compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal - Page 44

  • Les trois domaines d'environnement de relation

    L’on peut distinguer – en gros- dans les relations que nous entretenons au quotidien – et occasionnellement – avec nos proches, nos amis, nos connaissances … Trois environnements ou domaines de relation :

     

    - Le plus intéressant pour chacun de nous est celui des personnes qui, quoiqu’il arrive ou survienne, susceptible d’altérer la relation, nous serons toujours fidèles en ce sens que, sans forcément être toujours d’accord avec nous, ne cesseront jamais de nous reconnaître et de nous apprécier tels que nous sommes, et seront en conséquence, au quotidien, ou selon les occasions de se rencontrer, toujours présents, écouteront ce que l’on exprime, seront sur les réseaux sociaux – sur la Toile – ceux et celles qui nous suivent, nous lisent, et nous répondent, seront donc nos principaux interlocuteurs…

    Mais il faut dire que cet environnement là, de proches, d’amis, de connaissances ; le plus intéressant pour nous, n’est pas loin s’en faut celui qui compte le plus grand nombre de personnes… D’autant plus si ce que l’on est n’entre pas dans « l’ordre habituel des choses » et donc, se démarque de ce qui prévaut ou domine dans la société où nous vivons…

     

    - Le monde – de relation- le plus étendu, le plus commun, autour de nous ; est celui des gens – les proches, les amis et les connaissances – qui « font comme s’ils nous reconnaissaient », et, en quelque sorte nous acceptent comme « faisant partie du paysage social »… Mais souvent se montrent indifférents, silencieux à notre égard ou au mieux si l’on peut dire, accueillent nos propos, tout ce que nous pouvons exprimer, montrer, « par principe et par civilité » et parfois avec une certaine condescendance n’apparaissant pas forcément… En somme « ils », « elles » font comme s’ils, elles aimaient (alors qu’au fond d’eux mêmes ils, elles n’aiment pas ou s’en contrefichent)…

     

    -Et il y a enfin le monde – de relation – qui nous est étranger, hostile, impénétrable : celui des gens – les proches, les connaissances (mais assurément plus les amis comme dans les deux domaines précédents) – avec lesquels nous sommes en désaccord sur presque tout, et qui eux, lorsqu’ils se manifestent, nous agressent, dénaturent nos propos, contestent systématiquement tout ce que l’on exprime, nous méprisent, cherchent à nous nuire… En général ces gens là sont d’un milieu social et intellectuel très différent du milieu dans lequel on vit…

     

    Cependant – et c’est bien là le « hic » - chacun de ces trois domaines ou environnements de relation n’a pas comme une sorte de frontière bien délimitée qui le sépare de l’autre, car il existe une « zone de transition » plus ou moins étendue où règne l’incertitude, l’aléatoire…

    Et, à tout ce qui se trouve dans la « zone de transition » notamment ces repères imprécis ou parfois changeants ; s’ajoute tout ce qui en soi nous conditionne c’est à dire nos croyances, nos préjugés, nos modèles, notre culture et notre vision personnelles du monde, des êtres et des choses…

     

     

  • Dans les cimetières ...

    Cimetières.jpg

    En général dans les cimetières sur les tombes figurent sous le nom et le prénom du défunt – ou de la défunte – l’année de naissance et l’année de la mort…

     

    Et quand par exemple on lit « Gaston Untel 1929-1998 » l’on se dit – enfin je me dis - : « Il court vécut »…

    Mais si on lit « Fernande Unetelle 1906- 2001 » je me dis alors : « Elle long vécut »…

     

    Et que dire de, par exemple : « Ignace Machin 1947- … » sinon « il est né en 1947 » ? … Ça s’rait-il qu’il mourrait pas l’Ignace ?

     

    Chaque fois que je passe un 31 décembre je me dis que c’est pas écrit sur une tombe mon nom et mon prénom avec date de naissance 1948 et date de ma mort l’année qui vient de s’achever… Mais… Merde, l’année en cours – on est en tel mois – ça s’ra p’être écrit mon nom mon prénom 1948 – l’année en cours…

     

    Jusqu’à moins de 80 ans – il faut bien fixer un repère (qui vaut ce qu’il vaut) – c’est : « Il (ou Elle) court vécut »…

    Après 80 ans, enfin « de préférence » proche de 100 – et même si possible jusqu’à 110 voire encore plus – c’est : « Il (ou Elle) long vécut »…

     

    Et c’est que… Une année de plus (à force d’être encore en vie)… Ça fait « quelques fichiers en plus sur One Drive » pour un « témoin de son temps » qui s’exprime…

     

     

  • Bing Copilote

    Il est certain – et heureux – que « Bing Copilote » c’est bien mieux, mille fois mieux que Recherche Google et autres moteurs de recherche que l’on utilisait avant l’arrivée de « Bing Copilote »…

    Lorsque tu poses une question précise et correctement formulée à Copilote, tu obtiens en 1 ou 2 secondes une réponse détaillée et appropriée, ce qui est bien plus simple, bien plus pratique, que jadis, lorsqu’il fallait faire défiler plusieurs pages Google de liens et choisir le bon lien… En réponse à la phrase de quelques mots que tu avais inscrite dans la barre de recherche…

    En recherche Google ou autre en effet, c’est assez rare que le résultat apparaissant (plusieurs pages de liens) corresponde exactement à ce que tu recherches : tu tombes sur des liens « censés répondre » mais parfois éloignés de ce que tu recherches sinon même totalement étrangers à ta demande… Et, lorsqu’enfin tu cliques sur le « bon lien » il n’est pas sûr du tout que ça t’éclaire vraiment…

    Bon c’est vrai : entre le temps de recherche dans des encyclopédies et des dictionnaires qu’il te fallait avant Internet ; et le temps de recherche de liens sur Google… « Y’a pas photo » !

    Et à présent avec Copilote, c’est le « top du top » !

    Une recherche « traditionnelle » en consultant des documents, des ouvrages, des encyclopédies, des dictionnaires, comme on le faisait avant Internet… C’est du « travail purement mécanique » (et fatiguant) et qui n’apporte rien de plus à ton développement intellectuel personnel…

    Alors que, délivré de ce « travail » purement mécanique, cela te laisse davantage de temps et de possibilités, justement, pour développer ton esprit, ton intelligence, ta créativité…

     

    Cependant – il faut le dire – le « hic » dans cette affaire de Bing Copilote, c’est d’être en capacité d’utiliser l’Intelligence Artificielle mise à notre disposition, avec toute son indépendance d’esprit, sa liberté que l’on parvient à construire en soi dans un monde où la liberté est illusion ou factice ou conditionnée ; et avec en soi un potentiel de capacité de réflexion, d’analyse, de « clairvoyance » si possible… Sinon, tu deviens un « humanuscule » ( pas très loin du robot ) …

     

  • Dans une galerie marchande de Dubaï

    Manège à cochon.jpg

    Sur un manège à l’ancienne pour enfants de touristes…

    Inimaginable ?

    « On peut rêver… Le rêve ne serait pas « déraisonnable »…

    D’aucuns en effet, pourraient ainsi « mettre en avant » l’ouverture d’esprit régnant aux Émirats Arabes Unis…

    Laquelle « ouverture d’esprit » - en fait – se fonde sur une clientèle voyagiste aisée… Sans qu’il soit précisé par les Autorités des Émirats Arabes Unis, si les clientes Européennes ou Américaines doivent, oui ou non, se couvrir les cheveux, le bas du visage, le cou, la poitrine et les épaules d’un foulard, accompagnées de leurs enfants en galerie marchande et offrant un tour de manège au gosse qui veut monter sur le cochon…

    En fait, à Dubaï, une touriste Européenne ou Américaine ( j’ai posé la question à Bing Copilote Intelligence Artificielle ) n’est pas obligée de se couvrir les cheveux, il est simplement recommandé cependant, pour les femmes -et pour les hommes- de se déplacer dans l’espace public, dans une « tenue correcte » (ne montrant pas ostensiblement « certaines parties du corps »)…

    Soit dit en passant, sur ce genre de manège – à l’ancienne – dans les villes touristiques en France, on ne voit trop guère de « joli cochon dada »…

    Une question aussi, que je me pose : « il paraît » que pour des jeunes mariés, un voyage de noces à Dubaï ça serait « le top du top » ; alors je me suis demandé si un jeune couple sympathisant ou adhérent LFI, pouvait se rendre à Dubaï en voyage de noces… C’est que, à LFI « on est assez large d’idées » et qu’éventuellement (on sait jamais) la jeune mariée pourrait prévoir de placer dans son sac à main, un grand foulard plié…

     

     

  • Appropriation et pillage d'œuvres

    Il y a bien le « Copy-right » - en principe assuré par les hébergeurs de sites et de blogs qui, lorsque tu t’inscris sur leur plateforme et crées ton site ou ton blog, incluent dans leur « système » cette « protection » - purement théorique – qu’est le « Copy-right » …

    Mais le « Copy-right » ne fonctionne et ne garantit « en principe » l’authencicité de ce que tu produis, que dans 195 pays (c’est déjà « pas mal » en effet, mais il faut savoir qu’il y a dans le monde plus de 195 pays – aux JO de Paris 2024 c’était 206 -)

    Il y a aussi le dépôt d’un support sous la forme par exemple, chez un huissier, d’une clé USB ou disque externe contenant toutes tes œuvres numérisées en documents PDF, Word, Open Office…

    Il y a encore la BNF ainsi que tout enregistrement déclaré, avec un numéro ISBN, le dépôt légal… Pour les auteurs, pour les écrivains qui publient des ouvrages papier…

    Les URL qui commencent par https ( contrairement aux URL qui commencent par http ) qui -en principe- font barrière aux malveillants et pirates…

    Et pour les hébergeurs de sites et de blogs, le certificat SSL – en plus ou sans le nom de domaine…

     

     

    Mais reste cette réalité dont il faut bien prendre conscience, et que « par la force des choses » l’on peut s’attendre à devoir subir un jour ou l’autre :

     

    Une réalité, en gros, sur deux aspects :

     

    -Chacun des 195 – ou plus – pays dans le monde, ont une langue parlée et écrite dont la grammaire, la syntaxe, les tournures, les règles, les idiomes ou surtout les idiotismes, tout cela propre à la langue en question… Ce qui rend difficile la traduction (pas impossible mais difficile c’est sûr)…

    Cependant ce qui est exprimé en telle ou telle langue selon la grammaire et selon les règles de cette langue, n’est vraiment traduisible correctement, que lorsqu’il n’y a pas dans le texte de trop nombreux idiotismes (intraduisibles) et de formulations personnelles avec des néologismes et des tournures atypiques ainsi que des incorrections grammaticales assumées, volontaires, dans un contexte particulier… Ce qui, lorsque c’est le cas pour certains auteurs, écrivains, créateurs ; rend difficile voire impossible le plagiat ou la copie en une autre langue … À moins que le plagieur soit du même pays et qu’il cherche à se constituer un lectorat dans le même pays du même langage…

     

    -Rien, absolument rien n’empêche en réalité, un malveillant, un imitateur, un plagieur, un pillard d’œuvre – Œuvre pourtant protégée Copy Right, dépôt légal, ISBN, certificat SSL pour un site ou un blog – quelque part dans le monde, de reprendre à son propre compte un texte, un passage, deux ou trois phrases, voire l’ouvrage tout entier (un simple « copier/coller » suffit à cet effet, ou encore carrément recopier du texte d’un livre et se l’approprier comme si l’on en était l’auteur)… Parce que – c’est aussi cela la réalité – le « vrai auteur », le « vrai créateur » surtout s’il est très prolixe dans ce qu’il produit, si son œuvre est diverse et considérable en quantité de texte, il faut bien que ce soit le hasard, le pur hasard, pour qu’il apprenne qu’il vient d’être plagié, piraté ; et il peut passer des années voire sa vie entière, sans savoir qu’il est plagié ou piraté (auquel cas, il ne portera jamais plainte forcément puis qu’il ignore)…

     

    Mais en fait quand je dis « le vrai auteur » ou « le vrai créateur » je pense à l’auteur ou au créateur qui n’a qu’un « rayonnement » et un lectorat -ou une liste d’abonnés limités à quelques dizaines de personnes (ou à un écrivain dont le livre a été tiré au maximum à 3000 exelmplaires et sans 2ème ni 3ème tirage)… Et raison de plus si le livre ou l’œuvre date d’il y a plus de dix ou vingt ans…

     

    S’il doit vraiment y avoir une garantie, c’est celle qui réside dans l’existence d’une grammaire et de règles propre à une langue – d’une part… Et dans l’existence dans la langue de l’auteur, de la manière dont cet auteur utilise sa langue avec ses tournures personnelles et avec ses néologismes – d’autre part - Tout cela intraduisible, inimitable et donc difficile à plagier …

     

    Et puis, pour conclure, quel intérêt peut-il y avoir, pour un Chinois, un Russe, un Américain, de plagier ou de pirater un auteur Français, Belge, Italien qui lui, n’est pas dans « l’Ordre du monde » question de « ce qui est vendable, ce qui plaît au plus grand nombre, qui fait partie du « consommable » en matière d’art et de littérature ou de toute forme d’expression artistique… Et qui en conséquence n’a aucune chance de faire devenir un pillard ou un plagieur, une « renommée mondiale » !

    Il n’y a que du « vendable » ou du « qui rapporte » ou du « qui te fait du succès » qui fait plagier, copier, pirater, imiter ! Pas « trois hannetons à huit pattes faisant des trous avec leurs mandibules sur un cadre de vélo » qui n’interpelle que trois pelés trois tondus ! (rire)…