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  • Terminons cette année 2024 par une petite note d'humour crasse

    Souvenons nous, habitants de Nouvelle Aquitaine, abonnés et lecteurs du journal Sud Ouest Dimanche… Lorsque cessa le premier confinement très restrictif, du Covid, du 17 mars au 11 mai 2020…

    Le dimanche qui suivit ce 11 mai, Sud Ouest Dimanche en première page et très gros caractères titrait : C’EST SI BON…

    J’avais trouvé ce titre « un peu simpliste et – pour ainsi dire- un peu bêta »… Et je m’étais dit « ils auraient pu trouver un peu plus élaboré comme titre en l’occurrence »…

    Ce « C’EST SI BON » me faisait penser à l’un de ces mecs, assez crus et assez vulgaires (et moqueurs) – des mecs de 30 ans tous mariés mais peu fidèles à leur femme et ne dédaignant pas de temps à autre « se faire un pt’it jeune »… Un de ces mecs donc, avec lesquels je bossais dans un wagon de train poste en été 1967 – j’avais 19 ans…

    Révolté par la vulgarité de ces mecs, qui n’arrêtaient pas de faire allusion en ma présence, à l’acte de sodomie – et se montraient à mon égard, menaçants et brutaux… Je leur répondais « j’ai horreur du radada par le trou de bale »… Et l’un d’eux alors, inévitablement me rétorquait «  tu as tort, c’est si bon » !

     

     

     

  • Les enseignants à Mayotte

    Y-a-t-il beaucoup de jeunes Français de métropole, ayant eu une formation pour devenir « professeur des écoles » (instituteur/institutrice) ainsi d’ailleurs que des reçus au CAPES pour être professeur dans un collège ou dans un lycée… Qui se portent d’eux-mêmes candidats pour exercer à Mayotte ?

    Quand on sait les conditions difficiles – et c’est pas peu dire – qui règnent dans ce 101ème département Français situé à 8000 km de la métropole ! …

    « Cela ne doit guère courir les rues » !

    Il faut en effet « une foi de charbonnier et de grand humanitaire d’esprit et de cœur », une bonne dose d’abnégation et de volonté de porter la culture française dans un territoire de misère, de dénuement et d’habitat de « torchiottes » !

    Déjà, pour les jeunes mahorais qui vont jusqu’à la terminale et au BAC au lycée (qui y parviennent), du fait que, passé le BAC, ils doivent forcément poursuivre des études en France, l’on imagine par manque de ressources financières, l’impossibilité pour les parents, d’envoyer leur fils, leur fille en France, aux prix du billet d’avion aller retour !

    « Peut-être » que pour arriver à trouver sur place des enseignants à Mayotte, compte-t-on forcément sur des jeunes Mahorais titulaires d’un BAC qu’on va former dans des structures locales implantées afin de leur éviter d’avoir à se former en métropole…

    Vu le nombre d’enfants à Mayotte, il est clair que l’avenir d’un bachelier Mahorais est « tout tracé » : il peut devenir enseignant (s’il est formé sur place)…

    Donc si un jeune enseignant de France métropolitaine ne veut pas -et pour cause- exercer à Mayotte, ce n’est pas grave car à Mayotte il y a tous les Mahorais reçus au BAC qui peuvent devenir enseignants !

     

     

  • Ces forums du Net qui ne font plus recette

    Oh Suzan du café La Jasette qui harponnait un Yugcib qui avait osé écrire qu’il détestait le radada par le trou de bale et que c’était mal venu d’écrire ça à cause des mineurs inscrits sur le forum !

    Tous ces forums avec leur charte, leur bienséance consensuelle, leur padevague, leur respect et écoute de l’autre, leur morale, leurs mamours, leurs recettes de cuisine, leurs secrets de jardinage et autres discussions patates-salades et politicaille, leur émotiscoop du jour… ça avait fini par me gonfler tous ces forums, je les ai tous quittés… Mais « inventé » le mien, celui là sans la moindre charte, où l’on peut y mettre ce qu’on veut en toute liberté y compris le pire, c’est à chacun de faire le tri et de suivre ou de ne pas suivre, même de m’incendier !

    Et dire que j’ai été de 2005 à 2019 sur un forum où j’étais libre et avais mon « coin », mais qui à ma grande et désagréable surprise en 2017 a fait du battage pour Marine Le Pen à l’occasion des élections présidentielles, du coup quand ce forum a capoté fin août 2019 j’ai pas trop regretté… D’autant plus que tout ce qu’il y avait dans mon « coin », je l’avais sauvergardé enregistré dans mes dossiers de fichiers Libre Office et One Drive…

    Comme si c’était dans « l’ordre des choses » de la part d’un administrateur et modérateur de forum, de faire du prosélitisme pour un parti politique !

    Et idem pour les artistes et les écrivains qui tiennent scène publique et meetings pour un candidat à l’élection présidentielle !

     

     

  • Je déteste ...

    Quand les mômes de moins de dix ans, ou jeunes ados, se mettent l’anorak ou la doudoune très bas dans le dos, les bras à peine passés dans les manches et avancent en se dandinant…

    Les lunettes dans les cheveux – ce sont plus souvent les femmes que les hommes que l’on voit déambuler ainsi, lunettes dans les cheveux…

    Les lunettes écartées posées à côté de l’assiette, ou du verre, à table ; ou encore en sautoir sur le poitrail attachées avec une codelette autour du cou… ou accrochées à un bouton sur le pull…

    Les logos pétants sur les casquettes ou sur les tee-short genre « New-York » ou « Fly Emirates »… Quand je vois Donald Trump avec sa putain de casquette rouge à la con sur le crâne ça me fait gerber…

    Les vêtements dont on voit en gros bien pétant la marque, les pulls avec des rayures en travers au lieu de haut en bas en long, les pantalons ultra-moulants…

    Les sacoches en « beau cuir de vache » en bandoulière que portent souvent les « vieux messieurs » ou les « rassis »…

    Les casquettes de pépère en laine ou en velours, les bonnets de rappeurs, les chapeaux excentriques et d’une manière générale toute coiffure sur la tête…

    Tous les petits gestes d’affèterie du genre pour les femmes, sans cesse repousser une mèche de cheveux, tournicoter la tête comme pour exprimer quelque chose indirectement…

    Les piercings, les cheveux en couleur fluo, ou frisés comme une épaisse toison de mouton, toute ces quincailleries de bijoux de fantaisie dont les gens s’affublent aux poignets, aux oreilles, au cou, aux chevilles…

    Les décolletés provoquants – en général d’une vulgarité manifeste ; les jupes courtes et pantalons moulants, les bas en couleurs vives, arborés par des femmes « grosses » voire obèses »…

    En règle générale – pourrais-je dire - « avec moi si l’on m’écoutait et si l’on adoptait mes canons, les boutiquiers, les maroquiniers, les modistes, les chapelliers et casquetteurs, les bijoutiers… Feraient tous faillite » ! (rire insolent et iconoclaste) …

     

     

     

  • Adichat' depuis "belle lurette" les "mignonnettes" !

    Qui encore de nos jours, depuis le développement et l’usage généralisés d’internet, du téléphone portable, des e-mails et des SMS, aurait la « nostalgie » de ces cartes de vœux appellées « mignonnettes » liserées de jolies dorures que, dans les tous premiers jours de l’An neuf », l’on expédiait par la Poste à ses proches, amis et connaissances, par dix, vingt trente, et avec sur l’enveloppe un « beau timbre » ? Et que de surcroît certains et certaines « dans le temps », rédigeaient d’une « écriture ampoulée » aux lettres bien avec pleins et déliés, et jolies, élégantes majuscules, et avec un « beau stylo plume » ? (rire)…

     

    Et qui, d’autre part, de nos jours, « se fend » d’une conversation téléphonique « de circonstance » pour « souhaiter la bonne année de vive voix » à partir d’un téléphone fixe ou d’un téléphone portable… Cet « appel convenu » - donc en composant le numéro à dix chiffres – à partir d’un téléphone fixe jugé « mieux qu’à partir d’un portable » - pouvant déboucher « contre son gré » sur un interminable échange de banalités parce que l’interlocuteur est « une vieille personne bavarde » (et vivant seule) ou encore, un fils ou une fille de quarante ans qui à chaque communication, n’arrête pas de faire des observations, d’émettre des critiques sur ta façon de vivre et sur comment tu t’arranges dans tes affaires, etc. … Rendant la conversation épuisante…

     

    C’est « tellement mieux » et « tellement plus aisé » - et en conséquence infiniment moins « problématique » ou « épuisant » - et contraignant » - d’envoyer des vœux par e-mail, par bref message rédigé ou SMS sur un smartphone, avec « pour enjoliver et meubler » une photo ou une vidéo accompagnant le message !

     

    En fin décembre 1967, âgé de 19 ans, je travaillais dans un centre de tri postal à Paris PLM, et je me souviens qu’en période de Noël Nouvel An, il n’était possible à personne de prendre des congés et qu’autour de la table de tri métallique percée de trous pour la poussière, à huit heures du soir au début de la vacation de nuit, et jusqu’à minuit et plus même, étaient déversés par les « manuts » des sacs postaux (des « sacs 7 » pleins de « mignonnettes » s’éparpillant en énormes tas sur la table d’ouverture, et nous étions une dizaine d’agents, debouts autour de la table, occupés à redresser et empiler en rangées toutes ces « mignonnettes » destinées à être réparties devant les casiers de tri où nous étions tenus « agents d’exploitation » de trier à raison de 500 au quart d’heure… La vacation durait de 20h à 6h avec une pause d’une heure à minuit…

     

    J’imagine un jeune matheux conclure un bref message sur son smartphone : JvπC…