compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Des "gens" ...

    Des « gens » qui n’ont – et n’auront jamais – parmi eux, d’artistes, d’écrivains, de poètes, de philosophes, de penseurs, et plus généralement d’ hommes et de femmes « de bonne volonté »… Et qui sont déterminés à ne pas avoir parmi eux des artistes, des écrivains, des poètes, des philosophes, des penseurs… Ne peuvent être considérés comme des êtres humains, ne sont en aucun cas, des interlocuteurs, et, si un « statut » à la limite, devait leur être conféré, ce « statut » serait celui de « tumeur maligne et de métastases », c’est à dire d’organismes se développant en convertissant un tissu cellulaire en un autre tissu de structure différente -envahissant et prédateur, et en détruisant ce qu’il y a de vivant autour d’eux… Ils doivent donc être détruits, éradiqués, extirpés, éliminés totalement…

    Faut-il, ces « gens », les « nommer » ? Faut-il même, ces « non humains », leur conférer le « statut » d’êtres vivants ? … Sachant qu’une punaise, qu’un cafard, qu’un rat d’égoût, qu’une vipère… Est un être vivant ?

     

    Être « pour » ces « gens », ces « non humains », ou même sans être « pour » eux, « seulement » à leur égard « implicitement leur soutien »… C’est être pour le cancer, c’est être contre la lutte contre le cancer qui, « paraît-il », serait un combat faisant plus de mal que le mal lui-même…

    Ces « gens », ces « non humains », lorsqu’ils frappent, tuent, égorgent, décatipent, ne font aucune différence entre les « pro eux », les « anti eux », les « implicitement pro eux »…

     

     

  • La Palestine du point de vue historique

    Dans l’Empire Ottoman de 1898, la Palestine en tant que territoire faisant partie de cet empire, comprenait la Syrie, le Liban, Israël, la Cisjordnie et la Jordanie (futurs états et ou territoires après 1947)…

     

    A la défaite et à la dislocation de l’Empire Ottoman au lendemain de la première guerre mondiale 1914-1918, de 1920 à 1947, la Palestine fut divisée en protectorats sous mandat : le Liban et la Syrie par la France ; Israël encore palestine et Transjordanie (Cisjordanie et Jordanie) plus l’Irak, par l’Angleterre…

    Dans la palestine faisant partie de l’Empire Ottoman en 1898, environ 87 % de la population était arabe et musulmane, et 13 % de la population était en partie Chrétienne et en partie Juive…

     

    Les grands propriétaires fonciers, exploitant des terres, des domaines, à l’époque Ottomane, sont issus pour au moins le tiers d’entre eux, des 13 % de Juifs et de Chrétiens établis en Palestine Ottomane, et pour les deux tiers autres, d’arabes musulmans (ce sont d’ailleurs, du temps de l’Empire Ottoman, les musulmans qui se trouvaient placés aux postes les plus importants de l’administration ottomane, et constituaient en quelque sorte une classe de privilégiés, de commerçants, de propriétaires, de fonctionnaires… À l’exception cependant il faut dire, d’une majorité de population palestinienne au quotidien de vie difficile)…

     

    D’une « main de fer » l’Autorité Ottomane durant cinq siècles de 1453 à 1918, a maintenu son immense territoire dans lequel se trouvait la Palestine, dans une sorte de « paix relative et durable » sous sa direction, de telle sorte que musulmans, juifs et chrétiens cohabitaient, tous payant l’impôt à l’Autorité Ottomane et reconnaissant l’Islam comme religion de l’Empire, les autres confessions juive et chrétienne étant libres et tolérées (et pour ainsi dire n’étaient pas persécutées à partir du moment où elles ne troublaient pas l’ordre public et politique de l’Empire)…

     

    « Tout ça est parti en javel » avec l’arrivée des Français et des Britanniques en 1920 et de l’instauration des mandats protectorats, du fait que les dissensions entre les uns et les autres (populations locales) entre les diverses communautés, les juifs, les chrétiens, les arabes, les musulmans, étaient exacerbées, attisées, entretenues « à dessein » pour des questions d’intérêts, d’objectifs stratégiques, et surtout d’intérêts économiques et d’accaparement des richesses du sous sol en énergies fossiles…

     

    La création de l’état d’Israël en 1948 après le départ des Britanniques, sur la base du traité de 1947, a suscité de la part des arabes palestiniens qui vivaient dans ce qui allait devenir Israël, une forte résistance et opposition, soutenue par les autres états arabes environnants… Cependant un certain nombre de ces arabes palestiniens ont accepté de prendre la nationalité israélienne et sont devenus des arabes israéliens…

     

    Si « l’Histoire était à refaire », si on revenait en 1947 … Peut-être « eût-il mieux valu » plutôt que de créer un état Israël, créer un état qui, ne s’appelant ni Israël ni Palestine, aurait été l’équivalent de la Palestine revendiquée par les Palestiniens…

    Mais alors quel nom aurait-on pu donner à cet état ? À cet état qui aurait eu la dimension de l’Israël de 1948 et de la Transjordanie du mandat Britannique ? Un état « républicain et démocratique » dont les autorités gouvernantes auraient été des hommes et des femmes élu(e)s par le peuple, le peuple composé de Juifs et d’Arabes (D’arabes Palestiniens et de Juifs de la Diaspora et des rescapés des camps nazis venus s’installer dans ce nouvel état dont il restait à trouver le nom) ?

     

    Assurément il s’agit là – en tant qu’idée possible d’un tel état, de quelque chose de difficilement concevable, d’utopique… Qui à l’époque était inimaginable pour une grande partie des Arabes, la différence de culture, de mentalités, de modes de vie, de religion, étant incompatibles entre notamment les Juifs venus d’Europe et les populations locales arabes et musulmanes présentes depuis des siècles (quoique par certains côtés assez proches)…

     

    Sans doute (mais en partie seulement) lors de l’établissement du traité de 1947, a-t-on « privilégié » (façon de parler) l’idée d’un pays pour les Juifs (d’où Israël faisant référence à la Bible et à ce qu’il y a de « vérité historique » dans la Bible : en 587 av JC disparition du royaume de Juda et dispersion de ses habitants (dont une partie captifs à Babylone), par les armées victorieuses du roi Nabuchodonosor II de Babylone…

     

    Quoi qu’il en soit, les vainqueurs de la première guerre mondiale en installant des protectorats en Palestine anciennement ottomane, se sont « assis sur l’Histoire » (et sur les cultures millénaires du Moyen Orient)… Et en 1947 (et en 1993) on a fait des « traités boiteux » - en effet celui de 1993 qui fait accepter par L’OLP un « partage » en territoires morcelés non reliés entre eux dont seulement la moitié de ces territoires est sous autorité civile et militaire palestinienne (l’autre ne l’étant que civilement)… Est vraiment un « traité boîteux » !

    Et quant à celui de 1947, il ne définit pas des frontières précises entre le territoire dévolu à Israël et la Cisjordanie, laquelle Cisjordanie était Transjordanie sous mandat britannique avant 1947 et qui, en 1950 fut annexée par la Jordanie (annexion non reconnue par la communauté internationale – mais reconnue par la Ligue Arabe)…

     

    À propos de « traités boiteux » la plupart d’entre eux, depuis le Haut Moyen Age, lors des guerres en Europe (par exemple le traité de Westphalie de 1648 fin de la guerre de trente ans) sont pratiquement tous des « traités boîteux »…

     

     

  • Les grands événements de ces dix dernières années

    Historiogramme 2.png

    Qui ont radicalement modifié l’« historiogramme » de l’évolution humaine depuis l’origine des sociétés et civilisations il y a environ dix mille ans et qui, jusque dans les années dix et vingt du 21ème siècle, pouvait être représenté, cet « historiogramme », par une « ligne » de tracé irrégulier mais néanmoins dans un même « profil » tel celui par exemple, d’une succession de « paysages paliers » buttant à un certain moment sur une « marche » avec, après le franchissement de cette « marche », un autre palier… Et ainsi de suite…

    Les paliers ont été plus ou moins longs en distance, et assez souvent, pour ne pas dire presque toujours, creusés de fosses, de dépressions, d’accidents de terrain, de lignes de crêtes, de bosses, parfois même de gouffres… Mais l’on pouvait en dépit de toutes ces irrégularités dans le tracé de la « ligne », parler de « continuité historique et évolutionnelle »…

     

    Ce « shéma » ou cet « historiogramme », lors de ces dix dernières années, vient d’être radicalement modifié – ou plus exactement perturbé, ou cassé, ou rompu… De telle sorte que si l’on voulait le représenter par le dessin, il ressemblerait à une écharpe déchirée, tordue, en lambeaux, et dont ne discernerait plus la direction que pourrait prendre cette écharpe déroulée, étirée, déchirée, en lambeaux…

     

    Quels sont ces grands événements qui ont perturbé et modifié – et à la fois - « cassé » et « emballé » la « dynamique qui était celle des dix derniers millénaires ?

     

    -Ce que l’on a appelé en 2011 « le printemps arabe » qui a agité les sociétés du monde arabe depuis les pays du Maghreb jusqu’au Moyen Orient et Golfe Persique, et duquel « printemps arabe » sont sorties la guerre de Syrie et la guerre de Lybie, deux « grands désastres » en durée et en conséquence, dont la principale conséquence « de taille »(en dangerosité) est l’islamisme radical fondamental djihadiste guerrier et terroriste avec Daesh, Boko Haram et autres affiliés, étendu non seulement dans le monde arabe mais aussi implanté dans les pays Européens dont la France, et qui en dépit de tous les combats menés ne plus être éradiqué (il faut dire que les pays européens avec leurs « politiques migratoires », leurs politiques, aussi, d’apaisement des tensions, de complaisance, d’appel à négocier, à dialoguer, à croire au bien fondé des volontés déterminées, agissantes afin de réduire la violence… Contribuent par ces politiques, à laisser se développer l’islamisme radical djihadiste et terroriste)…

    -La pandémie de covid qui, de décembre 2019 à février 2022 (« pour ainsi dire mais le covid en vérité c’est pas fini) a bouleversé l’ordre du monde, impacté les populations dans leur vie quotidienne, saturé les hôpitaux, imposé des confinements, des règlementations, des contraintes difficilement supportables, fracturé la société notamment entre les « pro et anti vaccin », fragilisé les économies…

     

    -La guerre en Ukraine depuis le 24 février 2022 : un épouvantable, un immense désastre écologique – en plus du nombre de victimes et de destructions (que l’on ne peut d’ailleurs chiffrer exactement)…

     

    -L’étendue et le nombre de catastrophes liées au changement climatique (incendies gigantesques, cyclones, typhons, ouragans, tornades, inondations, sécheresses, chaleur estivale excessive, tout cela qui dès 2022 prend de l’ampleur, de la fréquence, de l’intensité et impacte donc bien plus de personnes qu’avant… Sur tous les continents de la planète…

     

    -Et tout récemment depuis le 7 octobre 2023, une nouvelle guerre dont on ne voit pas l’issue, entre Israël et le Hamas (pour le moment) avec pour conséquence déjà se faisant sentir, une fracturation de la société (monde arabe et monde occidental) entre les tenants de la cause palestinienne et les partisans du soutien inconditionnel d’Israël… Sur fond toute cette fracturation, de terrorisme islamiste…

     

     

  • La différence entre le monde de 1993 et le monde de 2023

    L’OLP (Organisation pour la Libération de la Palestine) en 1993 lors des accords d’Oslo, a signé – par la force des choses – un traité « boîteux » consistant à accepter qu’« existe » un « état palestinien » éclaté en plusieurs territoires dont certains de ces territoires administrés militairement par Israël… Ce qui est loin, très loin de constituer une nation ou un état à part entière, de surcroît morcelé…

     

    Comment en aurait-il pu être « autrement » ou « mieux » sachant qu’avant 1993, 60 % de la Jordanie (un pays annexé par la Jordanie en 1950 mais dont l’annexion n’a pas été reconnue par la communauté internationnale sauf de la Ligue Arabe) était occupée (occupée mais pas d’un seul tenant) par les Isréaliens, lesquels Israéliens définis comme « colons » étaient pour un certain nombre d’entre eux des héritiers et descendants de grands propriétaires fonciers du temps de l’Empire Ottoman, et pour quelques autres des Israéliens venus s’installer depuis 1948…

     

    Lors des accords d’Oslo en 1993, « l’on n’a rien trouvé de mieux » que de « décréter » zone Israélienne » une zone C, d’une superfiie globale de 60 % de la Cisjordanie, ressemblant en fait à une « pièce de tissu trouée en plusieurs endroits »…

     

    L’on ne peut plus donc parler de « colonisation » depuis 1993 dans cette zone C…

    Il n’en demeure pas moins que, dans cette zone C vivent plus de cent mille arabes (palestiniens), et que dans les deux zones A et B, ne constituant pas vraiment une nation palestinienne (mais seulement des territoires avec un « statut » - statut de territoire administré civilement ET militairement par l’OLP pour les uns, et statut de territoire administré civilement par l’OLP et militairement par Israël pour les autres) ; cela ne peut être – loin s’en faut- le « top » en ce qui concerne la relation dans la zone C entre les populations arabes et les Israéliens implantés les uns avant 1947, les autres depuis 1948 jusqu’à 1993, puis d’autres encore depuis 1993…

    Le terme même de « colon » pour les Israéliens ne s’appliquant que pour les Israéliens arrivés en Cisjordanie avant 1993…

     

    « Seulement voilà » : en 1993 on ne parlait pas de « terrorisme islamiste » ni de Djihad, ni de « Al Qaida » ni d’Islamisme radical et fondamentaliste… L’OLP étant une organisation combattante armée et dotée d’un pouvoir politique (d’ailleurs reconnu par la communauté internationale et considéré en tant qu’interlocuteur)…

    Autrement dit de nos jours, et en particulier depuis 2014, avec le terrorisme islamiste et ses groupes de combattants fanatisés, « la donne a complètement changé » et l’on ne peut plus parler d’« interlocuteur » à propos de ces groupes de terroristes islamistes ( le Hamas et le Hezbolah entre autres, ne sont pas des « organisations militaires » bien qu’ayant des combattants en armes, mais des « organisations terroristes affiliées à l’Islam fondamentaliste (Sunnite pour le Hamas, Chiite pour le Hezbollah)…

     

    Il est absolument déplorable, « quasi criminel » et de toute manière dangereux pour le monde, qu’au nom de la cause palestinienne ainsi d’ailleurs qu’au nom de la cause des opprimés en ce monde, l’on puisse envisager que des organisations terroristes islamistes puissent être des « interlocuteurs »…

    C’est là, la différence entre le monde de 1993 et le monde de 2023…

     

     

  • Israël en difficulté...

    ... N'a pas, de la part des puissances occidentales, un "soutien totalement inconditionnel" ... 

     

    Ce qui risque de « jouer en faveur » des fanatiques, des terroristes assassins et guerriers qui au nom de causes qu’ils prétendent défendre, étendent leur emprise aussi bien dans le monde arabe que dans les pays de l’Union Européenne ayant accueilli bon nombre de personnes suspectes et dangereuses implantées dans les pays européens…

     

    Rappelons qu’un « soutien inconditionnel » implique l’acceptation d’un nombre élevé de « victimes et dégâts collatéraux »… Aussi mal que cela peut faire à l’âme !

     

    La situation actuelle pour Israël n’a jamais été aussi difficile, incertaine et dramatique : c’est bien pire que lorsqu’en 1948 Israël avant contre lui tous les pays arabes lui faisant la guerre…

    Toutes les possibilités envisageables sont sans issue, examinons les (il y en a en gros deux) :

     

    -La libération des otages pouvant se faire par négociation, et donc par acceptation de ce que demande le Hamas à savoir l’arrêt des bombardements sur Gaza, de l’intervention armée israélienne dans la bande de Gaza, et de la libération d’environ 5000 combattants palestiniens affiliés au Hamas et aux organisations terroristes détenus dans les prisons israéliennes.

    Un prix pour Israël, de toute évidence, très lourd à payer et inaccepatable en tel que tel, formulé par le Hamas ; ce dernier en aucun cas disposé à réduire le prix à payer, et cela même sous la pression du Qatar ou d’autres puissances de la ligue arabe…

    Supposons que, quand même « la mort dans l’âme » pour ainsi dire, Benyamin Netanyaou et son gouvernement – et ses forces armées- sous la pression d’une partie de son opinion publique et de ce que « conseillent »- si l’on peut dire- les puissances occidentales notamment la France et les USA (Présidents Macron et Joe Biden), décide de négocier avec le Hamas dans les conditions imposées par le Hamas…

    Alors Israël non seulement continuerait d’être menacé et agressé par le Hamas (attentats et incursions) mais l’option prise d’otages s’étant révélée « payante », inévitablement d’autres otages seront pris et d’autres « contre-parties » très difficilement acceptables pour Israël seront demandées…

     

    -La poursuite des bombardements sur Gaza dans le but de détruire les lieux où se tiennent les combattants du Hamas et d’où sont dirigés les opérations contre Israël, ayant pour conséquence des milliers de victimes civiles, d’autant plus que les bombardements incessants sont appuyés par une intervention de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, ce qui accroît encore considérablement le nombre de victimes… Et bien sûr, le risque – alors quasi certain - que les otages soient tous tués…

    Cette « option » de la poursuite des combats et des bombardements implique hélas oui « la mort dans l’âme » mais dans la réalité quand même, pour le gouvernement Israélien de Benyamin Netanyaou, le sacrifice des otages…

    Mais aussi dans une autre réalité que l’ensemble du monde arabe se ligue contre Israël, et que même une partie du monde occidental ne soutienne plus Israël…

    C’est que, quelle que soit l’option envisagée et choisie, l’on ne négocie pas avec des fanatiques aussi déterminés, aussi décidés à tuer, à détruire, et si peu soucieux de la vie humaine…

    Quand bien même l’armée isralienne investirait et détruirait les tunnels souterrains en galeries de dizaines de kilomètres, quand bien même tous les chefs du Hamas seraient tués ainsi que le plus grand nombre possible de combattants du Hamas… Il ne manquerait pas parmi les populations arabes d’autres meneurs prêts à reformer des groupes terroristes et guerriers…

    La poursuite des bombardements intensifs, l’incursion dans la bande de Gaza de l’armée israélienne, tout cela s’accélérant et prenant une dimension internationale dans les opinions publiques… Si oui, s’avère « payant » (en efficacité, en objectif atteint en matière de combattants du Hamas éliminés) pour Israël ; il n’en demeure pas moins que « cela ne joue pas en faveur d’Israël » et que le risque est élevé, d’une extension du conflit au Moyen Orient (avec le Hezbollah du Liban armé par l’Iran)…