compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal - Page 56

  • Comportements hostiles en bord de mer

    Voile sur la plage.jpg

    Dans la religion quand nous reluisons nous ne sommes pas dans la laïcité… Et dans la religion quand nous relisons l’Écriture dans l’isolement nous sommes dans la laïcité…

     

    Un policier, un gendarme, un engagé dans l’armée, un employé de préfecture, un agent ou un infirmier en hôpital ou en clinique ou centre de soins médicaux, un enseignant, et, d’une manière générale un employé dans la fonction publique ou territoriale… Peut être musulman mais cela ne doit pas se savoir… Et dans les activités professionnelles citées ci-dessus, une femme ne peut en conséquence, exercer voilée ou la tête et les épaules couvertes du foulard islamique.

    Et idem dans toutes les disciplines sportives lors de compétitions locales, régionales, nationales, internationales… En France (notamment ayant lieu sur le territoire Français en ce qui concerne les compétitions internationales)…

    L’on ne devrait pas voir et encore moins montrer à la télé, de footballeurs d’un pays musulman en train de « brouter la pelouse » agenouillés le derrière en l’air…

    L’on ne devrait pas voir ni savoir qu’un militaire, qu’un gendarme, qu’un prof, se rend à la mosquée, s’il ne mange pas de cochon (à moins qu’il soit allergique à la viande de porc).

    Dans des formulaires d’inscription pour ceci ou pour cela, l’on ne devrait pas voir apparaître la question relative à la religion dont on peut être.

    L’on ne devrait pas voir, pour accompagner des enfants des écoles, de femmes auxiliaires de l’enseignement, conduire, voilées ou en foulard islamique, ces enfants en sortie éducative, en promenade.

    Dès lors qu’un militaire, qu’un gendarme, qu’un enseignant… Montre qu’il est musulman ou le laisse apparaître sans le dissimuler, il doit faire l’objet d’un entretien et d’un interrogtoire et peut en conséquence être démis de ses fonctions, licencié, révoqué… (Il doit faire en sorte que personne ne sache qu’il est musulman et donc veiller à ne pas se trouver dans une situation où il peut être suspecté d’être musulman)…

    Dans « en couple » que l’on soit marié ou que l’on vive ensemble sans être marié, pour un homme marié (Chrétien et Français) ou vivant avec une femme de religion musulmane, accompagner sa femme voilée ou en foulard islamique à Leclerc ou à Intermarché – et idem pour les beaux-parents de la femme faisant leurs courses avec leur bru voilée ou en foulard islamique… Ça devrait pas être concevable, car ça suscite des interrogations de la part des autres (de ses connaissances, amis, voisins, dans la localité où l’on vit)…

    De toute manière, se marier ou vivre en couple, avec un musulman pratiquant ou une musulmane pratiquante, « ça pose problème » !

     

    En définitive le fait qu’on ne voye pas encore de policière, de gendarmette, d’institutrice, d’infirmière, voilée ou en foulard islamique… « C’est délà ça » ! – pour le moment…

     

    Sur une plage, que bon nombre d’entre nous, attachés à la Laïcité dans notre pays et déplorant la présence de femmes voilées ou portant le foulard islamique, soient choqués et que certains en viennent à tenir des propos « quelque peu incisifs » ou même à avoir des gestes « agressifs » à l’égard de ces femmes… Est-ce « condamnable » et est-ce que cela doit être dénoncé ?

    Faut-il voir là « une forme de racisme » du fait que ces femmes soient arabo musulmanes ? (soit dit en passant il y a des femmes qui sont claires de peau, peut-être même d’anciennes chrétiennes pourquoi pas, et des « d’origine d’un coin de France depuis plusieurs générations de baptisés catholiques » devenues musulmanes par « foi survenue ou révélée en Allah à un moment de leur vie »)… Certes « assez rares » ces femmes là il faut dire !…

    Le « vivre ensemble » prôné par une Gauche « intellectualisée  et bizounoursique » de la complaisance à l’égard des musulmans affichant leur appartenance ostensiblement dans l’espace public, avec le « multiculturalisme » qui est associé au « vivre ensemble », ça ne marche pas ! Cela ne peut convaincre ceux et celles d’entre nous, attachés à la Laïcité – d’une part – et ceux et celles qui sont « anti religion toutes religions » - d’autre part… Et, encore d’autre part, il n’est nulle nécessité de se réclamer proche ou adhérent du Rassemblement National – ou d’un parti d’extrême droite – pour être choqué, outré et réagissant par des propos ou par des gestes jugés « limite » à la vue d’une femme en foulard islamique sur une plage…

    L’on peut être « de la Gauche de la Gauche » et être en même temps anti voile anti foulard islamique dans l’espace public ! Mais… « Il faut croire » que « être de cette Gauche là anti voile, c’est – dans le « paysage social » de nos jours « pas trop en odeur de sainteté » autant dire que c’est mal venu ! … Alors il est de ton convenu de dire que c’est l’extrême droite qui prend pour « dada » l’hostilité à l’égard de l’Islam… (Soit dit en passant afin de s’afficher plus crédible ou plus « soft », le Rassemblement National a renoncé à introduire dans la Loi l’interdiction du port du voile ou du foulard islamique dans l’espace public, alors qu’il l’annoçait clairement dans sa campagne électorale ! )

     

     

  • "L'habit ne fait pas le moine"

    De « vieux messieurs » - de plus de 80 ans – (mais aussi de « moins vieux » voire parfois des quadras) circulent en ville lors de jours de marché en été par temps ensoleillé, vêtus d’une chemisette rentrée dans le pantalon… Mais le pantalon est porté si haut du cul, la ceinture au niveau des reins, que ça fait – excusez moi du terme- « plouc » !

    Certes « l’habit ne fait pas le moine » et… Il y a ce souci de son apparence qui domine, quelques excenticités des uns et des autres, lors de « festivaux » locaux ou régionaux ainsi que sur les plages et dans les rues des cités balnéaires… Cette propension qu’ont – plus les femmes que les hommes – au port des lunettes de soleil dans les cheveux… Quant aux coiffures n’en parlons pas, ça va de la « casquette branchée » à toutes sortes de chapeaux, de bonnets – y’a même des casquettes avec rien que la visière (on se demande alors à quoi sert la casquette si ça protège pas le « crâne d’œuf » de la « soleillure »)… Bon c’est vrai : le pull jeté sur les épaules ou la veste passée sur le dos les bras pas dans la manche c’est « passé de mode »… Mais il y a -oh horreur et damnation – ces bides ultra-proéminents, ces derrières comme des bas d’armoires normandes, ces futals moulants qu’on se demande comment faire pour les enfiler (femmes et hommes)… Ces maillots et tee-shirts aux logos ostentatoires du genre « je suis ceci je suis cela » ou « fly émirates » ou le nom de quelque université américaine … Ces bustiers qui descendent à peine sous les épaules, ces dessus (maillots, polos et pulls) qui sont ou trop courts ou trop longs…

    Ces femmes obèses en jupe courte les mollets pris dans des bas de couleurs vives… Et j’en passe de mille et mille façons toutes aussi ridicules, voyeuristes, insolentes pour la frime, femmes hommes enfants garçons filles ados confondus sans compter les papys et les mamie’s…

    « L’habit ne fait pas le moine » mais il fait le clampin la clampine qui se dévisse se piercingue, se tatoue, se fly’émirate, que ça baigne dans le camping quatre étoiles ou sur les gradins en planches du toro piscine smartphone haut levé vidéohant le moment crucial le clou du spectacle…

    « L’habit ne fait pas le moine » mais il participe à la culture contemporaine…

  • Réflexion du jour, par 35 degrés à l'ombre, 13 août 2024

    Biens immobiliers.jpg

    Pour bon nombre de propriétaires de maisons et terrains attenants en zones recherchées – en fait partout dans notre pays – l’achat ou la vente de sa résidence principale ou secondaire est une priorité avec le souci de la valorisation de son patrimoine… D’où la « cote » des maisons que l’on voit sur cette image…

    Mais quelle est la « cote » de la relation que l’on entretient avec ses parents, ses frères et sœurs, sa famille, ses amis, ses connaissances, ses enfants et petits-enfants, ses voisins, les personnes avec lesquelles on travaille en atelier, bureau, entreprise, usine ; les employés dans les magasins, les commerces et les services ?

    Et la « cote » d’un bien immobilier – autant que possible un bien entretenu et valorisé – que devient-elle lorsque se fâche le ciel, que se soulève la terre, que le vent emporte les toitures, que les rivières à perte de vue débordent, que les forêts brûlent à proximité des maisons, que les murs se fendent sous l’action d’une sécheresse prolongée ou d’un affaissement du sol ?

    Et n’est-ce point la « décote » de l’être que tu es, qui n’a rien fait de ce que tout le monde fait, qui court les opinions, sépare, déconsidère, isole, moque, écarte, traite avec condescendance maquillée – tout cela « ni vu ni connu » parce que personne ou presque ne te dit ce qu’il pense de « cette affaire qui t’importe si peu mais qui importe tant aux autres »… Cette « décote » là ne se « décotera jamais » quand bien même le ciel nous tomberait sur la tête !

  • L'espérance

    Dans un monde – actuel - « qui va si mal », demeure l’espérance qui « sauve du désespoir »…

    Mais… Que dire du monde d’il y a cent ans, d’il y a mille ans… Que dire du monde de l’antiquité Gréco-romaine, du monde des peuples du Paléolithique Supérieur de 20 000 ans avant notre ère ?

    Allait-il plus mal, ou aussi mal, le monde, jadis ? C’est là une question sans réponse… Mais une question cependant, à la quelle sont données toutes sortes de réponses selon des interprétations différentes et à partir de « critères de valeurs »… Cela dit, les interprétations et les critères de valeurs se sont multipliés et accrus depuis la seconde moitié du 20ème siècle, et d’autant plus au 21ème avec la technologie animée d’intelligence artificielle (l’on interprète même le futur)…

    Jusqu’au 19 ème siècle il n’y avait que les peintres et les sculpteurs pour saisir les scènes, les personnages, les décors… C’était déjà de l’interprétation, même au mieux saisi et représenté, de la réalité…

    Au 21ème siècle avec la technologie et l’intelligence artificielle l’on arrive à reconstituer des présents historiques tels qu’ils « devaient être » à l’époque et donc, à les voir virtuellement…

    Dans les animations de spectacles futuristes lors de grands shows d’événements sportifs, culturels, retransmis sur toutes les télés ; tout ce que l’on voit s’ancre en images dans nos esprits et nous dessine les paysages urbains, les environnements de demain, de « dans cent ans, de dans dix mille ans »… Ce ne sont là, toutes ces images, toutes ces animations, que du « projeté  à partir de notre présent » et « rendu crédible par la technologie animée d’intelligence artificielle » produisant les effets, les scènes, les personnages, les décors, les environnements…

    Mais… Est-ce que dans cent ans, est-ce que dans mille ans, ça sera comme ça ? Nous n’en savons à vrai dire rien… À croire que la connaissance, que la réalité qui sera, se « fabrique » !

     

    L’espérance ne rend pas le monde meilleur, ne crée pas la paix, n’empêche pas la guerre, ne mouche pas la violence… Mais il y a dans l’espérance ce qui incite à un « autrement possible »…

    L’espérance se « matérialise » par les œuvres humaines – sportives, culturelles, artistiques et autres, nécessitant du talent, du travail personnel et de l’effort collectif…

     

    L’espérance est-elle plus grande, la sent-on plus nécessaire parce que le monde va mal ?

    Dans un monde qui irait bien, qu’en serait-il de l’espérance ?

  • Une Nième « réflexion du jour » qui « ne verse pas dans le monument de littérature et d’écriture loin s’en faut » ! (rire)

    Internet ne rend les gens ni plus intelligents ni plus cultivés, et Google et Bing sont des béquilles dont ne peut plus se passer pour marcher. Car puisque tout est dans Google, à quoi bon avoir une bonne mémoire ?

     

    Cela dit, certains – en général des générations des nés avant 1990- disent qu’ils regrettent le téléphone fixe, le fax et la machine à écrire, le papier à lettre et le stylo plume… Et la photo argentique et la caméra super 8 à la papa des années 1970…

     

    La « parlotte » au téléphone ? Quand ça sonne c’est presque jamais au moment opportun, ça te « dringue-coupe-la-chique » super invasif alors que t’as les mains mouillées, pleines de farine ou autour du cou de ta bien aimée… Et puis, quand c’est lancé la parlotte, surtout si c’est l’un des deux qui accapare la converse, tu sais jamais comment arrêter (paraît-il que c’est à l’appelant de conclure – et non à l’appelé)…

    La parlotte au téléphone, quand ce que t’as à raconter de ta vie au quotidien, n’intéresse aucunement l’autre parce qu’il se situe dans un tout autre environnement de trucs à la mode d’activités « enrichissantes » et « valorisantes » et entouré d’amis dans le même ordre de vie et d’activités dans la modernité »… T’as plus qu’à le laisser parler et à l’écouter, juste dire oui, oui…

     

    Le fax c’était déjà mieux que la parlotte au téléphone mais ça marchait pas toujours !

     

    La machine à écrire c’était la galère pour les corrections, les copies avec carbone, les rubans, l’alignement, les marges…

     

    Le papier à lettre et le beau stylo plume, d’accord… Mais pour la réponse fallait attendre de 2 à 15 jours voire un mois ou plus – si devait réponse y avoir…

     

    La photo argentique c’était galère pour mettre la pellicule pile au poil près, plus le développement chez le photographe, relativement coûteux plus deux jours d’attente.

     

    La caméra super8 à la papa de 1975 - « parlante top du top du progrès » galère aussi pour ces films de 3 minutes qu’il fallait coller pour faire une bobine d’une demi heure à mettre sur un projecteur devant un écran…

     

    C’est bien mieux aujourd’hui en 2024 les mails, la messagerie smartphone, whatsapp, messenger… Quand c’est que de l’écrit c’est idéal pour souhaiter fête et anniversaire, tu t’emmerdes pas à devoir te casser la tête pour dire quelque chose en plus – des banalités d’usage… Et à « entretenir le crachoir trois heures » sans savoir comment à la fin arrêter la parlotte…

    C’est que « conclure » au téléphone, c’est pas facile… à part dire « excuses moi faut que j’aille faire pipi » ou « je dois partir en courses » ou « je vais faire un tour en vélo »…

     

    Bon c’est vrai il faut reconnaître : la mémé ou le papy en EHPAD qui sort presque jamais de sa chambre et qui attend le coup de fil du petit fils, de la petite fille, il, elle décroche aussitôt et vas-y trois heures de parlotte (sauf que « patates salades » c’est rapé depuis que la mémé fait plus de jardin… Reste plus que le monde qui va mal, la politicaille et la météo qui déconne… Et les « dans le temps… suivi fu feuilleton habituel à rallonges et re-rallonges »… Le « défilé des souvenirs »)…

     

    Cela dit, si Google et Bing c’est des béquilles et si c’est l’idéal pour savoit tout dans l’immédiat sans galérer trois heures de recherche comme avant dans des encyclopédies Hachette… Ça empêche pas d’avoir et d’entretenir de la capacité de réflexion, d’analyse, de comparaison, de prise en compte des infos obtenues… En un mot de faire marcher ta cervelle, tout ça en plus de savoir retenir, situer dans le temps, rapprocher d’autres faits, etc.

     

    Ah, pour le téléphone fixe : y’a désormais le petit écran LCD où tu vois apparaître le numéro de l’appelant, et ça c’est génial parce que ça te dit en fonction de la typologie du numéro, si c’est un emmerdeur une pub un quémandeur (dans ce cas là tu laisses sonner)… (en téléphonie mobile c’est pareil : derrière le 06 y’a le premier groupe de chiffre signalant que c’est un emmerdeur)…