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Journal - Page 163

  • Le Contrat n'a rien résolu

    Que les Grands Intellectuels – les plus « nobles et épris d’humanisme » d’entre eux ; que les Grands Penseurs, que les légistes et personnages de grande autorité morale et philosophique des Grands Textes fondateurs, que toutes les personnes de très/très bonne volonté de par le monde qui œuvrent pour une société meilleure et croyent en l’inexistence du Mal Absolu en dépit de la réalité évidente du Mal Absolu… « Mettent un bémol » à leurs « belles et nobles idées » car dans le contexte actuel qui est celui des attentats terroristes islamistes et de l’attaque du Hamas contre Israël, du fanatisme religieux, des désordres dominants, de la guerre en Ukraine, des tensions entre grandes puissances et de la violence des individualismes forcenés dans la société toute entière sous l’empire des dérives de la « consommation de masse »… L’heure n’est plus à l’apaisement, à la haine de la haine, à « l’apprivoisement » de l’araignée géante carnivore aux énormes mandibules !

    L’heure est à présent au combat sans merci, sans négociation, contre le Mal Absolu « pluri visage » (dont quelques uns de ces « visages » sont des « masques caramélisés » il faut dire)…

    L’heure est à la haine du Mal Absolu, l’heure est au coup de burin dans le marbre, au coup de hache dans le contrat car le « petit coup de canif » dans le même contrat qui « choquait quelque peu » ne suffit plus…

    Le contrat n’a rien résolu, il a au contraire donné plus de prise, plus de pouvoir, de puissance, de domination, au Mal Absolu Grand Vengeur et recruteur de troupes dans le vivier d’une part de la Grande Misère, et d’autre part dans les marais luxuriants et peuplés de sirènes de la Grande Marchandisation qui a profité un peu à tout le monde sauf à quelques uns que l’on a laissé s’enliser à dessein…

     

  • Liberté intellectuelle

    «  Je n’ai jamais vu aussi peu de liberté intellectuelle qu’à notre époque. L’opinion dominante n’a plus d’ennemis »…

     

    De Pierre Manent, philosophe Français né le 6 mai 1949 à Toulouse. Normalien, agrégé de Philosophie en 1971 – à l’âge de 22 ans – spécialisé en philosophie politique. A été assistant de Raymond Aron au Collège de France.

     

    Cette liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, n’est pas, loin s’en faut, celle de bon nombre d’intellectuels d’aujourd’hui, que l’on voit, invités dans des émissions de télévision, et dont on lit les « best-sellers », les livres qu’ils écrivent et que le « Grand Public » achète comme n’importe quel « produit de consommation » en étalage dans les « grandes surfaces de la culture et multimédia » avec entrée dans les galeries marchandes…

    La liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent est devenu « une denrée rare » de telle sorte qu’elle n’a plus guère d’ennemis, parce que cette liberté là, celle de l’indépendance d’esprit, qui s’appuie sur des bases culturelles réelles, sur du travail de recherche, sur de l’analyse et sur de la réflexion et qui ne se laisse jamais dominer par des courants d’opinion, ni non plus acheter ni pervertir… Est, le plus souvent « zappée » ou considérée « suspecte » ou encore dit-on d’elle qu’elle est « à côté de la plaque », ou qu’elle est l’affaire de gens qui se sentent « supérieurs » et donc « très au dessus du citoyen lambda qui galère… Ce qui, en quelque sorte, pour celui ou celle qui a cette liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, est pire que d’avoir effectivement des ennemis déclarés, des opposants déterminés, des contradicteurs, des interlocuteurs difficiles – mais qui eux, au moins, réagissent avec l’intelligence qui est la leur, avec leurs arguments, leurs armes entretenues en somme, tout ce dont ils sont capables et qui vient de leur vécu, de leurs idées, de leurs propres réflexions…

    Effectivement l’opinion dominante n’a pas d’ennemis, elle a des suiveurs, des admirateurs, et c’est elle, l’opinion dominante (LES opinions dominantes) qui « font le buzz » sur les réseaux sociaux (pas la « vraie » liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, et qui ne s’acquiert pas dans la facilité, dans le « tout venant », dans ce qui « braie », « clingue », se partage avec des centaines de gens en 2 secondes aussi bien autour de soi à cent kilomètres à la ronde que d’un bout à l’autre de la planète…

    La liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent implique de devoir mener un combat sans merci, déterminé, constant, de toute une vie… Contre les ordres dominants mais aussi contre les désordres eux aussi dominants à leur manière…

     

     

  • La question qui fait débat sur le principe de liberté et de droits

    La question – qui « dans les textes » - est inscrite dans la Constitution Républicaine de la France, qui, également l’est aussi « inscrite dans les textes » sur les droits de l’homme et du citoyen et des libertés de l’Union Européenne (et même en droit international)… La question donc, de laisser en liberté (surveillée ou pas) et, en conséquence de ne pas emprisonner ni éliminer physiquement une personne « hyper potentiellement dangereuse n’ayant pas encore commis ni attentat ni meurtre ni agression – mais pouvant à tout moment « passer à l’acte »… Fait débat, ne cesse de faire débat et « est mise en avant » par les associations et organisations humanitaires, certains partis de gauche, qui, tous autant qu’ils sont se réfèrent au droits de l’homme, au principe de liberté… et qui, en quelque sorte refusent de reconnaître la dangerosité potentielle très proche du passage à l’acte des terroristes, des fichés « S » islamistes et autres, tous des criminels en puissance qui, certes ne sont pas encore passés à l’acte mais y passeront quasi sûrement…

     

    Qu’il y ait une Constitution, républicaine, européenne, avec des textes de loi qui spécifient que « ... » et qui inscrit dans ses textes des droits humains, le droit à la liberté etc. … D’accord, entièrement d’accord…

    Mais est-ce qu’une Constitution avec des principes aussi fondamentaux qu’ils soient, est-ce que des droits imprescriptibles édictés, est-ce que des droits de l’homme, est-ce que des textes de loi… Est-ce que tout ça c’est « inscrit dans le marbre » ?

     

    Dans des situations périlleuses, de guerres, d’insécurité publique, de troubles graves dans une société menacée, de péril, de danger réel où la vie de nombreuses personnes est en jeu… Il me semble, « il me semble » - pour ne pas dire que cela me paraît aussi évident que certain – que le « marbre » il faudrait alors le rayer au burin (et quand je dis « rayer au burin » c’est tout autre chose qu’un simple « coup de canif dans le contrat »)…

     

    Autrement dit, les « fichés S » et Compagnie, personnes potentiellement très dangereuses proches d’un passage à l’acte et, soit relâchées de quelque détention occasionnelle pour faits reprochés, soit simplement soupçonnées et « logées »… Devraient être enfermées, isolées sans durée définie (à vie si nécessaire) ou encore « plus expéditif » éliminées physiquement – ou conduites à devoir mettre fin elles mêmes à leurs jours… (Il s’agit de savoir si l’on est en état de guerre ou pas, parce que si l’on est en état de guerre, les « lois » ne sont pas les mêmes qu’en temps de paix, rappellons que la guerre c’est des armes, c’est tuer, c’est se défendre, et ça implique de « ne pas faire dans la dentelle » sinon, y’a plus de guerre on est dans le « bizounours avec des opinel à lame émoussée, des petits queucœurs rourouges plaqués sur les fesses et des mamours aux fragrances de foutre…

     

  • Un cauchemar récurrent

    C’est celui où je me trouve, lors d’une longue randonnée à pied dans une région très aride et de haute montagne, dans une situation m’obligeant à parcourir une distance de l’ordre de plusieurs kilomètres, le long d’un flanc rocheux de montagne, alors que le passage permet à peine de poser un pied devant l’autre.

    Le flanc de la montagne est d’une hauteur vertigineuse et vers le bas, la profondeur est insondable.

     

    Par endroits, sur environ un, voire deux ou trois mètres, le passage devient aussi étroit que la moitié de la largeur du pied, de telle sorte, que je peine à me maintenir en équilibre, risquant fort de tomber dans le ravin d’une profondeur insondable.

    Il me faut, mètre après mètre en situation de « funambule équilibriste » pouvoir encore m’accrocher aux aspérités de la roche, il y a en effet assez souvent et « heureusement si l’on veut », des arrêtes, des saillies, des excroissances rocheuses dans la paroi quasi verticale, qui permettent à mes mains de s’accrocher à peu près fermement…

     

    Mais il y a forcément un endroit, lors du parcours interminable, où la paroi rocheuse est trop lisse, et où le passage est encore plus étroit que de la moitié de la largeur du pied…

    En général, c’est à ce moment là, du passage le plus périlleux, le plus quasi impossible à franchir, que je me réveille… Mais encore durant un bon moment sous le coup d’une grande peur et angoisse…

     

    Il existe plusieurs variantes de ce cauchemar :

    Le même mais avec un autre promeneur randonneur équilibriste venant à ma rencontre et que je dois forcément à un moment ou un autre, avoir en face de moi…

    Encore le même, sauf que cette fois, le passage est « un peu plus large » voire aussi large qu’une petite route de montagne à flanc de paroi avec un grand ravin en dessous, et que je suis en vélo ou en voiture… (Et avec la rencontre de quelqu’un d’autre arrivant en sens inverse)…

     

    Enfin il y a aussi cette version là :

    Celle de la façade arrière sans fenêtres d’un gratte-ciel aussi haut qu’une montagne des Alpes ou de l’Himalaya, et aussi large qu’une grande barre d’HLM, avec vers le bas un ravin insondable – ou une surface océanique (à au moins 3000 mètres en bas) … Je suis alors, je ne sais comment, prisonnier dans un renforcement de la taille d’une fausse fenêtre, ne pouvant pas me mettre debout dans le renforcement, ne pouvant pas non plus me mettre en position allongée, ne pouvant qu’être assis les jambes pendantes dans le vide, sur le rebord du renforcement…

    Il ne me reste alors que deux seules possibilités : soit me jeter dans le vide, soit demeurer assis sur le rebord mais en étant sûr de mourir de faim, de soif, d’épuisement et donc, de finir par tomber dans le vide…

     

     

  • Qu'est-ce que la Palestine ?

    Si « historiquement parlant » - on va dire jusqu’en 1947 – la Palestine « de toujours » c’est :

    Safad – Acra – Haïfa – Nazareth – Jenin – Tulkram – Nablus – Jaffa – Al Ramia – Ramalah – Jerusalem – Hebron – Gaza -Beersjeba (en tant que territoires géographiques et de populations d’origine cananéennes – pays de Canaan de la Bible)

    Alors… Alors alors… Les Juifs de la Bible auxquels Moïse après 40 ans d’errance suite à la fuite d’Égypte de Pharaon, avait promis une terre, et qui furent expulsés et dispersés… Où auraient-ils pu se fixer, s’établir, au Moyen Orient, si en 1948 il n’y avait pas eu ce traité de l’ONU qui leur attribuait un pays avec des frontières ?

    Et que fallait-il faire de tous ces territoires qui constituaient depuis des millénaires, la Palestine « de toujours » ?

     

    Les Juifs de Moïse quand ils sont arrivés en Palestine, la Palestine de l’époque qui est restée Palestine jusqu’en 1947, se sont donc installés à l’époque, dans un territoire où vivaient les Cananéens (les palestiniens de l’époque), se sont mélangés pour ainsi dire avec les populations locales, de telle sorte qu’ils ont fini par être tous, juifs et cananéens, un même peuple… Rappelons d’autre part que, du temps de l’Égypte des Pharaons, les juifs n’étaient autres que des Hébreux , réduits en esclavage suite aux conquêtes des Pharaons jusqu’aux frontières de l’Empire des Hittites (anatolie turquie ancienne) et qu’avant la conquête de la Palestine par les pharaons, les hébreux coexistaient avec les cananéens… Qu’ils ont retrouvé comme voisins, revenus en Palestine conduits par Moïse…

     

    Les langues Hébraïque et Arabe sont issues de l’Araméen, lequel Araméen est issu de l’Accadien (la langue parlée et écrite du monde Egéen de cinq empires – Mycénien, Hittite – Egyptien – Mitanni- Babylonien entre -3000 et – 1200)…

    En quelque sorte, le Traité de l’ONU de 1947 a comme « effacé de la carte » la Palestine « de toujours » (qui du temps de l’empire Egyptien du monde Egéen, était intégrée à l’Egypte – et que les Hittites auraient pu d’ailleurs conquérir s’ils n’avaient été vaincus par les armées de Pharaon)…

     

    La « grande erreur » du traité de 1947 c’est d’avoir (peut-être par « bonne volonté réelle » créé un état Israélien après la seconde guerre mondiale qui avait vu l’extermination des Juifs) mais sans avoir considéré l’existence millénaire de la Palestine…