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Journal - Page 167

  • Protection sociale en France

    Notre système Français de protection sociale – notamment en matière de santé publique - aussi critiqué qu’il soit dans les autres pays…

    En dépit – il faut tout de même le dire – de quelques abus…

    Est inégalé et d’ailleurs, bon nombre de pays nous l’envient.

     

    Ne serait-ce qu’en m’exprimant publiquement, haut et fort, au sujet de cette question de la protection sociale en France, je défendrai toujours avec détermination et constance soutenues, le système de protection sociale Français… Tout en ayant conscience – et ne les niant pas – de ces quelques dérives et abus qui pervertissent ce système et contribuent à le mettre à mal…

     

    En France est désigné comme maladie de longue durée (ou affection de longue durée) l’une des 30 maladies figurant sur la liste conçue par l’assurance maladie française, (dont entre autres, le cancer, la tuberculose, le sida, la sclérose en plaques, les maladies coranariennes et l’insuffisance cardiaque, le diabète, toutes maladies ou affections nécessitant un traitement, des soins, des opérations, un suivi médical)…

     

    Ce dispositif a été créé en 1945, et fut mieux défini et précisé, durant le second mandat présidentiel de Jacques Chirac… Où fut instauré dans la prise en charge à 100 % de tous les soins, consultations, interventions, le transport en taxi, ambulance, des personnes devant se rendre pendant plusieurs semaines ou mois chaque jour, dans un centre de traitement – aller retour entre leur domicile et le centre de traitement ; sans devoir faire l’avance de quelque frais que ce soit…

     

    Dans des pays tels que les USA, le Canada, l’Australie, et bien d’autres pour ne pas dire quasiment tous, le « citoyen lambda » débourse afin de s’assurer au mieux, bien plus que ne contribue le citoyen Français par la cotisation qu’il verse au régime général de la sécurité sociale, augmenté de sa cotisation à une mutuelle complémentaire…

     

    Comment fait un Américain, un Canadien, un Australien, qui doit suivre un traitement fréquent durant plusieurs semaines ou mois dans un centre médical, hôpital situé à 50 km de son domicile, s’il n’ a pour se déplacer qu’un vélo ou que ses jambes ?

    Et, selon le principe de la liberté de cotiser ou pas, afin de s’assurer – ou de ne pas s’assurer - auprès d’une mutuelle ou compagnie d’assurance, comment fait cet américain, ce canadien, cet australien, pour se soigner (par exemple pour un cancer) s’il n’a délibérément rien prévu ou s’il n’a, pour des raisons budgétaires le concernant, prévu que le minimum ?

     

    Les démocrates au gouvernement des USA n’ont jamais pu faire instaurer une couverture médicale universelle (par des cotisations rendues obligatoires) parce que dans ce pays, les USA (et d’ailleurs bien d’autres) les gens « aisés » ou « moyennement aisés » (et à plus forte raison les «individualistes à très petit budget »), ne veulent absolument pas payer pour tous (ils veulent bien payer mais pour eux, pour leur confort et sécurité personnels – encore qu’en se ménageant la liberté de payer ce qu’ils veulent bien accepter de payer en louvoyant sur les risques encourus)…

     

     

     

  • La dictée, en berne sur la planète ?

    Lu dans « Le Quotidien » : « Il n’y a que la France qui fait des dictées ! C’est une sorte de délire national »

     

    S'il n'y a "que la France qui fait des dictées" C'est la France qui a raison, seule et contre tous ! Le massacre simplificateur réducteur niveleur des langages et des grammaires de toutes les langues écrites et parlées, est un crime contre l'humanité, un enterrement de la civilisation, un attentat contre la pensée ! … Dis-je ! Persiste et signe ! …

    « les papous ne font pas de dictée »… « La dictée n’est qu’un instrument de mesure »…

    Sans doute, oui, sans doute…

    MAIS à l’école primaire la dictée demeure à mon sens un exercice nécessaire… Qui n’en est plus un, d’exercice, que « de circonstance », comme par exemple certains concours de dictée lors de manifestations culturelles, proposés à des personnes désirant participer…

    Par exemple, au Festival de géographie à Saint Dié dans les Vosges, il y a toujours le samedi après midi, un concours de dictée auquel des gens de tous âges peuvent participer…

     

    Cela dit – sans «rapport avec la choucroute » (rire)… À quand un « retour de terre inconnue » (cette émission préférée des Français qui a lieu tous les huit mois environ) avec pour invité de marque un personnage charismatique, artiste ou comédien ou écrivain, revenu d’un séjour de deux semaines en Papouasie, ou d’un village de Talibans en Afghanistan, ou encore de quelque coin perdu de steppe sibérienne au fin fond de la Russie… Et… Beaucoup d’émotion, de larmes, de fervent humanisme exprimé, huit millions de téléspectateurs ? …

    Et, ce que l’on ne voit jamais dans l’émission : l’hélico de sauvetage prêt à décoller pas très loin, appelé en cas d’urgence par internet satellite depuis la « petite valise munie d’une antenne radar » du technicien accompagnant discrètement (sans être vu) l’« expédition » d’une durée de deux semaines… ( rire… « quelque peu iconoclaste »)…

     

    C’est bien vrai : dans « voyage séjour en terre inconnue », là où le personnage charismatique – artiste, comédien, écrivain – est invité chez des gens vivant dans des endroits « à l’écart de la civilisation occidentalisée consumériste »… On ne fait pas de dictée !

     

     

     

     

  • "La beauté du monde se fera sans toi"...

    « Il » - cet « inommé » au nom duquel je m’exprime, en ces « temps troublés » de l’été 2021, du covid, du pass sanitaire qu’il fallait produire en de nombreux lieux publics – restaurants, cafés, salles de spectacle, bibliothèques, musées, etc. … Du masque partout y compris en extérieur notamment dans les marchés, les rues piétonnes… Et dans les gares, les aéroports au départ de diverses destinations autorisées, le test covid datant de moins de 24 ou 48h qu’il fallait présenter avec son passeport…

     

    « Il » - cet inommé » donc, commit alors en cet été 2021, quelques propos jugés scandaleux sur son blog, qui lui valurent de la part de certains (de ces certains anti pass/anti vaccin) une « volée de bois vert » assez carabinée on va dire…

    À vrai dire, à « plus exactement et précisément dire », « Il » « péta un plomb » tant « l’affaire » - génératrice de « polémiques - pilori » lui « prit la tête », en somme le sensibilisa au point de – comme on dit- « déraper »…

     

    « Du coup » « Il » se vit désormais invalidé, décrété non visitable, « pestiféré » pour ainsi dire, aux yeux d’un public qui, auparavant lui était « de longue date » acquis (un public certes restreint mais de « fidèles » dont « une amie qu’« il » avait depuis une vingtaine d’années…

     

    Déjà que son public « en général » était de toute manière, relativement restreint, se voir désormais exclu de ce public de fidèles… N’a donc « pas arrangé ses affaires »…

    Deux étés plus tard, en été 2023, covid, pass sanitaire, tests, masques, tout cela est « de l’histoire ancienne » (sauf que… On meurt toujours du covid – enfin un peu moins tout de même que dans le temps – et que, finalement il s’avère que la vaccination – jusqu’à 4 fois pour bon nombre de nos concitoyens – devient quasiment inopérante (on ne va pas tous les six mois, se faire faire une nouvelle injection de vaccin)…

     

    Signe tangible comme quoi la tension qui dominait en été et automne 2021 est réellement tombée : le masque n’est même plus obligatoire dans les hôpitaux et les centres médicaux, depuis mi mai 2023…

     

    « La beauté du monde se fera sans toi » lui avait – « elle » dit dans un « mail incendiaire » au début de l’été 2021… Après qu’ « elle » ait lu ce qu’il avait produit sur son blog, de « si scandaleux » (Bon, oui c’est vrai c’était « pas piqué des hannetons »)…

     

    La beauté du monde ?

    De toute manière, elle se fera sans lui, sans ses coups de masse contre le mur, sans ce qu’« il » fait ou ne fait pas, sans les vingt mille traces qu’« il »laisse sur la Toile, sans son visage, sans son sourire, sans sa présence…

    ET, dans les lieux où « il » peut à tout hasard rencontrer l’un l’une ou l’autre de ces quelques fidèles désormais défidélisés pour toujours ; « il » se mettrait une casquette sur la tête (de préférence à longue visière) et porterait des lunettes de soleil, espérant ainsi ne point être reconnu…

     

    Oui « ça c’est vrai » : la beauté du monde se fera sans toi »… Cela dit… Rien ne t’empêche pour autant, d’y participer, à la beauté du monde… Quoique tu aies fait, quoique tu n’aies pas fait…

     

     

  • "Dérouler le fil" ...

    Dans cette certitude qui se fonde et s’entretient en soi, de détenir la vérité absolue au sujet de telle ou telle chose à laquelle on pense et que souvent l’on ne manque pas d’exprimer haut et fort ; il entre une certaine forme d’arrogance ou de fierté qui se manifeste par le fait de vouloir imposer son point de vue en sublimant de surcroît ce point de vue, et en pensant que l’autre serait dans l’incapacité de comprendre, faisant ainsi allusion au manque supposé de réflexion et d’ouverture d’esprit, de l’autre…

     

    Si une vérité devait vraiment apparaître en s’esquissant à plus vrai dire qu’en se dessinant à traits nets ; cela ne pourrait être que comme lorsque l’on déroule peu à peu le fil d’une bobine centimètre par centimètre, en s’efforçant de défaire les nœuds successifs très nombreux tout au long du fil déroulé sans que le fil se rompe.

     

    Ainsi faudrait-il pouvoir dérouler le fil le plus loin possible, jusqu’au plus près de son extrémité, ce serait alors comme un filet d’eau (un ru) se dispersant en filets encore plus étroits et imprécis dans leur cours ; de telle sorte que la source même, dissimulée – et peut-être multiple – le long de la paroi rocheuse recouverte de végétation, ne pourrait être identifiée ou localisée.

     

  • La dimension d'un événement dramatique

    Lors de l’attentat commis par Mohamed Merah à Toulouse et à Montauban les 11 et 19 mars 2012, ce furent sept personnes qui ont été tuées dont trois militaires et trois enfants…

    Trois jeunes enfants d’une école juive, ce qui signifie que l’auteur de cet attentat a tué ces enfants « parce qu’ils étaient juifs »… Et les trois militaires « parce qu’en tant que militaires, ils relevaient de l’autorité de l’État »…

     

    Lors de l’attentat commis le 7 janvier 2015 contre Charlie Hebdo, et le 9 janvier 2015 contre des clients d’une épicerie casher juive, et contre une policière, les « cibles » étaient précises : le journal satirique Charlie Hebdo, les policiers, les juifs clients d’une épicerie casher…

     

    Lors des attentats, l’un celui du 13 novembre 2015 à Paris, et l’autre celui du 14 juillet 2016 à Nice, ce furent, les nombreuses victimes de chacun de ces deux attentats, 130 à Paris et 86 à Nice, des gens en général sans distinction de sexe ni d’âge…

    Et il en fut de même lors de tous les autres attentats, en Belgique, Allemagne et France depuis 2015…

     

    Lors de l’attentat commis par le réfugié Syrien « Chrétien de Syrie » le 8 juin 2023, ce furent bien « des enfants » (de très jeunes enfants) qui ont été « ciblés » très précisément… Et c’est là un « fait sans précédent équivalent », un fait nouveau donc, particulièrement choquant et inquiétant, parce que ce sont bien des enfants qui ont été les victimes « ciblées » par le tueur… Soit « des enfants en tant qu’enfants » et non pas « des enfants parcequ’ils sont juifs »…

     

    Mais à ce niveau de dimension de l’horreur, entre tous les attentats meurtriers d’avant le 8 juin 2023 et l’attentat du 8 juin 2023, la « différence » - si l’on peut dire – est comme entre « un milliard huit cent millions et un milliard neuf cent millions » (pour « situer et appréhender » si l’on veut)…

     

    Restent encore il faut dire, les attentats commis contre des enfants par des pédophiles assassins et violeurs, mais il s’agit là de « pulsion sexuelle la plus horrible et abjecte qui soit , à la vue du sang et de la mort » (en général les jeunes victimes de pédophiles assassins sont attaquées et tuées au couteau, ou par étranglement ou noyade ou étouffement)… (Le cas le plus « emblématiquement effrayant et le plus horrible avec retentissement au travers de l’Histoire » fut celui de l’assassinat d’un millier d’enfants en France au 15ème siècle par Gilles de Ray qui soit dit en passant fut l’ami de Jeanne d’Arc)…

     

    Autres cas - entre autres – à « retentissement Historique » : la Montespan maîtresse de Louis XIV, qui se rendait à des « messes noires » au cours des quelles on égorgeait de jeunes enfants ; les holocaustes de juifs où des dizaines de milliers d’enfants ont été « gazés », les milliers d’enfants tués lors de la guerre de trente ans 1618-1648, lors des guerres napoléonniennes, lors des guerres du 20ème siècle et lors des guerres actuelles en Ukraine, Syrie, Yemen et ailleurs…

     

    La « qualité » ou la « valeur » - si l’on veut – d’une civilisation se « mesure » à la manière dont cette civilisation – qu’elle soit Chétienne, Musulmane ou autre – (ou dotée de lois, de principes, de règlements) – traite ses enfants et ses femmes…

     

    Et de même la « valeur » - si l’on veut – d’un homme, se « mesure » à la manière dont cet homme traite ses enfants, les enfants des autres, sa femme, et toutes les autres femmes…