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Journal - Page 10

  • La réflexion du jour, mercredi 3 décembre 2025

    Une femme ayant sa mère et deux enfants, végétarienne ou végane et à ce titre soucieuse du bien être animal, qui depuis de nombreuses années ne voit plus et ne parle plus à sa mère, et qui de surcroît traite inégalement ses enfants en privilégiant l’un et en étant dure avec l’autre…Je lui mangerais un petit cochon de lait sur la tête, ou une côte de veau, voire un steack d’autruche ou de kangourou !

    Cette femme ne peut pas être une bonne personne !

     

  • Déséquilibre entre "blocs" de pays

    À partir de février 1943 – un tournant dans la seconde guerre mondiale avec la défaite de l’armée allemande à Stalingrad et la reddition du Général Von Paulus – l’ Axe (Troisième Reich Hitlérien – Italie- Japon) s’est trouvé confronté à tout le reste du monde et en conséquence et de toute évidence, les forces, puissances et armées de l’Axe ont été, à partir de février 1943, isolées et cernées… Et s’établissait ainsi un déséquilibre manifeste entre deux « blocs » de nations et de peuples…

    D’un côté les Alliés – mais « alliés » contre les puissances de l’Axe, à savoir l’ensemble des démocraties occidentales avec les Américains et les Anglais, les Canadiens, les Australiens, les Français hors de France, les armées des empires coloniaux ; débarqués en juin 1944 en Normandie puis en août 1944 en Provence… Et l’armée rouge (Russie Soviétique) de Staline à partir du front de l’Est Européen…

    De l’autre côté – mais avec la défection de l’Italie à la chute de Mussolini en 1943- l’Axe constitué de l’Allemagne Nazie et du Japon impérialiste…

    Il fut évident cependant que le « bloc » des Alliés ne pouvait que se scinder en deux à la fin de la seconde guerre mondiale : le « bloc occidental » et le « bloc de l’Est  URSS et de leurs états associés - « associés » davantage de force que de volonté réelle »…

    D’où le « monde tel qu’il fut, de 1945 jusqu’à 1991…

     

    En 2025 le « cas de figure » (ce qu’est le monde actuel) est très différent (il n’a plus rien à voir avec celui qui apparaissait après février 1943)…

    Il y a d’un côté le « bloc occidental » qui, depuis l’élection de Donald Trump aux USA est divisé et surtout investi par des partis autoritaires de gouvernement, où l’Europe – longtemps dépendante des USA- se trouve affaiblie économiquement et militairement…

    Et d’un autre côté le « bloc » constitué par la Russie de Vladimir Poutine et de ses alliés la Chine, la Corée du Nord et l’Iran… Mais également de quasiment l’ensemble des pays en «  voie de développement (le « tiers monde »)…

    Le déséquilibre a en conséquence, en 2025, changé de côté, en regard de ce qu’il était à la fin de février 1943…

    Et ce déséquilibre est encore accentué par le « Deal » qui s’articule – aux dépens des Européens- entre Donald Trump et Vladimir Poutine.

    Et « pour couronner le tout » les partis d’extrême droite, avec les Islamistes en embuscade, s’invitent dans tout le paysage du monde occidental…

    Aussi, le « choix » qui se dessine à la vue du monde qui vient se mettre en place du fait du « deal » entre Trump et Poutine et de la puissance accrue du « bloc » anti démocratique, est-il -on le voit bien- celui que font, bon ou mal gré, ou « contre mauvaise fortune bon cœur », un certain nombre de gens – en France et partout dans le monde – se « ralliant » du côté de là où se fait la loi du plus fort, là où il y a le plus à gagner et où l’on en tirera les « meilleurs » avantages – comme ce fut le cas dans la France du Maréchal Pétain et de l’Allemagne du 3ème Reich…

    Sauf que cette fois, pour les « autres » (ceux et celles qui entrent en résistance et qui ne veulent pas de ce monde là) le « choix » sera encore plus difficile, plus désespéré, plus courageux, pour s’opposer à ce monde là ; car ce sera risquer de « disparaître les armes à la main plutôt que de vivre à genoux, et s’en aller donc, dans l’honneur, dans la dignité mais en aucun cas dans la lâcheté et dans la compromission… En espérant que de nouvelles générations dans un avenir plus ou moins proche, se lèveront et finiront par faire changer de côté le déséquilibre…

     

     

  • Pourquoi Noël le 25 décembre ?

    Les sociétés anciennes, celles telles que les Celtes d’Europe occidentale, îles Britanniques Irlande et Europe centrale, du temps du Néolithique ; ainsi que les Améridiens du continent Américain dans sa partie nord, en Méso-amérique (Amérique centrale) et partie sud plateaux andins et jusqu’en Patagonie, avant l’arrivée des Européens au début du 16 ème siècle ; lorsqu’ils célébraient le solstice d’hiver – 21 décembre dans l’hémisphère nord de la Terre et 21 juin dans l’hémisphère sud ; déterminaient sur l’horizon, selon une technique de repérage, l’endroit précis sur l’horizon où se levait le soleil le matin, c’est à dire à la fin de la nuit… Sans doute leur semblait-il plus logique, plus « symbolique » pourrait-on dire, de fêter le solstice d’hiver, en rapport avec la renaissance de la vie, au moment où le soleil se lève plutôt qu’au moment où il se couche…

     

    Cela dit, peut-être que, dans l’hémisphère sud, notamment chez les Incas des plateaux andins, l’on célébrait le solstice d’été (et non pas d’hiver) le même jour 21 décembre…

    Ce que les anciens avaient sans doute aussi observé en ces temps lointains de l’Histoire, dont en particulier les paysans du Moyen Age et d’avant le Moyen Age européen (et encore de nos jours) - c’est que le jour où le soleil se lève le plus tard, n’est pas en même temps le jour où le soleil se couche le plus tôt… Dans l’hémisphère Nord (et c’est le meme phénomène inversé dans l’hémisphère sud)…

     

    Ainsi les paysans du Moyen Age Européen, avaient-ils observé que le jour où le soleil se couche le plus tôt dans l’année, est le 13 décembre ( « à la sainte Lucie » comme ils disent et comme on dit encore)… Et, que le jour où le soleil se lève le plus tard, dans l’année, est le 25 décembre…

     

    Il y aurait en sorte – selon que l’on prenne pour point de repère l’endroit précis où le soleil se lève ou se couche- deux solstices d’hiver… Mais en réalité, astronomiquement et scientifiquement parlant, un seul, établi lui le 21 décembre ( jour qui en quelque sorte « fait la moyenne » et est en durée réelle effectivement le jour le plus court)…

     

    Cependant la question du choix du jour de célébration du solstice d’hiver, pour tous les peuples anciens que ce soit en Amérique ou en Europe, se porte sur le jour (le matin) où le soleil se lève le plus tard… ( Mais en réalité si l’on observe bien, jusqu’au 5 janvier (entre le 25 décembre et le 5 janvier – 10 jours durant) le soleil se lève exactement à la même heure minute (ça commence à redescendre à partir du 6 janvier)…

     

    Le Christiannisme est arrivé en Europe – d’une manière assez largement généralisée – durant le 4 ème siècle, alors que dominaient encore les anciens cultes, croyances, célébrations , de telle sorte que le Christianisme a « repris » en partie (entraîné dans son courant) quelques unes de ces anciennes célébrations et pratiques – dont en particulier la célébration du solstice d’hiver, et d’où la fête de la Nativité – naissance de Jésus – le 25 décembre…

     

    L’on pourrait aussi « mettre en parallèle » la célébration du solstice d’été au jour de la Saint Jean le 24 juin (les feux de la Saint Jean) jour où le soleil se couche le plus tard dans l’année – et ne recommence dans le sens redescendant- à se coucher, qu’à partir du 5 juillet…

    En juin, le jour où le soleil se lève le plus tôt dans l’année, c’est le 10 juin… Le 21 « faisant la moyenne » et correspondant ainsi au jour le plus long en durée…

    Phénomène totalement et symétriquement inversé dans l’hémisphère sud : à Dunedin en Nouvelle Zélande c’est le 10 juin le jour où le soleil se couche le plus tôt, et le 24 juin où il se lève le plus tard…

     

     

  • L'insoutenable immensité de l'Être

    L’immensité, l’immense immensité de l’Être, fait de l’Être un Être invisible… Car il y a tant en cet Être, tant et tant de ce qu’exprime cet Être qui emplit tant d’espace sur le papier, sur internet et au comptoir du bistrot du coin ou encore dans les sorties promenades avec ses amis, dans les repas familiaux… Mais aussi dans ce qui n’est jamais dit ou écrit…

    Que l’une ou l’autre « goutte de dit ou d’écrit » qui date d’un peu plus que d’hier, que la moindre goutte de dit ou d’écrit presque dit mais pas dit, prise et emportée, la goutte, dans l’immensité des flots de surface et de profondeur, se fond dans la masse ; et qui bien que mémorisée enregistrée conservée algorithmée datacentérisée, ne peut jamais – jamais /jamais être retrouvée…

    Et cela quelle que soit la densité, le contenu, la portée, le magnétisme ou le rayonnement – si l’on veut appelons cela comme ça – de cette « goutte de dit ou d’écrit » prise dans l’immensité de la masse de toutes les « gouttes de dit ou d’écrit » du même et seul Être parmi des milliards d’autres Êtres…

    C’est… Dis-je… Cela… « Aussi vertigineux que désespérant », c’est ce qui fait le « fond du tableau » de ta solitude…

    Savoir ( c’est ça la réalité) que la « goutte de dit ou d’écrit » d’aujourd’hui, de l’heure, de la minute même… Dès demain, et à plus forte raison dans une semaine, dans un mois, dans un an… Aura été emportée, noyée, se sera fondue dans l’immensité et donc, ne sera plus visible aussi datacentérisée qu’elle est destinée à être… C’est ça qui fait « l’insoutenable immensité de l’Être » que l’on est, chacun de nous…

    Peut-être, oui peut-être… C’est autant illusoire que « relativement rassurant ou confortable et que dans une certaine mesure ça nous sauve vu l’espérance qui nous soutient »… le visage, le regard, ce que l’on projette de soi dans le « paysage environnant de tous les visages humains aux alentours » sont-ils, visage et regard, comme une sorte de « livre ouvert » où tout, archi tout, dans les moindres détails mais fondu en une seule et unique immense trace, peut être « lu, découvert, décrypté » … Et donc « atteindre »…

     

     

  • Agression de Jordan Bardella, crèches dans les mairies

    L’agression à Moissac – Tarn et Garonne – de Jordan Bardella venu présenter son livre « Ce que veulent les Français » (Editions Fayard), est assurément à mon sens un « acte contreproductif » - avant même toute considération ou jugement ou appréciation ou désapprobation de cet acte lui-même…

    Contreproductif, et donc de « mauvaise stratégie » de la part de celui qui a agressé Jordan Bardella, sans doute cet agresseur appartenant à un groupe ou parti d’extrême gauche ; parce que, de toute évidence, cet acte ne peut que renforcer l’adhésion au RN (et à Jordan Bardella lui-même) de davantage encore de personnes en France, sur son nom et sur son parti lors des prochaines élections présidentielles…

    Et, pire encore, cet acte ne pourra, après l’élection présidentielle et l’arrivée au pouvoir du RN, que renforcer en la justifiant, une limite, une censure, une surveillance de la libre expression publique, une autorité encore accrue donnée à la police, plus de coercition, d’encadrement de la société, de sévérité de la justice à l’égard des contrevenants à l’ordre établi…

    Pour rappel : la tentative d’assassinat de Donald Trump environ 1 an avant l’élection de ce dernier, qui lui a bénéficié…

    Pour toutes les raisons que j’ai maintes fois évoquées précédemment dans mes « notes », je suis effrayé de cette « montée en puissance » du RN et de cette « adulation » de la personne de Jordan Bardella (Vladimir Poutine ne peut que se « frotter les mains » à la perspective d’une France « très à droite » avec retour à l’autoritarisme – et moins de liberté)…

    Cet acte d’agression sur la personne de Jordan Bardella à Moissac, est donc « une très mauvaise nouvelle »…

     

    D’autre part - « autre sujet » - la destruction ou le vandalisme perpétré contre une crèche de Noël dans un marché à Amiens, dernièrement, est un acte que je n’aurais pas commis moi-même mais que je ne condamne pas pour autant, qui ne me « dérange donc pas spécialement »… Mais qui, après réflexion, est aussi « dans une certaine mesure » un « acte contreproductif » qui, indirectement, « profite » à un RN « manifestement favorable à la religion catholique liée à la tradition chrétienne de la France »… (Le RN est contre le voile islamique dans l’espace public – moi aussi – mais le RN accepte les crèches de Noël dans les mairies et sur les marchés en décembre… « bonjour la laïcité de la part du RN »)…

     

    C’est – en tant qu’athée ou plus exactement anti religion que je suis – ce qui me gêne dans la société Française : ce lien, ce rapprochement, cette confusion, cet amalgame qu’il y a très manifestement entre le religieux, la croyance, la foi, d’une part… Et la tradition chrétienne s’invitant dans des manifestations publiques d’autre part, de la société Française (qui « a bon dos » et fait ménage normalisé consensualisé avec « se marier et s’enterrer à l’église, faire sa 1ère communion les gosses – précédé du cathéchisme, fêter Pâques, l’Avent, Noël, l’ascension, la vierge Marie) … Tout cela soit dit en passant «énorme et lucrative affaire commerciale »)…

    Bon c’est vrai : si l’Islam au train où il va, d’ici 2,3, 4 générations, s’implante en lieu et place du Christiannisme, « ça sera pire » !

     

    D’un côté « on croit moins, on pratique moins, y’a moins de curés, on va plus en confession raconter ses péchés de la semaine »… Mais d’un autre côté « tout le monde se marie et s’enterre à l’église, baptise ses bébés, fête Pâques et Noël - les crèches suscitent de l’émerveillement- (et si tu fais rien de tout ça en particulier te marier seulement civilement, pas envoyer tes gosses au cathéchisme ni à la communion, et pas baptiser ton bébé ; les gens se posent des questions sur ton compte, tu passes pour un « qui marche à côté des clous »… (C’est pas que ce soit mal vu, mais ça te met quand même un peu à l’écart des autres)…

     

    Le « virage » qu’est en train de prendre le monde du 21ème siècle me désole, m’isole, me rend quasi totalement invisible ; j’ai beau enfoncer le clou avec un énorme marteau, ça entre pas d’un quart de millimètre, c’est comme une aiguille dans une immense meule de foin aux trois quarts pourri, fermenté d’hypocrisies, de fragrances d’une ranceur insupportable, de substances nauséabondes dans un « paysage » entièrement formaté par de la technologie prédatrice et des galeries marchandes à perte de vue à t’en donner le tournis, le dégoût… Les bus qui roulent au pèt de vache, les avions archi plein et comme des mouches blanches qui chient de l’écume sur tout le ciel, les fake-news , les followers, le rapp qui vitriole, les avatars, les pèrenohaux et les nounours de GIFI, les Jardiland et les Bricorama, les Darty et les Dubis – tu piss, Tonton Leclerc, les crèches dans les mairies, le mètre carré constructible hors de prix, les klaxomerdages des automobilistes rageurs… L’énorme courge toute en couille généralisée, des potirons gros comme des vaches à foison dans le jardin potager du couple de retraités lambda, des joujoux à gogo jusque pour les petits bébés…

    Je vais mourir dans ce monde là…

     

    Mais merci à la France qui va encore bien… Et qui existe… Merci aux généreux, merci à ceux et à celles qui te regardent dans les yeux et parfois même te prennent par la main, merci aux vrais amis qui restent des amis même si par moments, tu déambules de traviole avec un air pas trop catholique et en faisant de ci de là quelques bras d’honneur !