prochaines années – ce sont ces bandes de casseurs, ces déchaînements de violence, qui viennent perturber tous ces « festivaux » notamment à partir d’une certaine heure dans la nuit… Et qui se sont substituées, ces bandes de casseurs et de perturbateurs ultra violents, aux punks et aux marginaux à chiens que l’on voyait avant 2020, et qui eux, « ne faisaient de mal à personne » (juste qu’on les trouvait gênants)…

     

     

  • GPA et PMA

    Gabriel Attal – il ne doit pas être le seul – envisage de proposer la légalisation de la GPA (gestation par autrui - l’« autrui » ne pouvant être qu’une femme… Et en bon iconoclaste que je suis je dirais « autruie » en pensant à une truie qui serait inséminée par du sperme – reste à savoir combien de temps alors durerait la gestation d’un bébé humain « mâtiné de cochon » dans le ventre d’une truie… Peut-être que, vu les similitudes organiques (même appareil digestif, intelligence « comparable » entre l’humain et le porc) « ça prendrait »… (rire)…

    Déjà « on voit d’un bon œil » la PMA ( procréation médicalement assistée) qui serait « moins immorable » et donc « plus acceptable » que la GPA…

    Jusque dans le dernier quart du 20ème siècle – et pour « dire les choses sans risquer de se tromper » - au 19ème siècle et avant – on peut « remonter jusqu’aux Solutréens qui vivaient dans des cavernes en Dordogne il y a vingt mille ans »… Quand une femme ne pouvait avoir de bébé, qu’un couple devait se résoudre à passer sa vie sans enfant (stérilité de l’un ou de l’autre)… C’était inéluctable, « il fallait s’y faire », c’était comme de naître avec un pied bot ou avec une infirmité de naissance avec laquelle on passait sa vie… « Point barre »…

    Et si « vraiment/vraiment » on voulait quand-même/quand-même un gosse, eh bien on en adoptait un…

    On ne « forçait pas la nature »…

    Bon, cela dit… « En bon iconoclaste que je suis »… « Gestation par une truie » ça implique que la truie sera forcément désintéréssée ( et qu’elle ne portera pas le bébé humain « mâtiné de cochon » pour de l’argent, comme le ferait peut-être pour ne pas dire sans doute une mère Sri-lankaise)… (re-rire)…

    Tiens - « re-re-rire encore »… Pour un musulman – même modéré – la gestation par une truie c’est le summum du Péché ! (bien pire qu’un couscous au porc!)…

     

     

  • Pour être clair et net

    Le couscous de l’amitié avec amis musulmans et femmes voilées ou portant autour de la tête et sur les épaules le foulard islamique, organisé par soit le parti communiste local, soit la section LFI du coin ou encore par la section Lutte Ouvrière ou du Parti anticapitaliste… Je n’adhère pas ! … Ce n’est pas « mon genre »…

     

    Ce « putain d’couscous » en bon et irréductible iconoclaste que je suis, je le verrais bien avec des saucisses de Toulouse, des côtes de porc et de la pièce fumée vosgienne ! (rire insolent)…

     

    Il fut un temps – bien avant les premiers attentats islamistes- dans la France du Général De Gaulle et de Georges Pompidou – et même jusqu’à Jacques Chirac – où au premier tour des élections présidentielles, je votai pour l’un ou l’autre des deux candidats d’extrême gauche… Mais plus depuis 2017 c’est sûr !

     

     

     

    Le couscous ? Il reste l’un de mes plats préférés – avec le cochon de lait à la broche… C’est même, le couscous, le seul plat que je sais cuisiner « avec brio », et n’étant en aucune façon un « culinaire passionné de recettes de cuisine », ne m’achetez jamais pour mon anniversaire un livre de cuisine…

     

    Donc, pas de couscous de l’amitié avec des amis musulmans !

     

    Pour autant, ne votant plus pour Philippe Poutou et ayant été par le passé du temps de mes 30/40 ans, une sorte de « communiste dissident » (c’est à dire plus ou moins dans un ordre d’idée proche du Parti communiste mais sans y adhérer et sans applaudir et dire amen aux directives du Parti) … Je porte un regard horrifié au Rassemblement National ex Front National, pour lequel je ne voterai jamais ; un regard « très critique » pour les partis en place au pouvoir – Droite classique, Gauche bon teint, Gauche « rose foncé » tout cela dans un « méli-mélo » qui « ne ressemble plus à rien »…

     

    Un état Palestinien ? J’y serais favorable mais à condition que cet état Palestinein soit un état républicain, démocratique et laïque, donc sans le Hamas – qui aurait été totalement éliminé… Et aussi dans la mesure où cet état Palestinien aurait une société – une population- sans contact avec Israël (chacun chez soi) sauf dans le cas d’une relation d’ordre « purement artistique et littéraire » entre gens « de science et de culture » pouvant collaborer ensemble, du fait que la Science, que la Culture, que l’Art et la Littérature sont « au dessus » des idéologies, des religions, des partis, des différences de modes de vie, de croyances, de sensibilités, et des courants d’opinion publique plus ou moins majoritaires et « niveleurs »…

    Ce qui est totalement contraire à un Islam rigoriste pro charia pro versets jihadistes du coran et ennemi juré de la littérature, de l’art et de la science sans Dieu…

     

    Dieu, Allah, et le jihad : FUCK ! Vive Néandertal, les dinosaures, le Big Bang, la Longueur de Planck, les poètes, les penseurs, les « immortels » de la littérature, de la peinture, de la musique, de la « caricaturire , de la physique quantique, de l’Histoire sans arrangement, de la Géographie de la Terre et de l’Univers…

     

     

     

  • Que vaut un BAC aujourd'hui en France ?

    L’absurdité ou si l’on veut (et « on le veut ») le non sens aussi désolant qu’absolu de ce que « vaut » un BAC aujourd’hui en France à la fin de la classe terminale des lycées… C’est qu’un candidat ou une candidate puisse obtenir une moyenne supérieure à 20 sur 20 !

     

    Par exemple Léa Robinet, lycéenne à Andernos, avec une moyenne au BAC de 20,23 sur 20 ; devenue étudiante à Science-Po à Paris…

    Je conteste, j’invalide, je nie – farouchement et avec un bras d’honneur en m’en bleuir le creux du coude – la « validité » de ce BAC obtenu par cette lycéenne avec 20,23 sur 20 de moyenne ! Un non sens !

     

    Et que dire, alors, également, d’un BAC obtenu avec 10,23 sur 20 de moyenne ? Et de la « fête » - toute la famille, les amis, les copains, les connaissances- avec champagne, apéro géant et grand repas de 30/40 personnes- pour célébrer dans l’allégresse une « réussite » au BAC de tout juste 10 de moyenne (donc sans mention)…

    Rappelons qu’au BAC en France actuellement, le taux de réussite (de reçus) est de 95,7 % !

     

    Avec un BEPC de 1964 que j’ai obtenu après avoir été Prix d’Excellence en fin de classe de Troisième au Lycée Victor Duruy de Mont de Marsan ; et sans autre diplôme que ce BEPC… Je fais figure de « peigne-cul » (rire)…