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Journal - Page 79

  • Série Histoire de France sur France 2

    Lundi 22 ocobre épisodes 5 et 6… Dans cette série documentaire « Notre Histoire de France » réalisée par Caroline Benarrosh, Yannick Adam de Villiers et François Tribolet, nous sommes – je me risque à le dire - « dans une Histoire pour les Nuls »… Mais l’on doit cependant reconnaître que, vu le niveau de culture historique actuel du commun des mortels dans ce beau pays de France, notamment chez les jeunes des écoles, des collèges et des lycées – mais également chez les 30/40 ans… L’on pourrait tout de même qualifier ce documentaire Notre Histoire de France , de « premier choix », ayant au moins le mérite d’esquisser « dans les grandes lignes » l’histoire de notre pays, la France…

     

    Je ne sais pas si c’est « si heureux que cela » d’introduire comme témoin des événements de chaque époque évoquée (comme s’il s’y trouvait au beau milieu des personnages de chaque époque en tant que narrateur présent sur les lieux) le comédien Tomer Sisley…

    Les passionnés d’Histoire ayant acquis -disons- « quelques connaissances » en regardant cette série documentaire « n’apprendront certainement rien de plus que ce qu’ils savent déjà »…

     

    Espérons que l’historienne Claude Gauvart, spécialiste du Moyen Age, tout comme Georges Minois ; se révèle « assez convaincante » dans sa tentative de rétablir la réalité historique du personnage mythique de Jeanne d’Arc – que tout croyant qui se doit et que même des gens ne mettant jamais les pieds à l’église – pense avoir été inspirée de Dieu par des voix entendues (ce qui fonde la légende)…

     

    Les « gros plans » sur les combats, sur les batailles, sont surtout à mon sens des « effets d’image » … Soit dit en passant je « rigole » en pensant à certaines personnes « sensibles » (plus des femmes que des hommes) « horrifiées » à la vue des « trucidages » à l’épée ou à la masse de fer… Qui néanmoins ne grimacent pas à la vue de la côte de veau servie dans leur assiette, ou à la vue d’une fricassée de cuisses de grenouilles…

    Et je « rigole » aussi en pensant à de jeunes dames et demoiselles ou même à des personnes d’une sensibilité exacerbée et « bizounoursique », horrifiées à l’évocation d’une tuaille de lapin ou de cochon pratiquée à la ferme dans la campagne des années 1950… Toutes ces personnes décidant de ne pas regarder « Notre Histoire de France » sur France 2 « parcequ’il y a trop de tueries et de massacres »…

     

     

  • Changement d'heure

    Deux fois dans l’année, c’est une galère pour changer l’heure des montres digitales à quatre boutons poussoirs S1 S2 S3 S4, lesquelles montres offrent l’avantage d’être phosphorescentes la nuit quand tu te réveilles pour une raison ou une autre et souhaites voir l’heure qu’il est, avec appui sur S1 en haut à gauche

    Un appui long sur par exemple S3 sur la droite puis un appui sur S2 droite pour accès à « SET » puis régler avec S3 ou S4 droite, valider par nouvel appui S3… Quelle galère ! D’autant plus que selon le modèle de la montre – il y a 36 modèles différents – c’est jamais tout à fait la même procédure pour modifier l’heure !

    Lire le mode d’emploi, c’est une chose, mais comprendre et appliquer, c’est autre chose !

    Donc c’est bien plus simple avec les montres à aiguilles où il suffit de tirer le petit bouton sur le côté droit pour faire bouger l’aiguille des heures dans le sens voulu… Mais en général, les montres à aiguilles ne sont jamais phosphorescentes la nuit !

    Quant à l’horloge intégrée dans le tableau de bord de la voiture, c’est encore plus galère ! Du coup, je laisse pendant sept mois l’heure d’hiver si c’est en février que j’ai acheté la voiture.

    Et il y a encore l’horloge de la cuisinière électrique ou à induction…

    « Question à deux balles » :

    Est-ce que celui ou celle qui sait faire, se trompe jamais, n’hésite jamais, maîtrise en un quart de seconde – et, soit dit en passant, prend celui qui sait pas faire pour un con ou un demeuré, est plus intelligent qu’un autre ?

    Et, « question subsidiaire » :

    Qu’est ce que l’intelligence, domment définit-on l’intelligence, sur quels critères ?

    Et, que dire du rat qui parvient à choper le petit bout de fromage fixé sur le crochet de la tapette sans que la tapette se détende et tue le rat… (Et idem pour la souris) ?

    Et que dire de la poule qui se démène à coups de bec répétitifs pour choper du grain derrière un grillage en face d’elle, alors que le grillage n’a qu’un mètre de long et qu’il suffirait à la poule de contourner le grillage ? La poule qui, pourtant, te reconnaît au son de ta voix quand tu l’appelles !

     

     

  • Propagande dominante

    Combattre la haine avec des manifestations, des haut-parleurs diffusant des discours, en invoquant les droits de l’homme, en faisant appel aux tribunaux, aux lois internationales, à la justice, en déplorant la vindicte publique et la vengeance…

     

    Combattre la haine par la littérature, par l’art, par la culture, par l’éducation, par ce que la civilisation apporte d’humanisme, de justice, de bienfaits, de progrès dans la société… C’est, tout cela, ce à quoi croient environ un milliard d’humains c’est à dire un milliard de personnes dans le monde qui ne sont pas au quotidien de leur vie, directement confrontés à la violence, à l’insécurité, à la précarité ; et qui pensent que les hyènes et que les chacals peuvent être apprivoisés…

     

    C’est là une propagande, que celle d’un milliard d’humains, qui consiste à résister à la haine, à tendre la main, à comprendre, à considérer, à reconnaître, à composer, à concilier… Qui, dans une réalité brute, une réalité crue et nue, est en train de détruire la société, la civilisation même, qui est parvenue tant bien que mal à s’édifier à travers les siècles, sinon à travers les millénaires…

     

    Et en face de cette propagande il en est une autre, sans doute encore bien plus puissante, et qui elle, s’adresse à beaucoup plus qu’un milliard d’humains, appelle à adhérer, à croire en son bien fondé et en sa mission ; c’est cette propagande là, la propagande islamiste – ou d’islamisation du monde…

     

    Une propagande disposant de moyens financiers et humains (troupes, groupes, agents infiltrés) colossaux, à tel point que bon nombre d’organisations internationales -même humanitaires- sont investies, infectées…

     

    Car il existe – c’est une réalité- une ligue islamiste mondiale dont le Qatar, l’Iran, le Pakistan, l’Arabie Saoudite, les Emirats, l’Algérie, l’Egypte, font partie…

     

    L’organisation du travail – salarié ou contraint forcé – ainsi que l’organisation de la société en l’absence de démocratie et de liberté et dans une soumission totale, dans l’islamisme, est pire que celle qui existait au Moyen Age, pire que celle, imposée au 21ème siècle par les dominants, possédants et décideurs de l’économie libérale capitaliste marchandisée mondialisée…

     

    La haine, « eux » les islamistes et leurs milices, leurs troupes, leurs combattants, leurs dirigeants – et leurs infiltrés – ils ne la combattent pas, au contraire ils la distillent, la propagent, l’encouragent, la prônent…

    Et la manière dont environ un milliard d’humains dans le monde combat la haine, produit les mêmes effets qu’une politique de collaboration avec l’ennemi et l’envahisseur…

     

    La violence armée en réaction à ce que produit la haine, fait, occasionne ce que l’on convient d’appeler « des victimes collatérales »… Et ce sont ces victimes là qui « posent problème », sensibilisent, orientent les opinions (comme par exemple en 1944 lorsque les Alliés ont rasé Caen pour déloger et éliminer les occupants nazis, toute la France encore pétainiste anglophobe condamnait les bombardements des Alliés en Normandie)…

     

    Le Hamas et le Hezbolah, c’est comparable au nazisme : ils sont, le Hamas à Gaza, et le Hezbolah au Liban, comme à Caen et au Havre en 1944 étaient les Nazis occupants, au milieu d’une population autant subissante d’un côté, qu’adhérente de l’autre côté…

    Et… Eliminer, tuer les dirigeants, ça désorganise, mais restent les combattants sur le terrain, livrés à eux mêmes et non dirigés, qui font autant de mal chacun isolément… (le côté positif qu’il y a dans l’élimination d’un dirigeant, cependant, c’est que les combattants peuvent ne plus s’entendre entre eux et se séparer en plusieurs groupes, ce qui décoordonne leur action et donc les affaiblit)…

     

    Bien sûr être Libanais et pas pro Hezbolah, ou être Gazaoui et pas pro Hamas, et avoir une jambe arrachée ou être déchiqueté et broyé dans l’écroulement d’un immeuble bombardé, c’est dramatique, c’est injuste… Mais y’a-t-il une autre solution que le recours à la violence ? Nous citoyens de pays de l’Union Européenne et des Etats Unis d’Amérique, dans notre confort et dans notre sécurité relative, éloignés que nous sommes des zones de guerre, juste des observateurs qui voient à la télé, nous ne sommes pas sur place, au Liban, à Gaza, en Israël… Confrontés directement à la violence, aux conséquences de la guerre…

     

  • Désespoir

    « L’habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même » ( Albert Camus )

     

    Il faut dire que l’habitude du désespoir est entretenue par l’opinion dominante axée sur tout ce qui va mal et ne s’articule jamais sur ce qui va bien…

     

  • Prendre le temps ou non, de parler

    Certaines personnes vous parlent quand elles ont le temps et d’autres libèrent leur temps pour vous parler. Faites la différence…

     

    Oui, mais la différence c’est aussi cela :

     

    Qu’elles vous parlent quand elles ont le temps ou qu’elles libèrent leur temps pour vous parler… Encore faut-il savoir de quoi il y a lieu de parler !

     

    Déjà, de vive voix et en face l’un de l’autre, c’est mieux (peut-être plus facile?) que par téléphone… En effet le problème à mon sens majeur de la communication par téléphone c’est « comment conclure, lequel des deux décide de la conclusion et comment » – en principe celui qui conclue c’est celui qui a appelé l’autre…

    C’est la raison pour laquelle « par mail » ou par « message rédigé » c’est plus aisé parce que pour conclure ça se fait tout seul sans problème donc sans tergiversation stressante (« à plus, bien à toi, bises, bonne journée » )…

     

    Savoir de quoi parler c’est pour ceux et celles qui ont entre eux des intérêts communs relatifs à des faits ou à des sujets de la vie quotidienne que l’on partage (jardinage, promenade, sortie, cinéma, télé, actualité du coin et ou du monde autour de soi, météo, « dadas » qu’on a en commun, projets de l’un ou de l’autre…)

    MAIS… Lorsque les intérêts, les activités, le mode de vie entre l’un et l’autre sont totalement différents et que l’un des deux n’est pas du tout intéressé par ce que peut faire l’autre dans la journée… Et qu’en plus y’en a un des deux qui revient à chaque fois sur le même sujet qui « pose problème »… Alors que tu aies le temps ou non de parler, ou que tu aies la volonté de bien vouloir prendre le temps « ça ne change pas grand’ chose ! » dans la mesure où cela n’incite ni l’un ou ni l’autre à parler (de vive voix ou par téléphone) – dans ce cas le silence s’avère « confortable » (et l’on s’y habitue très bien)…

     

    « Il y aurait beaucoup à dire » sur le silence, sur l’absence, sur l’indifférence – supposée ou réelle – des autres, ou de tel autre en particulier qu’il soit un proche, une de ses connaissance…

    « Beaucoup plus… À réfléchir en fait… »

    Parce que cela n’a pas forcément quelque chose à voir avec une morale, avec un principe, avec du bien ou mal fondé – il faut considérer la réalité de telle ou telle situation de relation , avant de reprocher quoi que ce soit ou au contraire de louer, de « montrer en exemple un comportement jugé convenable »…