compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal - Page 83

  • Un espace de communication de plus en plus réduit

    Selon Albert Camus, dans tel ou tel pays, dans tel ou tel peuple, nous sommes partout en tout lieu, de toute origine, de toute culture, de toute religion, quelques uns à nous ressembler en tant qu’humains ayant de mêmes besoins essentiels ( nous nourrir, nous vêtir, nous loger, nous soigner quand nous sommes malades), de mêmes aspirations au bonheur, à regarder ce qui est beau, à écouter ce qui est agréable à entendre…

    Et qu’en conséquence de cela, nous ne pouvons pas accepter de détester un pays, un peuple, une culture, car ce serait rejeter ainsi, un pays, un peuple, une culture, en son entier…

    Nous ne pouvons pas non plus en entier, si on nous le demande – ou si nous nous y sentons inclinés, aimer un pays, un peuple, une culture…

     

     

    Mais cela, qui était vrai du temps d’Albert Camus, n’est plus aussi vrai aujourd’hui , parce que les crispations, les communautarismes exacerbés qui revendiquent et manifestent sur la place publique dans la violence, dans l’ostentation et dans l’outrance ; les fanatismes notamment religieux, la vulgarité ambiante, la terreur, la barbarie, les comportements inacceptables, l’inculture, les obscurantismes, les individualismes forcenés, dans toutes les sociétés, dans tous les pays, dans tous les peuples ; ont pris de nos jours tant d’ampleur, tant d’acuité, qu’il devient de plus en plus difficile – et incertain – d’être quelques uns de ci de là, à nous retrouver, à nous reconnaître dans ce qui nous rapproche, à nous tendre la main… De telle sorte que nous en arrivons à détester un pays, une culture, un peuple en son entier ou presque…

     

    Ou disons que l’espace de communication et de partage lorsqu’il peut exister de ci de là, est de plus en plus réduit… Ou s’il n’est pas aussi réduit que l’on peut le croire, il est assurément très dispersé, non relié comme le sont des territoires épars ou des pièces de tissu détachées les unes des autres.

     

     

  • Gouvernements et cultures inacceptables

    Un gouvernement – en l’occurrence celui de l’Argentine – qui libéralise la vente d’armes, interdit l’avortement, supprime le ministère des droits de la Femme, des genres et de la diversité, qui met fin à la lutte contre le réchauffement climatique, révise l’Histoire selon ses vues, supprime le ministère de l’éducation nationale – entre autres… Est un gouvernement scélérat !

     

    « Quelque chose » en matière de politique gouvernementale et d’organisation de la société, de similaire, pourrait voir le jour en France en 2027…

     

    Dans la liste des pays où je n’irai jamais de ma vie – pour autant que me vienne « une âme voyagesque » - qu’en vérité je n’ai point, du moins comme celle des aficionados des séjours en « pays de rêve » de touropérators – figure désormais l’Argentine… Dont les pampas, la chaîne des Andes à l’horizon, la Patagonie et Ushuaia, qui me font rêver… Satisferont mon regard et susciteront mon admiration devant un écran de télévision, en film documentaire et au travers de mon imaginaire, ainsi que de mes lectures de récits relatifs à ces contrées du bout du monde que sont ces régions très australes de l’Amérique du Sud…

     

    Exit également de ce qui peut encore rester de mes rêves de voyage, l’Égypte des pyramides et des trésors de la Vallée des Rois, qui est l’Égypte en fait et de fait, de l’excision des filles (comme d’ailleurs bon nombre de pays Africains), exit également le Qatar, Dubaï, les Emirats Arabes Unis, l’Arabie Saoudite, L’Iran ; la Thailande, Madagascar où est pratiquéela prostitution enfantine et adolescente, l’Indonésie pays de deux cent millions de musulmans et, d’une manière générale tous les pays du monde qui ne soutiennent pas Israël, tapent sur les Juifs et regardent du côté de Poutine et récusent nos régimes démocratiques, nos valeurs, notre culture (tout cela « occidental et consumériste peut-on dire » mais qu’en dépit de dérives, d’errements, d’atermoiements et de tout ce qui peut en moi susciter de résistance et de non adhésion, sera et restera toujours « préférable » - pour autant que le terme de « préférable » puisse s’appliquer en l’occurrence)…

     

    Dans la très belle mais très suicidaire idée de l’écoute – de la considération – de la prise en compte de la culture et du mode de vie – de la religion – de l’Autre (de l’Autre avec un grand A majuscule)… L’excision des petites filles, la prostitution enfantine et adolescente, le commerce des armes avec des pays scélérats – voyous- prédateurs où l’on assassine, torture, emprisonne et discrimine « à tout de bras », les pays où l’on tape sur les Juifs, où l’on met la Femme aux fourneaux et où on la voile, l’excluant de la société dirigée par les mâles… Tout cela au contraire, ne peut en aucune façon susciter la moindre tolérance, la moindre complaissance ; ne peut qu’être combattu de toutes ses forces quitte à laisser sa peau dans le combat plutôt que de vivre à genoux sous les coups !

     

    Vive l’anarchie ! … Mais pas n’importe quelle anarchie ! (celle qui est non pas désordre, non pas « ôte toi de là que j’m’y mette », non pas contestation individualiste forcenée, non pas celle des « pseudo-anarchistes de mes deux »… Mais celle de l’ordre non pas du monde mais du Cosmos, des lois de la vie, du principe de relation entre les êtres et les choses de partout, de tout ce qui existe dans l’Univers)…

     

     

  • Société numérique et intelligence artificielle

    Dans les dispositions, principes et projets actuels qui sont ceux, déjà mis en place et prévus dans les années qui viennent, par les dominants et par les décideurs de ce monde ; mais aussi, adoptés par soumission, implicitement ou par facilité, par une très grande majorité d’humains en ce monde… La société numérique et l’intelligence artificielle nous déshumanisent, nous formatent, nous nivellent  ; nous individualisent, nous isolent ou nous séparent dans nos besoins et dans nos aspirations plus qu’elles ne nous personnalisent ou nous singularisent ou nous relient les uns aux autres en ce que nous pouvons avoir de commun à partager…

    La société numérique et l’intelligence artificielle nous incitent à considérer la réalité comme une imposture.

     

    Dans des dispositions, des principes et des projets actuels et à venir, qui ne seraient plus ceux des dominants et des décideurs mais qui nous appartiendraient en propre à nous tous, autrement pensés et réfléchis ; la vocation de l’intelligence artificielle et du numérique consisterait à faire de nous des humains « plus évolués » - mais des humains demeurés des humains…

     

     

  • Blanc ou Noir

    En toutes choses, humain, être vivant, pays, société, culture, mode de vie, passé, avenir, histoire… ( pour « religion » je ne saurai dire ou plus exactement je ne sais pas quoi dire d’autre sinon de mauvais très dominant)… En toutes choses donc, rien n’est « tout blanc » ou « tout noir »…

     

    Le blanc et le noir ne se mélangent pour former du gris, qu’en dessin ou en peinture car en toutes choses existantes – en particulier l’humain, la société, un pays, une culture, une civilisation, une idée, une pensée, un agissement – il y a pour le blanc des nuances de blanc et pour le noir des nuances de noir ; le blanc étant la clarté, la lumière ; le noir étant l’obscurité, la sombritude, l’absence de clarté… Le blanc, encore, symbolisant le bien, ce qui est bon ; le noir symbolisant le mal, ce qui est mauvais…

     

    Et les nuances autant dans le blanc que dans le noir sont innombrables, par exemple il ya le blanc écru, le blanc neige, le blanc mat, le blanc brillant, etc. … Il y a le noir ciel de nuit, le noir bleuté, le noir d’encre, le noir brou de noix, le noir de jais, etc. …

     

    En toutes choses existantes, les différentes nuances de blanc et les différentes nuances de noir co-existent ou peuvent être associées – dans la contradiction et en opposition ou dans la complémentarité – mais ne peuvent se mélanger au sens de ce qu’est un mélange (comme en dessin ou en peinture du gris)…

     

    Ainsi la bonté et la méchanceté ne se « mélangent » pas : elles peuvent être associées en existant l’une la bonté et l’autre la méchanceté, comme par exemple une pièce de monnaie présentant toujours deux faces…

     

    La question se pose du choix, de la préférence, de l’adhésion, du « parti à prendre » en toute chose existente, lorsqu’il nous est quasiment impossible de demeurer neutre ou indifférent… Aussi ce que l’on choisit, ce à quoi on adhère, ce qui nous incline d’un côté plutôt que de l’autre ; ne peut être que pris, porté en soi, qu’avec tout son contenu, ce contenu fait de blanc et de noir… Et avec ce que cela implique de réflexion, de mesure, de regard, d’acceptation (mais d’acceptation sans adhésion, sans pour autant approuver)… Par exemple dans un combat pour se défendre, dans une cause que l’on soutient et pour la quelle on se mobilise, l’acceptation sans y adhérer, des conséquences collatérales néfastes voire désastreuses et entraînant des victimes, des morts, des blessés, lors d’une opération de guerre… Fallait-il en juin 1944, depuis les navires destroyers bombadiers des forces armées alliées, ne pas tirer au canon sur les côtes françaises et donc ne pas détruire des villes, des villages, épargner les habitants de ces villes et villages ?

     

    Quand on a un ami, une personne que l’on apprécie et soutient, un fils, une fille, un père, une mère, un voisin que l’on fréquente ; que l’on fait partie d’une association, d’un groupe, d’une communauté… Pour autant que cet ami, que cette personne appréciée, que ce fils, que cette fille, que ce père, que cette mère, que cette association, que ce groupe, que cette communauté « entrent dans notre vie » on les prend en soi avec « tout leur contenu fait de blanc et de noir et de toutes les nuances de blanc et de noir »… Ce qui exclut – ou « devrait exclure » une « rupture brutale et radicale » (notamment à cause d’un différend, d’un « pétage de plombs » de l’un ou de l’autre à un moment donné, lequel « pétage de plombs » ne « reflétant pas », pas du tout, ce qu’est dans sa « vérité/réalité » la personne concernée…

     

     

  • Féminité

    Femme en noir et blanc.jpg

    La Féminité à l’état pur…

    Rien à voir avec ce que l’on voit habituellement dans les espaces publics – de passage et de lieux fréquentés – notamment en se promennant en ville : ces jeunes filles et femmes en pantalons très moulants, fesses bien apparentes, quand ce ne sont pas blue-jeans troués ou faussement rapiécés ; et… « quincaillerie » de piercings, bijouterie « à 2 balles », maquillage fond de teint etc. …

    Bon, je le dis « tout net » - à ma manière : « je n’ai rien contre » étant pour la liberté dans l’apparence que l’on se donne, dans ce que l’on veut montrer de soi aux autres (en souhaitant cependant que cette liberté soit assumée selon un choix personnel - et donc non influencée par la mode, ou par ce que les autres font, se mettent sur le dos et qui est « en vogue »)…

    Mais… Tout de même… J’ai une très nette préférence pour ce que l’on voit sur cette photo… Je le redis encore : « la Féminité à l’état pur » !