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Journal - Page 81

  • Écoute sur smartphone

    Si en général, l’écoute lors d’une conversation entre personnes ou encore lors d’une émission en direct LCI, France Info par exemple, est excellente sur un smartphone (il n’est pas nécessaire comme beaucoup le font, de coller l’appareil à son oreille, et il vaut bien mieux d’ailleurs, tenir l’appareil devant soi à environ 30 ou 50 cm dans sa main) …

    En revanche lorsqu’il s’agit d’entendre et de comprendre un message audio envoyé par un appelant qui, n’ayant pu vous joindre, après le bip sonore, vous laisse un bref message audio… Alors là, il se trouve que le message n’est pas audible : l’on entend à peine la voix de l’appelant, l’on ne comprend donc rien de ce que dit cet appelant, même en collant l’appareil à son oreille et faisant l’effort d’essayer de comprendre !

    D’où la pertinence -évidente – qu’il y a pour l’appelant, à laisser plutôt un message bref écrit (SMS) qu’un message audio… Ce qui implique bien sûr, de la part de l’appelant, d’accepter de consacrer au moins deux minutes « de son temps précieux » afin de rédiger le message…

    Que ceux et celles d’entre vous qui privilégient l’oralité, « rechignant » à consacrer deux minutes de leur temps afin d’écrire ne serait-ce qu’une phrase de moins de dix mots… « Se le tiennent pour dit » !

    De surcroît, le message audio à peine entendu tant le son est faible et bien sûr non compris, n’est plus réécoutable, du fait qu’il est considéré écouté…

    Bon, peut-être qu’avec un smartphone à 1300 euro, les messages audio laissés par un appelant sont-ils « plus compréhensibles » ? C’est à voir…

     

  • Un rêve très étrange

    Ne pouvant être qualifié ni de cauchemar ni de quoi que ce soit d’autre…

     

    Dans une sorte de parc expo de forme ovale, couvert, ressemblant à un stade en lequel on assiste à des matches de foot ou de rugby, ou à des compétitions athlétiques ou sportives, immense, et au centre, une arène au sol sablonneux, circulaire, autour de laquelle s’étagent des rangées de gradins occuppés par plusieurs milliers de spectateurs… Tel est le décor d’ensemble.

    Et le spectacle commence…

    Un énorme loup – ou plutôt un animal ayant l’apparence d’un chien très féroce et en même temps d’un loup, vraiment énorme, d’une taille comparable à celle d’un jeune taureau, effectue dans l’arène des bonds, parcourant en tous sens en une course effrénée…

    Ce « loup » est d’une fourrure de poils longs d’un noir, d’un gris et d’un blanc aussi vifs que brillants…

    Survient un cavalier monté sur un cheval fougueux, tous deux, le cavalier et sa monture, noirs, gris et blancs tout comme le « loup », le cavalier dans une houppelande fourrée, la tête couverte d’un bonnet à poils, le visage masqué, tout de noir, de gris et de blanc de la tête aux pieds ; et le cheval dans sa fourrure de poils longs, également noire, grise et blanche…

    Les milliers de spectateurs dans les étagements de gradins, suivent le cavalier qui effectue des sauts par dessus le « loup » et poursuit ce dernier en l’encerclant…

    Et le « loup », furieux, très menaçant, montre ses crocs, essayant de mordre les pattes du cheval, s’agitant avec frénésie, en des bonds désordonnés, se retournant, se tordant en tous sens…

    Et le cheval, à force de harcèlement, de hennissements, de course effrénée autour du « loup », parvient à bloquer ce dernier en lui enserrant l’encolure entre ses pattes de devant, de telle sorte que la tête du « loup » ne peut plus bouger, immobilisée qu’elle est par étranglement…

    Et l’étau des deux pattes du cheval se resserre, le « loup » halète, ses yeux furieux s’équarquillent, et visiblement dans quelques minutes, il va périr étouffé, son cou pris entre les pattes de cheval, la pression se faisant plus forte…

    Mais – et c’est bien là ce qui est étrange (et pour ainsi dire surréaliste) – tout à coup le cheval desserre son étreinte mortelle, se place tout à côté du « loup » dont les yeux « étonnés » se lèvent en direction des gradins occupés par les spectateurs… Et les deux animaux alors, l’un à côté de l’autre ; le cheval monté par son cavalier et le loup étendu sur le sable de l’arène, tous les trois en noir, blanc et gris formant un ensemble pouvant s’apparenter à un grand dessin au fusain réalisé par un artiste…

     

    ---- Nuit du lundi 27 au mardi 28 novembre 2023, vers trois heures et quart…

     

    Je ne sais que penser, de ce rêve qui, apparemment ne me semble actuellement du moins, aucunement compatible avec ma « vision » du monde, de la société, des rapports de relation humaine « dans un sens positif, optimiste, porteur d’espérance et de foi en l’Homme… « Vision » je dois dire, impactée par ce qui vient à ma connaissance de la violence actuelle accrue, du monde, de la société…

     

    « L’on dit » que des rêves peuvent être porteurs de message… Je veux bien…

     

    Toujours est-il que ce que je décris dans ce rêve, c’est comme si je l’avais de mes yeux vu vraiment vu, et cela avec toute la précision de détails que je donne, de telle sorte que le « tableau vivant » est demeuré totalement intact à mon réveil… Et jamais jusqu’à la fin de mes jours, ne quittera ma mémoire…

     

     

  • Une politique migratoire peut-elle être possible dans l'Union Européenne ? ...

    ... Et laquelle ? 

     

    Si les flux migratoires ont toujours été, de par le monde, depuis la Préhistoire (depuis le Paléolithique Supérieur de -35000 à -12000) un phénomène naturel et constant (cependant par périodes, renforcé par les guerres ayant entraîné des exodes de populations, par des famines, par des événements climatiques, par des persécutions de peuples – Juifs, protestants entre autres en Europe médiévale et contemporaine)…

    Ils ont au 21ème siècle pris une plus grande ampleur notamment vers les pays Européens depuis l’Afrique, depuis le Moyen Orient, depuis des pays d’Asie centrale, du fait des conflits résultant de ce que l’on a appelé en 2011 « le printemps arabe » ou « révolutions arabes » ainsi que de l’intervention armée des USA, de la France et de l’Angleterre en Afghanistan depuis 2001… Tout cela en grande partie lié à la montée de l’Islamisme radical fondamentaliste et du terrorisme djihadiste depuis 2014, en Afrique subsaharienne, Irak, Syrie, Pakistan, Afghanistan… Et à l’implantation de l’islamisme radical par de nombreux migrants musulmans vivant en communautés dans les pays de l’Union Européenne dont surtout la France, l’Allemagne, les Pays Bas, la Suède, l’Italie…

     

    Aux événements liés aux guerres et aux conflits ayant entraîné des départs de populations impactées par des mouvements de troupes armées, par des bombardements, des destructions de villes, à une insécurité devenue permanente, à une misère et à une précarité accrue dans les camps de réfugiés surpeuplés ; ce sont ajoutés les événements liés au changement climatique avec des périodes plus longues de sècheresse ou au contraire de pluies diluviennes avec inondations, notamment en bordure océanique de pays maritimes… Ainsi que des crises économiques affectant des pays déjà fragilisés en lesquels la majorité de la population vit « sous le seuil de pauvreté »…

     

    En conséquence les populations européennes « de culture ancestrale implantée depuis le Haut Moyen Age » ont assisté depuis les années dix du 21ème siècle, à une augmentation aussi accrue qu’importante des flux migratoires, pratiquement tous issus d’Afrique, du Moyen Orient pays arabes, d’Afghanistan…

     

    Et rien à l’heure actuelle, aujourd’hui en 2023 et dans les années qui viennent, ne peut arrêter ni même diminuer la pression de ces flux migratoires… C’est comme le vent que l’on ne peut arrêter – mais contre lequel on dresse des obstacles du genre grandes palissades ou amoncellement de branches, de végétaux formant de hautes dunes…

     

    Juste une question soit dit en passant : que ferions nous, européens que nous sommes, si nos pays devenaient « théâtre de guerre, de bombardements incessants, de lignes de front de bataille, de combats, de destructions, de paralysie de notre économie, de privations subies, d’envahissement de troupes armées » ? Est-ce que l’on traverserait l’Atlantique sur des embarcations précaires pour migrer en Amérique ? Ou traverserait-on dans des conditions de déplacement difficiles, tout le continent Eurasien pour migrer en Chine ? Je vous laisse « imaginer la chose » !

     

    « Il semblerait » pour ne pas dire qu’il « se profile », que, dans les opinions publiques des pays de l’Union Européenne, les partis d’extrême droite « seraient mieux à même de répondre au problème des flux migratoires » et que les partis anciennement ou récemment encore majoritaires (conservateurs, sociolibéraux ) « auraient mal géré les flux migratoires »…

    En somme les partis d’extrême droite :

    -Qui participent au gouvernement en Finlande, en République Tcèque, en Slovaquie, en Hongrie, en Roumanie et en Italie

    -Qui soutiennent le gouvernement en Suède et depuis le 23 novembre 2023 aux Pays Bas

    -Qui sont le premier ou le deuxième parti dans les sondages nationaux en France, en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne, en Pologne et en Autriche

    Appuyés et soutenus d’ailleurs par les états dictatoriaux de Russie, de Chine, de Turquie, d’Iran, d’Argentine et encore récemment du Brésil, et d’une manière indirecte, hypocrite et à dessein par les monarchies du Golfe et des pays Arabes…

    Sont des partis qui sont comme le vent que l’on ne peut arrêter même avec des palissades de dix mètres de hauteur !

    Un vent sous lequel nous serons contraints de vivre mais avec moins de confort et de facilité que sans vent ou sous un vent faible … Sauf pour une minorité d’ultra privilégiés qui eux, ne seront jamais inquiétés au contraire, par des partis d’extrême droite au pouvoir !

     

    L’insécurité, l’immigration non ou mal maîtrisée, « l’argent rendu au peuple », la restauration des valeurs, une police plus efficace… Tout ça thèmes forts des partis d’extrême droite… Mais « de l’autre côté de la médaille dont la face présentée brille tel un sou neuf et attire autant de gens dont beaucoup jadis étaient de Gauche » il y a les lobbies, les dominants, les ultra riches, les grands décideurs, les privilégiés, la « croissance économique de marché durable » (mais surtout profitable aux privilégiés)…

     

    En somme l’Ordre du Monde tel que des pays comme la Chine de Xi Jinping, la Russie de Poutine, la Turquie d’Erdogan, l’Iran des Ayatollahs, les monarchies du Golfe le conçoivent et l’organisent cet Ordre du Monde…

     

  • Ignorance ou indifférence

    Indifférence.jpg

    Cette image montre à quel point de nos jours, il est malvenu, piétiné, zappé… Et jusqu’à honni, dans la plupart des conversations, des propos échangés, de ce que l’on poste sur les réseaux sociaux, de ce dont on discute au bistrot du coin… Toute réflexion plus ou moins approfondie, développée, argumentée – et de surcroît – empreinte de sa « patte »…

    J’ai dans l’idée que le type au pull vert et aux cheveux roux ne viendra jamais dans ce bistrot, tenant en laisse une vache bleue et demandant que l’on lui serve au comptoir, pour lui un Martini mandarine et pour sa vache un lait fraise…

    Quant au type en costard gris, que ne pose – t – il pas la même question à « Bing » moteur de recherche sur internet « carburant » à l’Intelligence Artificielle » !

     

     

  • Cacophonie

    Les puissances médiatiques – presse, audiovisuel – relayées par les réseaux sociaux et par les ordres d’opinion publique, chargent de leurs liquides viciés, l’eau de tous les pleurs ; se répercutent en échos désaccordés de flancs de montagnes en flancs de montagne, proches ou lointains, de val en val, de ville en ville et même par delà les océans…

    Ce sont des échos désaccordés, longs et percutants ; déchirant des silences résistants, murmurant des indifférences… Qui renvoient sans cesse des rires, des plaintes, des cris, des allégresses, des afflictions, des chagrins, de la morosité, des grondements…

    Et toutes les voix du monde…

    Quelle cacophonie !

    Et dans cette cacophonie il devient de plus en plus difficile d’entendre le chant du traquet rieur, le coassement du crapaud un soir de juillet dans les jardins, et… Encore moins ce que des vagues se brisant sur les rivages peuvent porter d’histoires, de vies, de confidences et de visages à un promeneur sur une plage…