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Journal - Page 48

  • Condition humaine

    Depuis les années 1980 et ensuite au-delà des années 1990 et 2000 dans un accroissement exponentiel, nous voyons se développer, partout dans le monde, dans quasiment tous les milieux sociaux y compris les moins favorisés d’entre eux ; une dynamique qui s’articule et s’organise sur une culture de la satisfaction personnelle, individualiste, consumériste, avec l’apparition chez les jeunes enfants, de plus en plus tôt en âge – jusqu’aux bébés- de « besoins formatés » par le marqueting, la publicité ; dans une culture éducative ( des écoles, des collèges, des lycées, des universités, des enseignants, des intervenants dans les activités sportives et autres qui encadrent la jeunesse) qui privilégie le développement personnel, plus que la transmission des savoirs…

    Dans une société devenant de plus en plus inégalitaire – dans la réalité même de ce que deviennent et de comment se creusent ces inégalités – et, tout à fait paradoxalement dans cette même société très inégale où cependant « prennent le pas » des « idéologies égalitaristes fortement mâtinées de progressisme sociétal » qui prétendent « niveler » les inégalités plutôt il faut dire, par le bas que par le haut ; il en résulte que de nombreux jeunes – enfants et adolescents- perdent leurs repères, ainsi éduqués depuis « après mai 1968 », et, « ne se sentant pas bien dans leur peau – et dans leur tête- » dans cette société devenue ce qu’elle est ; par réaction pour bon nombre d’entre eux, versent dans la violence…

    Comment parvenir à un équilibre – ou en une gestion au mieux, en soi – entre d’une part tout ce qui nous met en colère, nous horrifie, que l’on dénonce parfois dans une violence extrême, qui nous fanatise jusqu’à vouloir son élimination à tout prix, nous rend dépendants de l’opinion majoritaire, conditionne nos comportements dans le sens de ce qui est commun, qui ne tient compte que des apparences… Et d’autre part ce qui « intérieurement » nous éclaire et nous porte à nous questionner, à nous libérer de cette violence et de cette dureté en nous, fondées sur ce que nous ressentons et dont nous sommes dépendants ?

    Parvenir à cet équilibre là, est-ce une gageure ?

    Lorsque l’on voit par exemple, autour de soi, dans les hôpitaux, en visite d’un ami ou d’un proche hospitalisé, ou lors d’une consultation externe, poussées sur des fauteuils roulants des personnes lourdement handicapées, l’on est alors bouleversé d’apercevoir ainsi diminuées, réduites à l’immobilité, ces personnes dans l’état où elles se trouvent (c’est ce que je ressens moi-même à la vue de ces personnes)…

    En face, à la vue, d’une personne handicapée, diminuée physiquement, et entourée d’appareils médicaux, en milieu hospitalier… Une réflexion sur le sens de la vie, sur le sens de nos comportements, sur la nature et sur la justification oui ou non de nos besoins – et lesquels de ces besoins…, sur le sens de la relation humaine, sur ce qui est essentiel et sur ce qui ne l’est pas, sur ce qui est peut être l’œuvre de notre vie, sur ce qui concerne nos aspirations, nos projets, sur tout ce qui fait notre « intériorité », sur tout ce dont nous dépendons « par la force des choses » ou mû par notre volonté propre… Ne nous vient-elle pas alors ?



  • Haro sur la clope, mais ... "un petit joint" pourquoi pas ?

    À partir du 1er juillet 2025, la cigarette sera interdite dans les parcs, jardins publics et lieux où se trouvent des enfants…

    « Si je comprends bien » : haro sur la clope… Mais… Que fait-on contre la consommation de drogue ( de canabis, de cocaïne, entre autres stupéfiants) ?

    Quand on sait que 5 Français sur 10 – si n’est pas 6 sur 10 – consomment régulièrement c’est à dire tous les jours, ou occasionnellement – de la drogue (en général du canabis et de la cocaïne…

    Quand on sait à quel point le nombre de « points de deal » est important, généralisé, banalisé, tous aussi accessibles lespoints de vente, au vu et au su de tout un chacun, aussi bien en ville que dans les villages partout en France, aucune région, aucun coin n’étant épargné ?

    Haro sur la clope, oui… Et les « leçons de morale » qui vont avec… La clope « le péché du siècle », « les gros yeux réprobateurs »… Et j’en passe de toutes les façons, de toutes les condamnations, de toutes les stigmatisations (les fumeurs sont des pestiférés)… C’est presque pire que la chopine de pinard au bistrot qui était de trop dans les années 1950, et qui avait si mauvaise presse !

    En revanche « un petit joint ça fait pas de mal », c’est entré dans les mœurs ! « On comprend » et « on en redemande » !

    Quelle hypocrisie !





  • Une réalité encore inconnue, des réseaux sociaux

    Tout ce que l’on reproche aux réseaux sociaux du Net, Facebook, Instagram, Tik Tok et autres, à savoir la violence, le raccourci, la banalité des propos, de tout ce qui est posté de vie privée de l’un ou de l’autre s’exposant, dans le culte de l’effet produit et de l’apparence, et de la visibilité sanctifiée par des milliers de fans, de likes ; toute cette somme énorme, infinie, de « fakes news », de médiocrités, d’absence de réflexion, de perversités, de dénonciations soit arrogantes soit fanatisées, de revendications de minorités qui aspirent à se faire entendre et reconnaître… Tout ce qui est véhiculé de tout cela, d’un bout à l’autre de la planète, craché, éructé, brandi, au vu et au su de tout le monde, désorthographié, dégrammairisé, dans toutes les langues (et surtout les jargons) du monde, sous des formes d’expression qui se ressemblent toutes par leur vulgarité, par leur caractère délétère, par ce qu’elles font d’opinions et de terreaux de développement…

    N’EST ABSOLUMENT PAS UNE FATALITE !

    S’il y a, oui en effet, induditablement, du vrai dans tout ce que l’on reproche aux réseaux sociaux et autant de gens de toutes générations qui y versent dans tout ce que l’on reproche, déplore, dénonce… Et « font leur beurre » au quotidien, de « tout ça »…

    Il y a aussi ce fait, indéniable, cette réalité de la présence et de la visibilité de « personnes de bonne volonté » qui chacune à leur manière, font des réseaux sociaux un vecteur d’information et d’expression « éclairée », de transmission de connaissances, des lieux d’échange et de partage qui ne sont plus des « champs de polémiques » ; qui sont des lieux d’écriture, de création, de questionnements, de poésie, tout cela donnant du sens, de la qualité, à la relation humaine, et en quelque sorte rompt l’isolement des êtres que nous sommes – pour autant que l’on prenne déjà 2 secondes à regarder au-delà du bout de son nez !

    Il y a oui, cette réalité là et qui est – je le crois- (ou du moins je l’espère) en train de prendre de l’ampleur, de « prendre racine » peu à peu ! … Même si globalement cela passe encore inaperçu ou demeure très minoritaire ou peu significatif, et dispersé, éclaté, atomisé, inorganisé, plus ou moins relié entre groupes de personnes de ci de là…

    Et, quant à ces « neunœils » qui nous épient, toujours plus nombreux partout, dopés à l’Intelligence Artificielle et dont l’objectif de leurs fabricants est de nous soumettre, de nous formater, de nous conditionner, de nous réduire à l’état de robots, de nous faire penser selon ce qui doit se croire et se savoir… Et que les extrême-droite et les régimes autoritaires avec les dominants, les décideurs et les possédants, récupèrent en s’appropriant les vertus… Un jour viendra où tous ces « neunœils » finiront par devenir des auxiliaires au service des gens de bonne volonté plutôt que des ennemis, parce qu’ils se retourneront contre les maîtres qui les ont conçus… Sans pour autant devenir des auxiliaires dominants…

    L’Intelligence Artificielle, les algorythmes, les « neunœils »… Tout ça, ça a deux faces comme une pièce de monnaie : la face tournée vers la lumière, la face tournée vers l’obscurité… Avec cette particularité qui est en fait une réalité : c’est que la face tournée vers la lumière c’est nous les humains tous ensemble qui en sont les vrais maîtres « tirant les ficelles », les vrais décideurs… Et la face tournée vers l’obscurité c’est « certains humains et pas d’autres » qui eux, sont les maîtres concepteurs à leur profit, de l’Intelligence Artificielle…





  • Une réalité encore inconnue, des réseaux sociaux

    Tout ce que l’on reproche aux réseaux sociaux du Net, Facebook, Instagram, Tik Tok et autres, à savoir la violence, le raccourci, la banalité des propos, de tout ce qui est posté de vie privée de l’un ou de l’autre s’exposant, dans le culte de l’effet produit et de l’apparence, et de la visibilité sanctifiée par des milliers de fans, de likes ; toute cette somme énorme, infinie, de « fakes news », de médiocrités, d’absence de réflexion, de perversités, de dénonciations soit arrogantes soit fanatisées, de revendications de minorités qui aspirent à se faire entendre et reconnaître… Tout ce qui est véhiculé de tout cela, d’un bout à l’autre de la planète, craché, éructé, brandi, au vu et au su de tout le monde, désorthographié, dégrammairisé, dans toutes les langues (et surtout les jargons) du monde, sous des formes d’expression qui se ressemblent toutes par leur vulgarité, par leur caractère délétère, par ce qu’elles font d’opinions et de terreaux de développement…

    N’EST ABSOLUMENT PAS UNE FATALITE !

    S’il y a, oui en effet, induditablement, du vrai dans tout ce que l’on reproche aux réseaux sociaux et autant de gens de toutes générations qui y versent dans tout ce que l’on reproche, déplore, dénonce… Et « font leur beurre » au quotidien, de « tout ça »…

    Il y a aussi ce fait, indéniable, cette réalité de la présence et de la visibilité de « personnes de bonne volonté » qui chacune à leur manière, font des réseaux sociaux un vecteur d’information et d’expression « éclairée », de transmission de connaissances, des lieux d’échange et de partage qui ne sont plus des « champs de polémiques » ; qui sont des lieux d’écriture, de création, de questionnements, de poésie, tout cela donnant du sens, de la qualité, à la relation humaine, et en quelque sorte rompt l’isolement des êtres que nous sommes – pour autant que l’on prenne déjà 2 secondes à regarder au-delà du bout de son nez !

    Il y a oui, cette réalité là et qui est – je le crois- (ou du moins je l’espère) en train de prendre de l’ampleur, de « prendre racine » peu à peu ! … Même si globalement cela passe encore inaperçu ou demeure très minoritaire ou peu significatif, et dispersé, éclaté, atomisé, inorganisé, plus ou moins relié entre groupes de personnes de ci de là…

    Et, quant à ces « neunœils » qui nous épient, toujours plus nombreux partout, dopés à l’Intelligence Artificielle et dont l’objectif de leurs fabricants est de nous soumettre, de nous formater, de nous conditionner, de nous réduire à l’état de robots, de nous faire penser selon ce qui doit se croire et se savoir… Et que les extrême-droite et les régimes autoritaires avec les dominants, les décideurs et les possédants, récupèrent en s’appropriant les vertus… Un jour viendra où tous ces « neunœils » finiront par devenir des auxiliaires au service des gens de bonne volonté plutôt que des ennemis, parce qu’ils se retourneront contre les maîtres qui les ont conçus… Sans pour autant devenir des auxiliaires dominants…

    L’Intelligence Artificielle, les algorythmes, les « neunœils »… Tout ça, ça a deux faces comme une pièce de monnaie : la face tournée vers la lumière, la face tournée vers l’obscurité… Avec cette particularité qui est en fait une réalité : c’est que la face tournée vers la lumière c’est nous les humains tous ensemble qui en sont les vrais maîtres « tirant les ficelles », les vrais décideurs… Et la face tournée vers l’obscurité c’est « certains humains et pas d’autres » qui eux, sont les maîtres concepteurs à leur profit, de l’Intelligence Artificielle…





  • La "réalpolitic" de l'Ordre du Monde

    « L'Assemblée nationale a approuvé mercredi soir la suppression des "zones à faibles émissions", qui restreignent la circulation de certains véhicules thermiques, en adoptant un article du projet de loi de "simplification".

    L'article, introduit en commission à l'initiative de LR et du RN, a été adopté par 98 voix contre 51. Le vote devra encore être confirmé par l'adoption du projet de loi dans son intégralité. Initiées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, ces zones sont toutefois critiquées sur tous les bancs, y compris au centre et à gauche, par des élus qui considèrent qu'elles excluent des catégories de la population. »



    Cette décision limitative relative à la circulation des véhicules thermiques c’est à dire des voitures « vieillissantes » achetées d’occasion pour quelques milliers d’euro par des personnes à « petit budget » dans des zones urbaines définies sensibles à la pollution par émission notamment de particules fines, qui avaient été adoptées en 2019 ; pénalisait, il est vrai, ces catégories peu favorisées financièrement, d’une partie de la population en France…

    Ainsi la suppression approuvée par l’Assemblée Nationale, mercredi 28 mai 2025, de ces « zones à faible émission », permettra-t-elle à des gens circulant dans des véhicules « posant problème », de se déplacer pour aller faire leurs courses, se rendre à leur travail, là où les transports publics font défaut ou dont les horaires ne sont pas adaptés (déplacements surtout « tard le soir » au-delà de 20h hors métro et RER Franciliens, pour des catégories de salariés travaillent le soir et la nuit)…

    Concilier les nécessités écologiques et les réalités de la vie quotidienne des gens, et aussi l’économie de marché, autre réalité, avec la consommation habituelle et souvent incontournable de produits considérés « peu vertueux » écologiquement parlant…

    C’est « une gageure » ! C’est prétendre et surtout croire que c’est possible de ménager pour ainsi dire « la chèvre et le chou »… Ou « d’attraper les mouches avec du vinaigre »…

    D’un côté – je pense là à des décisions restrictives pour limiter ou interdire des pesticides, prises par l’Union Européenne, aux normes définies en matière de composition de produits de consommation alimentaire et autres par la même UE…

    Mais d’un autre côté je pense à tous ces énormes navires de croisière qui stationnent, font étape, vont et viennent, continuellement du matin jusqu’au soir, dans des ports tout le long du pourtour méditérranéen, émettant de grandes quantités de « particules fines » forcément respirées par les « gens du coin »…

    Et «ça », c’est la « réalpolitic » d’un Ordre du Monde axé sur le développement et sur la croissance économique, sur le « tourisme de masse », un « Ordre du Monde » qui, hypocritement et dans un réalisme « tout ce qu’il y a de plus prosaïque » inscrirait – soit disant- dans son « programme » « quelques dispositions en matière de protection de l’environnement, de la nature, de la biodiversité, etc. … Tout en encourageant et en développant « ce qui génére de la richesse, du profit, du « bien être formaté médiatisé accru » pour le plus grand nombre – autant que possible 6 milliards d’humains ( mais au détriment et par la réduction en esclavage et conditions de vie des plus précaires de 2 milliards d’autres humains)…

    9 humains sur 10 sur cette planète sont d’accord avec ce « principe » ! Ou y souscrivent par « la force des choses » c’est à dire par la force du besoin et des habitudes acquises,et de la dépendance qui en découle…



    Et, « ce qui n’arrange pas du tout les choses » dans cette affaire « de sauver la planète » en contradiction avec la pression de l’activité humaine…

    C’est… Ce sont… Tous ces fanatismes – écologistes, religieux, communautaires, tous engagés dans la violence, dans des polémiques épuisantes, laminantes, explosives ; menant des combats acharnés, prétendant tous détenir la vérité, pourrissant la vie des gens… Qui parfois « arrivent à avoir gain de cause » et dont le résultat de leur combat s’avère au final pire que le mal lui-même ! (exemple : l’affaire de l’A 69 décision de justice prise alors que laisse par l’abandon des travaux une gigantesque blessure dans le paysage ravagé – une abberration)…