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Journal - Page 27

  • L'atmosphère de la Terre

    L’air que nous respirons est composé de :

    78 % d’azote

    21 % d’oxygène

    Et les 1 % restants sont de l’argon, du dioxyde de carbone, de l’hélium, du néon, du krypton, du radon ; de la vapeur d’eau, de l’hydrogène, des particules solides et liquides en suspension, des poussières fines, des cristaux salins, des pollens, du méthane…

    La vie sur notre planète la Terre (les êtres vivants c’est à dire les humains, les animaux et les végétaux) a pour dénominateur commun ou caractéristique commune la respiration, et dans la respiration l’absorption de l’oxygène.

    Donc les 21 % d’oxygène que contient l’air ambiant sont essentiels à la vie sur Terre… Et, pour qu’il y ait de l’oxygène il faut de l’air, soit sur la Terre une atmosphère qui contient de l’oxygène.



    Si la vie existe ailleurs que sur la Terre, soit dans notre galaxie la Voie Lactée, soit dans d’autres galaxies… Sans doute retrouverait-on le même principe (le même dénominateur commun soit celui d’une atmosphère qui contiendrait un pourcentage d’oxygène comparable à celui de la Terre) et donc des êtres vivants respirant…

    L’eau (molécule d’eau composée de 2 atomes d’hydrogène et d’1 atome d’oxygène) contenant donc de l’oxygène, permet à la vie d’exister, et à des êtres vivants de respirer…

    Cependant, la vie peut exister sans présence d’oxygène : ainsi sur la Terre il y a 2,5 milliards d’années, quand il n’y avait dans l’atmosphère et dans les océans, que très peu d’oxygène- voire étaient dépourvus d’oxygène- (essentiellement de l’azote, du méthane et du gaz carbonique) des formes de vie telles que des bactéries, utilisaient pour survivre du souffre, de l’arsenic, par exmple…

    Reste à savoir comment « respiraient » alors ces êtres vivants (bactéries) ? Car la respiration – ou ce qui lui est équivalent- est nécessaire…



    Le principe de la respiration c’est d’inspirer, puis d’expirer selon un mouvement perpétuel et régulier, l’organe de la respiration étant les poumons, le moyen de la respiration le nez (les narines et la bouche) pour les humains et les animaux qui ne vivent pas dans l’eau ; et pour les animaux qui vivent dans l’eau, les poumons aussi, mais les branchies (avec la séparation de l’hydrogène et de l’oxygène et la récupération de l’oxygène)…

    Pour les végétaux la respiration se fait de deux manières associées ou liées en un cycle :

    La respiration cellulaire par absorption continue jour et nuit, d’oxygène et de rejet du gaz carbonique et de vapeur d’eau ; et par photosynthèse uniquement le jour en présence de la lumière en absorbant du gaz carbonique et en rejetant de l’oxygène et de la vapeur d’eau.

    Ces deux respirations sont liées et se font selon un cycle régulier, car ce que produit l’une est le réactif de l’autre…



    Les êtres vivants – dont les humains- ainsi que les végétaux, dans leur immense diversité et dans leur très grand nombre – par dizaines de milliards sur notre planète – sont dépendants d’une part, d’une couche d’atmosphère qui est la troposphère, mais cette troposphère n’est épaisse que d’environ 10 km au maximum de contenance d’oxygène suffisante, alors que le rayon de la Terre est de 6378 km… ( C’est comme par exemple une pellicule de papier cellophane qui entourerait une orange)… Et d’autre part, par une couche liquide (océanique) qui, elle aussi est d’une très faible épaisseur…

    Imaginez que vous peliez une orange dont l’écorce serait d’une épaisseur de 3 millimètres : sur les deux tiers de l’orange, vous gratteriez un demi millimètre d’écorce : ce demi millimètre c’est la profondeur moyenne des océans de la Terre…



    C’est dire, de la fragilité de la vie…





  • Génération 1950 - 1970

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    La génération des nés entre 1950 et 1970 ( 75 à 95 ans en 2025) est celle qui a connu l’une des meilleures périodes de l’Histoire en France, en Europe de l’Ouest et aux États Unis d’Amérique notamment…

    Peut-être même la meilleure.

    Cette période « à mon sens » a pris fin lorsque s’est terminée l’année 2019, après une « transition décadente dirais-je » entre 2008 et 2019…

    Les nés entre 1950 et 1970 étaient donc âgés en 2019, de 69 à 89 ans… Et, bon nombre de ceux là, aujourd’hui âgés de 75 à 95 ans, n’auront pas une vieillesse heureuse…

    Cette période, de 1950 jusqu’à 2019 fut en effet celle, en France, en Europe de l’Ouest, en Amérique du Nord et dans les pays développés et Occidentaux, de la paix (relative il faut dire), de la liberté, et d’une prospérité économique sans précédent…

    Aucune autre période de l’Histoire n’a offert autant de stabilité, d’aisance, de confort, dans la vie quotidienne des gens en général…

    Sans doute cependant, et bien que cela ne soit pas à vrai dire comparable, le 13ème siècle en France fut une période de relative prospérité et de stabilité…

    Ainsi qu’entre les années 1650 et 1670 dans les Provinces Unies (anciens Pays Bas actuels) où régnaient liberté, démocratie, prospérité (ce qui n’était pas le cas dans les autres pays européens à l’époque)…



  • Le rapport accru à l'argent modifie la relation

    « Tout est de plus en plus cher » entend-on dire par tout le monde : l’alimentation, l’habillement, enfin tout ce que l’on achète…

    Et « c’est de plus en plus dur à la fin du mois » entend -on dire aussi par tous ceux et celles qui ont des revenus minimum… Et même par ceux et celles dont les revenus sont « dans la moyenne »…

    MAIS … Tout le monde dépense, tout le monde achète, il n’y a jamais eu autant de monde aux terrasses des cafés, dans les magasins, dans les cinémas, pour partir en vacances, pour circuler sur les routes et sur les autoroutes…

    J’observe, sur les marchés de villes comme Dax ou Mont de Marsan, les files d’attente devant les marchands de fruits et légumes, charcuterie boucherie, plats préparés à emporter, habillement, produits artisanaux… Des centaines de personnes de toutes générations à perte de vue car ces marchés s’étendent sur plusieurs endroits proches les uns des autres…

    Et à Grand Frais, Intermarché, Leclerc, Carrefour c’est pareil : files d’attente aux caisses, nombre de gens circulant entre les rayons et les étalages, caddies pleins…

    Et – surtout le midi- les terrasses de restaurants qui débordent sur la rue en plus des tables à l’intérieur, c’est occupé partout…

    Et les magasins de jardinage, de bricolage, d’électroménager, Darty, Conforama, etc. … Du monde partout, et aux caisses ça bouchonne !

    Mais… « Tout cela » c’est ce que l’on voit…

    En effet, en dépit de ce nombre aussi important de gens qui achètent, consomment, dépensent – alors que beaucoup de produits sont de plus en plus chers… Il y a un autre nombre de gens que l’on ne voit pas là où l’on peut se procurer de « tout à gogo et à perte de vue dans une infinie diversité de marques et d’origines (souvent de choses qui viennent de pays lointains)…

    C’est le règne absolu de l’argent (qui fait la consommation) et de l’apparence… Et, depuis une dizaine d’années – et cela aujourd’hui s’accélère – il y a ce rapport à l’argent qui a complètement changé et bouleversé le rapport de relation (même entre proches et amis) d’une part, et d’une manière générale tout le monde du travail, de l’emploi, du salariat, de la communication, d’autre part…





  • L'arme nucléaire

    Lors d’une frappe nucléaire occasionnant sur une surface de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de kilomètres carré, une destruction totale de tout ce qui se trouve sur cette surface – bâtiments, végétaux, êtres vivants – il y a aussi dans le « champignon » qui s’élève dans l’atmosphère, au dessus même de l’impact, les particules radio-actives (ce que l’on appelle les retombées), et, par la circulation atmosphérique (l’air, les nuages) les particules radio-actives vont donc « voyager » dans le courant ambiant, de telle sorte sorte qu’à 2000 -ou plus- kilomètres de l’impact, et par extension sur une partie de la planète, vont retomber au sol notamment avec la pluie…



    Ainsi, supposant – ou prévoyant- avec une forte probalité, que l’Iran parvienne à se doter de l’arme nucléaire ( avec 500 kilogs d’uranium enrichi à 90 % il est possible de fabriquer 10 bombes nucléaires) et que le territoire d’Israël soit frappé par une ou plusieurs bombes nucléaires ; il s’avère quasi certain que l’Iran sur son territoire, subira forcément les « retombées » puisque 2300 km séparent Israël de l’Iran (circulation atmosphérique d’ouest en est)…

    L’on a déjà vu « ce que cela a donné » lors de l’accident de Tchernobyl : des retombées radio-actives jusqu’en Amérique Centrale !

    Certes, la radio-activité ambiante, que l’on retrouve dans les plantes, les légumes, les céréales cultivées, les fruits, et dans bon nombre de produits alimentaires animaux d’élevage, impacte diversement la santé des gens et ne tue pas forcément à court terme… Mais cette radio-activité s’installe dans une durée qui dépasse de très loin la durée de la vie humaine.

    Hiroshima et Nagazaki en août 1945, Fukushima en 2011, il y a eu des retombées…



    Reste la question, cependant, de la différence qu’il peut y avoir entre du nucléaire à usage énergétique (centrale de production d’électricité) et du nucléaire de guerre en ce qui concerne les dégâts, les destructions locales, les vies humaines, les retombées radio-actives.

    Autrement dit, le nucléaire de guerre en cas d’utilisation, est-il « plus terrible », plus destructeur, que le nucléaire à usage énergétique production d’électricité, en cas d’accident ?

    La réponse est assurément oui : le nucléaire de guerre a des conséquences nettement plus graves en cas d’utilisation, que le nucléaire civil en cas d’accident… Cela vient du fait que pour le nucléaire civil, 20 % seulement d’uranium enrichi suffisent, alors que pour du nucléaire de guerre il faut 90 % d’uranium enrichi…

    Or l’Iran dans son programme de développement du nucléaire, était déjà arrivé récemment à 60 % d’uranium enrichi, ce qui constitue une preuve formelle confirmant la fabrication d’une ou de plusieurs bombes nucléaires…



    Dans la mesure où « une vie dégradée » - « post nucléaire » peut exister soit sur une partie de la Terre voire la Terre toute entière, et qui, cette « vie dégradée » impliquerait de l’adaptation à un environnement dégradé… Peut-être que certains pays nucléarisés, en cas de « conflit majeur » en quelque sorte « accepteraient » de devoir poursuivre leur évolution (leur « marche dans le monde ») dans un environnement dégradé – et avec, conséquemment, un mode de vie différent de ce qu’il avait été avant…





    L’attaque d’Israël contre les installations et les bases militaires de l’Iran, surtout après la révélation de l’AIEA sur l’avancement du programme nucléaire Iranien, ne peut qu’inciter et déterminer l’Iran à accélérer l’avancement de son programme nucléaire… D’autant plus qu’il ne reste au régime Iranien, après ce qu’il vient de subir et qui l’impacte durement, que cette possibilité pour réagir : arriver à fabriquer une ou plusieurs bombes nucléaires… Puisque le militaire classique des Iraniens se trouve fortement mis à mal…

    C’est la raison pour laquelle les « injonctions à modération » de la communauté internationale (même de la Russie) faites à l’Iran, seront sans effet, absolument sans effet, et que toute négociation est devenue totalement impossible…



    Il ne reste contre l’utilisation de l’arme nucléaire à très haute probalité par le régime Iranien, que – éventuellement – un renversement du régime Iranien des Ayatollahs détenteur du pouvoir à fois religieux, civil, politique, militaire ; un renversement du régime qui se ferait forcément dans une coordination d’opportunité des forces d’opposition. Or ces forces d’opposition ne sont pas unies dans leurs objectifs et dans leurs idéologies, d’où un chaos résultant qui risque d’avoir des conséquences quasi aussi désastreuses pour tout le Moyen Orient… Car dans toutes ces oppositions il y a des « dictatures en puissance sous couvert de démocratie théorique de façade » et avec derrière, des mafias, des organisations terroristes… Et… « De très gros tireurs de ficelle »…



    Le 20 ème siècle fut le siècle de deux grandes guerres mondiales, un siècle d’acier …

    Et le 21ème siècle sera un siècle de feu et de sang : le feu nucléaire et le feu du soleil, le sang des populations massacrées sous les bombardements…





  • Israël Iran

    L’attaque Israélienne qui a détruit des bases militaires en Iran, ainsi que des sites d’enrichissement nucléaire – une centaine de frappes – implique une longue préparation exigeant une coordination technique, tactique et humaine de très haut niveau…

    Cependant, une technologie de pointe seule, ne suffit pas car le renseignement humain – sources internes, fuites, espionnage, apport d’opposants au régime Iranien, demeure essentiel…

    Une technologie militaire de très haut niveau permet :

    -D’une part la détection d’une base souterraine mais à condition que cette base soit située à moins de 100 mètres de profondeur par imagerie satellitaire multispectrale et radar, radar à pénétration de sol, et détection gravimétrique ou magnétique, ou encore analyse de signaux électromagnétiques ou acoustiques, puisque certaines installations émettent des ondes, des vibrations, de la chaleur…

    Mais ces méthodes de détection de base souterraine, nécessitent souvent des relevés effectués sur place ou à basse altitude…

    Au delà de 100 mètres de profondeur (dans la mesure où la géologie locale le permet) surtout dans un environnement désertique, la détection devient très difficile (mais pas totalement impossible)…

    -D’autre part, la neutralisation d’un système de défense anti aérien qui protège une base militaire en surface, par envoi massif de drones, missiles, leurres et brouilleurs ; frappes de précision, brouillage de communications, cyberattaques sur des systèmes de contrôle… Qui implique forcément, cette neutralisation, de la coordination technique, tactique et humaine de très haut niveau…

    -D’autre part encore, depuis une base souterraine, plusieurs pays dont l’Iran, soupçonnés de développer de l’armement nucléaire, font partir des tunnels pour acheminer du matériel de guerre vers des zones de lancement… Et ces galeries souterraines sont très bien protégées…

    En dépit de ce que les Israéliens ont réussi à faire – et de ce qu’ils vont continuer de faire, question attaques ciblées, les Iraniens (le régime des Ayatollahs) conservent et conserveront encore un potentiel élevé en matière de fabrication d’armes et de développement nucléaire, surtout du fait de ces bases souterraines situées à plus de cent mètres de profondeur et bien protégées…

    Donc la menace que représente le nucléaire Iranien est sérieuse… Mais « à mon sens » outre la capacité de l’armée Israélienne à neutraliser, ce sont les forces d’opposition au régime qui vont finalement être déterminantes…