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Journal - Page 51

  • Exposition d' objets emblématiques du 21ème siècle au Grand Museum d'Histoire des Civilisations à Beijing Pékin été 2324

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    Cette couverture en laine des Pyrénées offerte à Xi Jinping président Chinois le 7 mai 2024 à La Mongie par Emmanuel Macron président Français, lors d’une « journée d’amitié » sous averse de neige fondue, couverture offerte pour la mère de Xi Jinping âgée en 2024 de 101 ans…

    À côté de cette couverture en laine des Pyrénées de « nos moutons » avait dit Emmanuel Macron, figure une bouteille d’armagnac encore « habillée » de son étiquette – sans son contenu… Et un maillot jaune ayant couvert le torse du champion cycliste du Tour de France en 2023…

    Objets en « parfait état de conservation ».

    La date du décès de la mère de Xi Jinping n’étant pas indiquée, il est fort probable que la vénérable aïeule n’a pas pu profiter longtemps de cette couverture.

    Ne figure pas dans l’exposition de cet été 2324 au Grand Musée de l’Histoire des Civilisations de Beijing Pékin, la matraque électrique utilisée pour tabasser les Ouïghours récalcitrants ou souçonnés de résistance au Régime Chinois, internés dans des « camps de rééducation » en 2024…

     

    Dans l’apparence d’une « bonne entente » très cordiale et presque « affectueuse » cette « journée d’amitié » au cours de laquelle se sont rencontrés Emmanuel Macron et Xi Jinping, masque « souverainement » la rouerie, le cynisme, la cruauté, la violence, tout cela bien habillé d’entente cordiale et de « promesses » - en un mot « l’olive bien huilée dans le trou de bale » du Président Chinois…

    La « Réal-Politik » exercée par les « Grands de ce monde » à laquelle adhèrent les gouvernements « dans l’intérêt de leur pays en matière de développement et de croissance économique – mais pas forcément voire pas du tout dans l’intérêt des populations – est une politique représentative de la « barbarie costardée de civilisation » du 21ème siècle, qui, sans avoir éliminé la barbarie sanglante des siècles passés, instaure son « nouvel ordre » consumériste, policé, militarisé, lobbyïsé, actionnarisé, communautarisé, religionisé, « bizounoursisé ou montrant les dents c’est selon »… C’est une politique d’assassins et de prédateurs, de briseurs de vies, qui fait tous les drames paysans, tous les drames humains, toutes les exclusions, toutes les déportations de populations, toutes les spoliations de terres, et qui en définitive fera de notre planète un désert, un monde devenu inhabitable (mais avec peut-être quelques « bunkers aménagés en Edens » où résideront quelques milliardaires)…

     

     

  • Visages d'écrivains

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    Est-ce pour autant « significatif » ? J’ai souvent observé qu’en général (et en particulier pour bon nombre d’entre eux) – comme l’on peut le voir ici avec cette photo de Paul Auster né en 1948 décédé en 2024 à l’âge de 76 ans – les écrivains « ont un visage d’écrivain »…

    Ce ne doit pas être à mon sens un « hasard » qu’un écrivain ait un visage d’écrivain…

    Cela dit… « Si une œuvre d’écrivain » toute entière aussi immense soit-elle pouvait  tenir dans un regard, dans un sourire, dans une expression de visage, et ainsi atteindre autour de soi dans un hall de gare, dans une rue passante, un autre visage rencontré et considéré (ou plusieurs autres visages de ci de là)… Cela vaudrait bien, assurément, cent mille lecteurs ou cent mille « followers »… « quasi orgasmique » - si je puis dire – que cela se révèlerait ! Et… Plus beau encore que de « voler comme un oiseau » !

     

     

  • Epizooties

    Si la plupart des épizooties (maladies mortelles des animaux d’élevage dont les bovins, les porcs, les ovins, les volailles) proviennent de pays en développement dans les régions chaudes d’Afrique et d’Asie ; il semblerait cependant que les épizooties lorsqu’ elles se répandent dans les exploitations d’éleveurs producteurs – notamment industrielles – sévissent surtout en Europe (et plus particulièrement dans les pays de l’Europe de l’Ouest : France, Belgique, Grande Bretagne, Allemagne)…

     

    Entend-on parler d’épizooties en particulier de maladies mortelles touchant les bovins et les volailles, au Brésil, en Argentine, au Canada, aux USA ?

     

    Cette question d’une présence répétitive d’épizooties de bovins et de volailles « plus fréquente et plus étendue » en Union Européenne qu’en Amérique ou ailleurs, serait-elle liée au monde des laboratoires de recherche ( étude et recherche de virus, de germes, bactéries ), au monde de l’industrie chimique et les lobbys agro-alimentaires et semenciers (Monsanto, Bayer, etc.) voire des lobbys pharmaceutiques dont les décideurs dominants et leurs assemblées d’actionnaires, protégés et soutenus par « L’Europe de Bruxelles », par les lois qui les avantagent, par les gouvernants « à leur botte »… Qui « tout ce monde là »aurait intérêt à ce que disparaissent les éleveurs et les exploitants de « dimension moyenne et à plus forte raison modeste » ?

     

    Dès lors même qu’une vache est atteinte – ou un poulet ou un canard – dans une exploitation, ce sont tout de suite des mesures « radicales » qui sont prises : abbatage de toutes les bêtes, de tout le troupeau… Et les « indemnisations » (prévues) ne suivent pas dans l’immédiat (et se font encore attendre après plusieurs mois voire années)…

     

    Ce « monde là » des lobbys agricoles, industriels, des laboratoires, de l’industrie chimique, que conforte et renforce dans sa puissance et dans sa domination, l’Europe de Bruxelles et les gouvernants, avec les « flopées d’actionnaires » qui les accompagnent… Sont directement derrière tous les drames paysans, derrière tout ce que subissent des millions de gens dans leur vie quotidienne (misère, précarité, chômage, déserts médicaux, fermeture d’usines et d’entreprises, hôpitaux et écoles et services publics à l’abandon)… Et sans doute « y sont-ils pour quelque chose » dans ces épizooties ( « vache folle » en 2001 et autres maladies bovines, successions de grippe aviaire, etc.) … C’est tout de même « curieux » que l’on n’observe pas toutes ces épizooties de bovins et de volailles – en dimension équivalente – en dehors de l’Europe et plus particulièrement au Brésil, en Argentine, aux USA, au Canada…

     

    Ce « monde là » des lobbys et des actionnaires, est un monde d’assassins, il est représentatif de la nouvelle barbarie du 21ème siècle qui, d’une manière plus hypocrite, plus pernicieuse, « vaut bien » en horreur la barbarie sanglante des siècles passés où l’on pendait, où l’on rouait, où l’on torturait, où l’on passait au fil de l’épée, où l’on affamait, où l’on massacrait, où l’on incendiait…

    À noter que la barbarie des siècles passés n’a pas, loin s’en faut, de nos jours, disparu, comme l’on peut le constater avec les guerres et les conflits qui sévissent au 21ème siècle où sont bombardées et massacrées des milliers de personnes…

     

     

     

  • Fin du moteur thermique en 2035 ?

    L’interdiction à la vente – en France et dans l’ Union Eurpéenne – en 2035, des véhicules automobiles thermiques (essence, diesel, biocarburant) étant prévue, planifiée…

    Qu’en sera-t-il alors pour les millions de camions de fort tonnage, pour les avions de passagers et de fret, pour les cargos transportant des centaines de containers sur les océans ?

    Quand on sait qu’une voiture de modeste taille et puissance doit être dotée d’une batterie d’un minimum de 160 kg – jusqu’à plus de 300 pour une voiture puissante – et qu’un semi remorque ou un camion de 38 tonnes doit être doté d’une batterie d’au moins deux tonnes… L’ on imagine la quantité « phénoménale » de minéraux à extraire du sous-sol de notre planète – en des lieux et sites d’exploitation limités et épars – pour faire tout rouler, voler et voguer, à l’électricité – avec des batteries nécéssitant l’emploi de ces « métaux dits rares »…

    Il y a bien là une disproportion manifeste et évidente entre le gigantisme démesuré des véhicules (autos, camions, navires de transport, avions) dans le monde tous pays confondus, et la quantité exploitable des gisements de minéraux dans le sous-sol de notre planète, forcément limitée…

    Peut-être… (l’on peut « tout espérer » de l’évolution de la Science et de la Technologie) que, au siècle prochain sinon dans la seconde moitié du 21ème siècle, l’on parviendra, par des sortes de « centrales satellites » en orbite autour de la Terre, à capter l’énergie produite dans le cosmos (énergie venue des étoiles proches, déjà du soleil) et à transformer cette énergie « inépuisable » en énergie électrique transportable par « centrales relais » puis par centrales construites sur la Terre afin d’ alimenter en énergie électrique tout ce qui roule, qui vole, qui vogue…

    Une « manne » d’ une « toute autre dimension » que celle, actuelle, pour les Lobby’s et Consortiums de l’ Energie dominants sur le Marché !… Et pour les quelques futurs deux cents millions de milliardaires qui eux, « ne passeront pas par des touropérators pour leurs voyages dans l’Espace » ! Ce qui n’empêchera pas pour autant dix milliards d’humains connectés, de se servir de smartphones à écran holographique trois dimensions, pour échanger, partager, diffuser sur les réseaux sociaux dont les noms sont à inventer : de nouveaux « TikTok » et « Facebook » et « Instagram » ultra sophistiqués - effets-spécialisés » !

     

     

  • L'humour... Et le pardon

    L’ humour le plus noir, le plus dérangeant, le plus iconoclaste, ne répandant pas le sang, ne demeurant que du verbe – ou du dessin – est cependant une arme à double tranchant dans la mesure où d’un côté, il expurge la violence mais où de l’ autre côté il incite à la violence…

    C’est – peut-être – une question de degré dans la noirceur, dans l’insolence, dans ce qui dérange… Qui contribue à expurger la violence : un tel degré atteint qu’il devient impossible d’accomplir le geste qui tue…

    Mais le risque d’incitation à la violence existant toujours, faut-il pour autant bannir, condamner ou empêcher d’être l’humour le plus noir, le plus dérangeant, le plus iconoclaste ?

     

    De même le pardon est une arme à double tranchant contre la perpétuation sans fin de la violence, dans la mesure où d’un côté le pardon peut contribuer à réduire la violence – comme s’ il « remettait les compteurs à zéro » façon Nelson Mandela par exemple – mais où de l’autre côté le pardon provoque, exacerbe et amplifie la violence…

    C’est peut-être là aussi, une question de degré atteint dans le pardon : un tel degré qu’il devient impossible d’accomplir le geste vengeur et meurtrier…

    Le risque encouru qu’il a à pardonner existant toujours, faut-il pour autant qualifier le pardon de faiblesse dangereuse et coupable ?