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Journal - Page 80

  • Nombre accru de sinistres déclarés

    Le nombre PAR JOUR en France, en 2020, de sinistres déclarés et traités par l’ensemble des sociétés d’assurance, était de :

    19200 automobiles, tous véhicules et acdidents de la circulation

    9750 concernant l’habitation – dégâts incendie, inondation, tempêtes, cambriolages etc.

    Et 3660 en entreprises et commerces mêmes raisons que pour l’habitation

     

    Dans les années suivantes 2021, 2022 et 2023, ce nombre est en augmentation du fait des dégâts causés déjà par les intempéries, et ensuite par les autres causes…

     

    L’on imagine sans peine chaque jour pour les sociétés d’assurance le nombre d’affaires à traiter avec ce que cela suppose d’expertises, de mobilisation d’entreprises pour les réparations, et de tout l’appareil administratif et gestionnaire et judiciaire assorti…

     

    Il ne faut donc pas s’étonner que pour les sinitres « mineurs » liés à des « froissements de tôle », à des fenêtres ou des portes fracturées lors de cambriolages, les dossiers n’étant pas prioritaires, un temps « interminable » s’écoule avant même le début du traitement de l’affaire, autrement dit si tu as une portière de ta voiture enfoncée lors d’un choc avec un autre véhicule, du moment que ta voiture roule, tu vas rester plusieurs semaines avec ta portière enfoncée… Ou qu’après un cambriolage ta fenêtre forcée avec un carreau cassé devra rester fermée sommairement (« les moyens du bord ») durant deux ou trois mois avant que ne vienne le réparateur agréé par ton assureur…

    Quant à une partie de ta toiture endommagée par une tempête, la chute d’un arbre, eh bien tu vas rester deux ou trois mois ou plus avec la bache des pompiers recouvrant la partie endommagée…

     

    Et que dire du nombre énorme de sinsitres déclarés – par centaines, par milliers même, dans tout un département (l’on pense au Pas de Calais depuis début novembre 2023 avec la dernière tempête accompagnée de pluies diluviennes sur plusieurs jours, des centaines de maisons devenues inhabitables, de voitures inutilisables, de commerces et d’entreprises devant cesser leur activité, ou très impactés par les dégâts causés)…

     

     

  • L'Homme ne naît pas bon, il naît naturel

    Hannah Arendt, Jean Jacques Rousseau et Platon en leur temps ont dit :

    « L’Homme naît bon, c’est la société qui le corrompt »…

    Ces trois grands philosophes que sont Hannah Arendt, Jean Jacques Rousseau et Platon, dont je reconnais la justesse et la profondeur de leur pensée et de leur enseignement en leur temps ; par cette réflexion qu’ils ont eu « l’Homme naît bon, c’est la société qui le corrompt »… Cependant m’étonnent, m’interpellent, mais leur réflexion sur « l’Homme bon » n’emporte pas mon adhésion…

     

    L’homme – dis-je- « ne naît pas bon mais naît naturel » - encore que la nature ne lui a pas donné à sa venue au monde, comme aux autres êtres vivants, « l’intelligence innée acquise dans les gènes » ou si l’on veut « ce qui est acquis sans l’avoir appris, directement transmis de génération en génération de son espèce en tant qu’être vivant »…

     

    L’Homme actuel depuis un peu plus de 200 mille ans, Sapiens, n’a pas comme avait eu Néandertal son « cousin », dans la partie arrière de son cerveau, aussi développé que son « cousin », le siège de l’intelligence innée et donc de l’aquit naturel transmis de génération en génération mais en revanche Sapiens a dans la partie avant de son cerveau (le lobe frontal) le siège plus développé que ne l’avait Néandertal, de l’intelligence qui se « construit » à savoir la capacité d’apprentissage, d’adaptablité et d’accumulation de connaissances (mais aussi soumis et conditionné par ce qui l’influence, par ce qui l’incline à tel ou tel comportement et qui vient de ce qu’il reçoit et perçoit de son environnement)…

     

    La bonté est en fait une « réalité et en même temps un concept purement et uniquement humain » - que nous attribuons, nous humains, aux animaux, en particulier aux animaux que nous domestiquons…

    Une louve par exemple, protège ses petits, de même une chatte, une chienne, une renarde ; la plupart des animaux vivant en communauté ou en meutes, groupes, bandes ; dans leur instinct de survie et de perpétuation de leur espèce, afin de se protéger des prédateurs, sont solidaires entre eux – quoiqu’ils éliminent leurs éléments indésirables ou trop faibles…

     

    L’Homme ne « naît donc pas bon » mais il peut oui, acquérir la bonté et cela dès son enfance en fonction de l’éducation qu’il reçoit de ses parents ou de ses maîtres d’école, ou encore de personnes qu’il rencontre dans son environnement social… Ou même encore « de par son caractère » qui incline à la bonté, une bonté lui venant de ce qu’il perçoit dans son intériorité, dans son rapport avec les autres autour de lui…

    La société n’est rien d’autre que la somme – immense et diverse – de toutes nos individualités dont chaque individualité est un contenu d’une grande complexité de composantes…

     

    « La société corrompt l’Homme » ne peut pas être une affirmation comme par exemple « le jour est clair la nuit est sombre »…

     

    L’Homme « ne naît pas bon » - tout comme d’ailleurs il « ne naît pas mauvais » ; il naît avec tout ce dont il est fait, inégalement réparti, en partie relié, en partie désaccordé, et l’inégalité dans la répartition peut-être plus importante dans un sens ou dans un autre… Tout cela lui venant en naissant, de ce qui le précède et qui a déterminé un « profil » (son profil)…

     

     

  • Est-il « pertinent » de qualifier d’« ultra droite » des manifestations en réaction de la mort du jeune Thomas à Crépol ?

    L’ultra droite c’est rappelons le : les skinheads, les néonazis principalement, et aussi les antisémites purs et durs liés au nazisme et partisans d’un état policier et dictatorial avec retour de la peine de mort et des camps d’internement…

     

     

    Est-ce que s’opposer avec violence et détermination contre :

    Le « racisme anti blanc »

    Contre un Islam identitaire communautaire radical et fondamentaliste envahissant

    Contre ces bandes armées de trafiquants de drogue qui sèment la terreur et assassinent des gens en pleine rue

    Contre ces racailles toutes ethnies et origines confondues qui s’adonnent au racket, qui violent des jeunes femmes et des adolescentes, qui se livrent au pillage dans des manifestations, qui commettent des agressions dans des collèges et des lycées à l’encontre de professeurs, de proviseurs, d’autres élèves 

    Contre ces rappeurs violents et racistes dont les « textes » ne sont que des imprécations barbares anti France anti blanc etc. …

    Est-ce que s’opposer à tout cela qui pourrit la vie au quotidien de millions de Français habitant des villes et des zones péri urbaines… C’est « être d’ultra droite » ? (et être même « seulement » pour Marine Le Pen et le Rassemblement National contre une « gauche » déliquescence et complaiso – arrangeante à l’égard de l’islamisme identitaire?)…

     

    Cette « guerre civile » dont il est question dans des débats à la Télé, dans les médias, sur les réseaux sociaux… Et qui est brandie tel un épouvantail… Est d’abord et essentiellement – il faut le dire – le fait patent, avéré, constaté, subi, de ceux qui « tirent les premiers » c’est à dire les racistes anti blanc et tous ces individus agissant isolés ou en bandes, qui agressent, violent, tuent, sèment la terreur dans un quartier, rackettent…

    Ce sont bien eux, oui, les agresseurs, les envahisseurs, qui portent leur guerre, armes à feu et armes blanches à la main, qui saccagent, incendient, font des rues des champs de bataille et dont leurs victimes sont comme on dit dans les guerres des « victimes collatérales » !

     

    S’il y a oui, certes « de la récupération » derrière ce qui est justifiable – et une réaction de défense aux agresseurs et aux assassins- et qui se comprend ; il n’en demeure pas moins que le « justifiable » ne peut être condamné, passer pour « insurrectionnel » et faire l’objet d’une répression des forces de l’Ordre… Laquelle répression par les forces de l’Ordre « devrait » logiquement et impérativement et uniquement s’exercer contre les individus agissant isolés ou en bandes qui agressent, rackettent, dealent, violent, tuent… (Ce qui hélas, n’est pas forcément le cas dans bien de situations de violences et d’agressions et d’émeutes d’individus dangereux et prédateurs mais en revanche parfois contre des mouvements pour des causes « justes » ce qui est navrant, désolant, révoltant)…

     

     

  • La clope plus stigmatisée et plus inconvenue que la shoote ?

    Décidément selon le ministère de la santé publique, la clope n’est pas loin s’en faut la bienvenue dans la société française aujourd’hui qui, rappellons le, dans une « majorité significative » qui en aucune façon n’est décriée du moins pas officiellement ni ne faisant l’objet de décrets limitateurs, entre dans le quotidien de vie de millions de Français, et cela d’autant plus que les « produits » sont transformés (mélangés à des substances nocives de substitution), devenus plus accessibles question coût, sont de plus en plus consommés, entretenant un marché avec dealers et bandes organisées s’entretuant pour la suprémacie dans un quartier…

    Le paquet de clopes qui va passer à 12 ou 13 euro bientôt ! La clope qu’il faudra fumer le plus discrètement possible, éloigné de son prochain, donc, plus sur le trottoir ni aux abords du bistrot du coin, du restaurant, de la porte de sortie d’une gare, d’un cinéma, d’un théâtre, d’une bibliothèque, dans les allées d’un jardin public etc. … !

    Soit dit en passant la « vape » revient beaucoup moins cher, « semblant échapper à la stigmatisation mais c’est à voir », ne sent pas comme sent le tabac, se disperse vite dans l’air sans être une source de gêne à moins de souffler sa vape à proximité de son voisin, n’empuantit pas l’haleine…

    Du coup, la vape se substitue très bien au tabac de clope, elle peut même si interdite autant que la clope, se pratiquer « dans les chiottes » d’un espace public fermé (en ouvrant la petite fenêtre d’aération)… En train mais peut-être pas en avion à cause des détecteurs de fumées…

    Ah oui, « une société d’une monumentale hypocrisie aussi crasse que scandaleuse », que les décideurs, censeurs, donneurs de leçons de morale, régentent et prétendent assainir – d’un côté- mais d’un autre côté pourrissent en acceptant des pratiques, des habitudes de consommation et de comportements « permis » ou même encouragés au nom de la tolérance et de la considération de l’autre ! (Et surtout du « pognon que ça rapporte aux pédato-profiteurs »!)…

     

     

  • Rien ne peut venir de rien

    Dans le mode de reproduction des êtres vivants – et donc de l’humain – qui est le mode sexué, soit le plus répandu chez les êtres vivants (les autres modes étant le mode asexué, le mode hermaphrodite et le mode pathénogénétique), deux gamètes l’un mâle (spermatozoïde) et l’autre femelle (ovule) se rencontrent et se fondent entre eux donnant naissance au fœtus…

     

    Un humain, ainsi que tout être dont la reproduction se fait en mode sexué, est en conséquence l’héritier de son père (l’homme, le mâle) et de sa mère (la femme, la femelle)…

     

    Ainsi la rencontre et la réunion de deux gamètes sont la rencontre et la réunion de deux « environnements » qui auparavant, étaient étrangers, séparés l’un de l’autre…

    Ainsi « traînons nous derrière nous comme des nuées d’étoiles en une sorte de « chevelure » qui de loin en loin, s’élargit et se disperse… Mais qui aussi, rejoint d’autres nuées d’étoiles…

     

    Et plus on « remonte dans le temps » - sur des millions d’années – et plus les nuées se rapprochent d’une sorte d’embranchement avec d’autres nuées, lesquelles autres nuées sont elles-mêmes issues d’embranchements… Jusqu’à ce qu’à l’origine tous ces embranchements finissent par n’être plus qu’une sorte de racine, une « racine » faite de « matériaux ou briques » du vivant…

     

    Et le vivant, « il faut bien qu’il vienne de quelque part, ne pouvant être issu de rien, de « quelque chose qui n’existe pas et n’a jamais existé »…

    Ce « quelque chose » dont l’entendement humain n’appréhende pas – ou appréhende par la science et par la connaissance qu’il acquiert en physique et chimie des éléments et particules, par les mathématiques… Ce « quelque chose là » est – peut-être - « quelque chose qui s’apparente ou ressemble à Dieu » mais sûrement pas, absolument pas le dieu de quelque religion que ce soit…

     

    Ainsi un croyant en un dieu créateur, qui ne serait pas croyant en telle ou telle religion, pourrait-il dire qu’il faudrait aller chercher Dieu dans « l’ère de Planck », cette « ère » dont la durée est indéfinie, non mesurable, ayant pour « origine » un « moment zéro » (un moment zéro inatteignable) et pour fin un moment quant à lui mesurable mathématiquement et qui est le moment où l’Univers est d’un « diamètre » d’une longueur la plus petite mathématiquement connue , de 1,616255 multiplié par dix puissance moins trente cinq mètre. (cherchez ça au microscope électronique le plus performant possible!… Ou « essayez » de l’imaginer)…

     

    Mais bon, tout cela – l’ère de Planck, la longueur de Planck, l’univers en extension, de 13,7 milliards d’années d’existence… C’est la théorie du Bing Bang, qui n’est pas tout à fait « universellement reconnue » par l’ensemble de la communauté scientifique… D’autres recherches sinon découvertes ont été faites par quelques scientifiques, astrophysiciens et font l’objet de publications d’ouvrages et de revues scientifiques…

     

    Dans « quelque chose » qui serait « d’une toute autre dimension que celle de l’entendement humain »… l’on peut considérer certain que « rien ne peut venir de rien », que ce que l’on appelle le Néant n’est pas le néant… Et ça, n’importe quel humain est en capacité de le comprendre…