compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal - Page 85

  • "L'ombre de l'ombre" ou l'indéfinissable en l'autre, en nous ...

    Au delà de ce que l’on perçoit de vrai, de profond, d’authentique chez une personne en particulier, une femme, un homme, et qui sans aucun doute l’est vraiment…

     

    Et au-delà même de la relation de sympathie, ou si l’on veut « d’atomes crochus » que l’on peut avoir ensemble, au-delà de ce qui nous unit dans nos projets, dans nos activités, dans nos aspirations ; au-delà encore de l’idée que nous nous faisons du monde, de la société, de l’environnement où nous vivons, l’un et l’autre… Et tout cela en dépit de quelques différences de sensibilités ou d’opinions ou de projets, ou d’aspirations…

     

    Il demeure chez certaines de ces personnes avec lesquelles nous nous entendons si bien, un côté « indéfinissable » (ou « indicible ») voire parfois « obscur » et qui nous interroge… Mais qui pour autant ne nous met pas mal à l’aise – ou alors « juste un peu par moments et dans des situations imprévues, inhabituelles, sensibles »…

    Et ce côté « indéfinissable » ou « indicible » - ou « obscur – il arrive que l’on le perçoive aussi, au travers ou delà de ce que l’on perçoit de vrai, de profond, d’authentique… Un peu comme une ombre - « l’ombre de l’ombre dirais-je » dont nous ne sommes point sûr…

     

    Mais il y a encore, parmi nos connaissances, proches, amis, ce que l’on appelle des « bipolaires » c’est à dire des êtres femmes et hommes, ayant en eux comme deux personnalités opposées qui coexistent et tour à tour se manifestent en fonction d’une situation vécue, d’un événement survenant « modifiant la donne » en quelque sorte…

     

    L’existence du côté « indéfinissable, indicible, inconnu, parfois obscur, et qui porte à s’interroger » étant une réalité au même titre que l’existence du jour et de la nuit… Il n’y aurait donc dans l’absolu, pas de personnes « de confiance totale » (ou d’une fiabilité à toute épreuve »)…

     

    Reste cette « aspiration » que l’on peut avoir,  d’offrir à son prochain ce dont il peut être certain, absolument certain, de notre personne, sans la moindre ambiguïté et qui exclue l’indéfinissable, l’indicible ou « l’ombre de l’ombre »… Quand bien même existe l’ombre… Car tout homme, toute femme, porte en lui, en elle, une part qui n’est pas « de lumière » - sans être forcément une part d’obscurité – quoique parfois oui… Reste la question d’assumer ou non cette part qui n’est pas « de lumière »…

     

    En somme, ce qu’il y a de sûr, de fiable, de vrai, de solide, en soi, dont l’autre ne peut douter… L’est d’autant plus encore, sûr, fiable, vrai, solide… Qu’est assumée et non dissimulée l’ombre en soi… Du moins cette part d’ombre en soi dont on reconnaît et assume l’existence… À défaut de connaître ce qui en nous, demeure inconnu et sur lequel nous n’avons pas de pouvoir…

     

     

  • Une idée comme ça, qui me vient...

    Nos pensions de retraités, nos salaires de personnes actives en entreprise, fonction publique, etc. … Ainsi que les prestations sociales que perçoivent de nombreuses personnes, enfin, autant de paiements qui nous sont faits…

    Tout cela versé sur nos comptes bancaires par internet depuis des centres de gestion automatisés… Virtuellement pourrait-on dire mais en même temps aussi concrètement comme cela se faisait jadis, du temps où il n’y avait ni internet, ni numérique, ni informatique, et où il fallait se rendre à un guichet de caisse percevoir en numéraire…

     

    Si d’un seul coup, du jour au lendemain, tout cela s’arrêtait, comme totalement grippé, gelé, par une immense panne générale, plus aucun accès à nos comptes, distributeurs automatiques d’argent liquide devenus inutilisables, plus aucune transaction financière, de paiement de quoi que ce soi !

     

    Et que néanmoins il faille par nécessité, se nourrir, se loger, s’habiller, mettre de l’essence dans sa voiture, se procurer tout ce dont on a besoin au quotidien, qui n’est aucunement gratuit et ne l’a jamais été…

    Comment ferait-on alors ? Que se passerait-il ? Avec nos cartes bancaires désormais muettes, sans liquidités, nos comptes inaccessibles ?

     

    J’imagine le chaos, la panique, le désarroi, la sidération, l’impuissance, tout cela généralisé, universel, planétaire…

    Reviendrait-on au troc ? Que signifierait « être riche ou être pauvre » ? Peut-être (c’est une idée) que cent euros, ou dix ou vingt ou mille … Se verrait remplacé par une heure, dix heures, cent heures de travail ou d’activité de service rendu, de production de quelque chose… Encore faudrait-il être en capacité de produire, de faire, d’exercer… Mais alors qu’en serait-il pour obtenir des denrées alimentaires sur des marchés, dans des boutiques, ou toutes sortes d’équipements de nécéssité, comment « retraduire » autrement qu’en argent – liquide ou par écriture ou par opération automatisée internet numérique informatique, le « paiement » qui devrait alors être fait ?

     

    Et pour les transactions achats ventes dont le montant excède la somme de ce que coûte un produit dont en a besoin et que l’on se procure  ? Par exemple pour acheter une voiture, un terrain, une maison ?

     

    Ces centres de gestion des retraites à payer aux gens, et de versements de prestations, de salaires, fonctionnent avec de la technologie de pointe automatisée, des algorythmes ; des données compilées, de l’informatique, du numérique, de l’Intelligence Artificielle, de la robotique… Et tout cela marche avec de l’électricité.

     

    Imaginons une panne électrique ou un bug gigantesque créant un dysfonctionnement majeur affectant toute la planète : tout ce qui est électrique s’arrête, les batteries ne peuvent alimenter que durant 6 à 8 heures au mieux, après plus rien, rien de rien ! Tout s’arrête !

     

     

  • Ce qui domine dans nos assiettes en France

    Importation produits alimentaires.jpg

    Toute cette part de l’alimentation que nous consommons au quotidien, vient « au mieux » pour 21 % en viande bovine et « au pire » à 89 % pour le poisson…

    À noter 42 % pour le poulet – Brésilien en grande partie…

    C’est dire de notre dépendance en matière de produits alimentaires « venus d’ailleurs qu’en France » notamment hors Union Européenne…

     

    Le « champion » si l’on peut dire, des « Grandes Surfaces commerciales alimentation » c’est – peut-être- Grand Frais à l’intérieur du quel on ne fait jamais trois mètres parcourant les rayons sans voir pour origine fruits, légumes : Ghana, Guinée Equatoriale, Chili, Afrique du Sud, New-Zeland, Madagascar, Chine, Pérou, Argentine… Et j’en passe… Quoique pour Leclerc, Intermarché, Carrefour et Discount’s, c’est quasiment pareil tout ce qui vient de l’autre bout de la planète !

     

    « Bon marché » et donc, accessible pour les « petits budgets » c’est une gageure ! De « l’attrape nigaud » ! De la foutaise ! De la tromperie ! En fait, pour chacun de tous ces produits « venus d’ailleurs » (et de loin) il y a inévitablement pour les trusts et pour les « mafias de la bouffe » cette « marge bénéficiaire » réalisée sur des ventes par milliers de tonnes…

     

    Poulet Brésilien à 6,80 euro le kilo ! Ça fait des millardaires de la volaille – Brésiliens ou autres – qui ont des propriétés et des villas de grand luxe sur la côte Basque ou d’Azur !

    Et « tout le monde ou presque » dans les Grandes Surfaces, ou au « petit épicier du coin » (quand il existe), « riche ou pauvre » - à moins d’être parmi les plus démunis – achète, remplit le caddie, entasse dans ses pacards, son frigo, son congel, chez lui !

    La provenance ? On s’en fout ! (« il faut bien bouffer, sinon, on n’achèterait plus rien on vit pas d’air seulement!)

    Et les promos, les réducs, à longueur d’année !

    Et les grattages ou tickets avec un numéro de tirage pour gagner ceci ou cela ou 50 ou 100 euro !

     

    Et Macron et la France qui ne veulent pas signer pour Mercosur ! Mais Mercosur ça fait des dizaines d’années qu’on l’a dans nos assiettes, dans les cantines scolaires, dans les restaurants de collectivités et entreprises, dans les EHPAD et les maisons de retraite, dans les Hôpitaux et les cliniques, dans les restaus à menu du jour… Et quand on invite les copains pour le barbe-cue d’une soirée de juillet…

     

    L’Ordre boustifaillien du Monde ! Avec tout le culinaire et ses recettes par milliers, livres de cuisine, marchés locaux, la moitié de toutes les discus patate-salade entre voisins et connaissances !

    Et les « écolos révolutionnaires » résistants et moralisateurs ! Ils bouffent quoi eux ? La pluie qui tombe, elle est pas bio que je sache ! Et la terre dans laquelle tu fais pousser tes salades qui seront pas bourrées de nitrate, elle est sans pesticides ?

    Et la flotte minérale ! Celle du robinet elle est pas pire ! Du coup c’est à se demander si à force de bouffer et de boire frelaté trafiqué chimiqué ogéhèmisé, ce qu’on évacue dans les cabinets peut encore sentir quelque chose !

    C’est qu’il faut « aseptiser » à tout prix ! Y compris en ammoniaquant les crevettes !

     

     

  • Douter ou nier

    Entre « douter d’une capacité de réflexion » et « nier l’existence d’une capacité de réflexion », il y a une différence…

     

    L’on peut douter, oui, de la capacité de réflexion d’un certain nombre de personnes – dont en particulier de quelques jeunes de 15 à 20 ans plus ou moins nombreux autour de nous … Mais nier l’existence d’une capacité de réflexion, qui peut-être existe, de qui que ce soit… Est pérempoire, et c’est comme déclarer formellement une porte fermée…

    Douter ce n’est pas nier…

    Douter c’est considérer difficile que puisse s’établir une communication, un dialogue, un échange avec telle ou telle personne…

    Nier c’est considérer impossible l’établissement de tout échange, communication, dialogue…

    Reste cependant la pesée qu’exerce le doute sur la possibilité d’un échange, d’un dialogue, d’une communication.

    La capacité de réflexion est dépendante de l’environnement familial, social et culturel en lequel chacun vit et évolue… Et donc, plus cet environnement est défavorable, et moins existe et se manifeste la capacité de réflexion… Quoique parfois, un environnement défavorable tout au contraire, peut contribuer à ce qu’une capacité de réflexion se développe…

     

  • De quels jeunes faut-il se soucier, pour leur avenir?

    Les citoyens – Français, de chacun des pays de l’UE, et, plus généralement de chacun des autres pays en dehors de l’Europe - « conscients et responsables » dans leurs comportements et choix de consommation (on va dire « vertueux » selon un Ordre du genre « c’est bon pour la planète »)…

    De quels jeunes – de moins de 30 ans et plus encore de 10-20 ans – doivent-ils se préoccuper, se soucier – pour leur avenir ?

     

    Certainement pas – ou peu – à mon sens, de ces « jeunes générations » de 10-20 ans dont les parents, les familles, sont attachés, conditionnés (et à l’aise de l’être) à ce mode de vie de « consommation de masse » en alimentation, équipements technologiques, bagnole, baraque, pognon, apparence, « tout tout de suite le moins cher possible et à gogo »… Car tous ces jeunes là, élevés et éduqués comme ils le sont, seront, jeunes adultes devenus et plus tard « s’ils y arrivent », « rassis » puis futurs retraités… Encore moins « conscients et responsables dans leurs comportements » que ne le sont de nos jours des millions de « seniors », de trentenaires, de quadras et de quinquas, tous attachés, conditionnés et « à l’aise de l’être », à ce mode de vie d’hyper consommation, de l’accessible immédiatement, et qui sont peu soucieux voire « je-m’en-foutistes » de l’avenir du monde…

     

    Cependant – il faut le dire – ces jeunes là, d’aujourd’hui, des années 2010-2020, adultes devenus, disons qu’ils auront alors « quelques difficultés » (que nous connaissons déjà nous les plus de 30/40/50 ans mais qui pour les futurs jeunes adultes seront plus accentuées, plus « dures »)… Et, j’ose le dire « tant pis pour eux »… En effet, la « gamelle » leur sera « moins garnie » et habitués comme ils le sont, à 15 ans, à 20 ans, à « avoir tout à gogo » ils ne pourront que « déchanter » !

     

    Les jeunes – de 10/20 ans – dont il faut assurément, et quasi essentiellement se soucier, sont ceux qui « éduqués » par des parents et des familles « conscients et responsables » sont déjà à leur jeune âge, eux-mêmes « conscients et responsables » : ceux là devenus adultes, dans le monde de demain, souffriront davantage en ce sens qu’ils seront pénalisés alors qu’il ne mériteront pas de l’être…

     

    Aussi, ces « Jules, Léa, Sophie, Habib, Kévin, Brice, David, Estelle, Boris, Sylvain, Philippe etc. ... » qui ont aujourd’hui 15 ans, 12 ans… De parents d’aujourd’hui du genre « tout est permis tout à gogo des tonnes de joujoux à Noël smartphone Tik-Tok Instagram et qu’à l’école on éduque dans le sens du développement individualiste personnalisé et non plus dans l’acquisition des savoirs… Je me fous et contrefous de leur avenir comme eux ces jeunes là se foutent complètement de ma vieillesse : entre eux et moi le fossé est pire que la faille du grand rift africain ! D’ailleurs je comprends que dalle à leur langage, à leurs pokémons, leurs lapins et leurs nounours, leurs toutous et autres bestioles virtuels sur applis, leur univers de gosses gâtés et capricieux… Et je fais un « bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude » à leurs parents qui font des « pendaisons de crémaillère » et qui divorcent au bout de 2, 3, 5 ans la baraque pas finie d’être payée le toutou on peut pas le couper en deux ! (rire iconoclaste, insolent et sarcastique)…