compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal - Page 9

  • Liberté et combat

    Aux États Unis d’Amérique de Donald Trump (ce type, n’étant pas loin s’en faut un « cadeau » pour la planète) l’on peut manifester dans la rue, l’on peut écrire et publier un livre contre la politique et contre l’ordre en place (et à ce titre risquer d’être victime de violences qui ne sont pas des violences policières mais des violences faites par des opposants à ce que l’on exprime) … Mais on ne va pas en prison pour ses idées, comme dans la Russie de Vladimir Poutine, comme en Chine de Xi Jinping, comme en Corée du Nord de Kim Jong Un, comme en Turquie de Recep Erdogan, comme en Iran des Mollahs…

    Et il en est de même en Israël même sous Benyamin Netanyaou au vu des nombreux manifestants qui critiquent la politique de ce dernier, et idem dans les pays de L’Union Européenne ainsi qu’au Royaume Uni de Grande Bretagne… (même « gangrénés les pays de l’UE, par des partis d’extrême droite)…

    C’est la raison pour laquelle, quels que soient des régimes y compris ceux avec lesquels je suis en désaccord, aux USA, en UE, en Israël et dans tout le monde occidental ; je serai toujours du côté où l’on ne va pas en prison pour ses idées, du côté où l’on ne censure pas un site, un blog, un forum, une page Facebook jusqu’à la suppression pure et simple…

    Lorsque l’on n’est pas d’accord avec une idée, une opinion, exprimée par quelqu’un ou par un certain nombre de personnes, on la combat par la parole, par des actions menées autrement que par la violence pure et encore moins armée, par l’art, par le dessin, par la caricature, par la littérature, par la musique… De manière à la rendre minoritaire à défaut de l’éradiquer…

    Quoique éradiquer le Poutinisme, l’Islamisme, l’antisémitisme, la voyoucratie, la mafiacratie, les multi milliardaires et tous les obscurantismes… « Cela me conviendrait »…

     

  • Les goulags

    Il n’y a jamais eu de goulags de salauds…

    Tous les goulags ont été ceux que les tyrans ont mis en place en des lieux reculés de leurs empires, de leurs royaumes, de leurs états ; et en lesquels ils ont enfermé, torturé, brisé, assassiné les indésirables, les contestataires de leur ordre…

    Ainsi y-a-t-il eu les goulags des nazis hitlériens de 1933 à 1945, les goulags de Staline en Russie, précédés des goulags des Tsars en Sibérie ; les goulags de Mao Tsé Tung le maître de la « Révolution Culturelle », et au 21ème siècle les goulags de Xi Jinping, les goulags des Mollahs d’Iran, les goulags d’Erdogan en Turquie, les goulags de Bachar Al Hassad en Syrie, les goulags de Corée du Nord, les goulags de Vladimir Poutine…

    Et même aux États Unis d’Amérique le goulag de Guantanamo…

     

    Il n’y a jamais eu de goulags de salauds mais cela ne veut pas dire que l’on n’ait jamais essayé d’en mettre en place, des goulags de salauds – de « vrais/vrais salauds »…

    On a essayé, oui…

    Mais quand on les a faits ces goulags de salauds – de « vrais/vrais salauds » - on y a mis « par erreur » - erreur souvent « délibérée »- des « pas salauds du tout » qu’on a confondus, mélangés avec les « vrais/vrais salauds »…

     

    Les grands humanistes, les grands penseurs et esprits éclairés, avec leurs organisations, leurs adhérents, par les combats qu’ils ont mené et qu’ils mènent encore pour « un monde plus juste et meilleur », un « monde de paix, d’amour, de tolérance »… Ne veulent plus qu’il y en ait, des goulags, nulle part sur la Terre des Hommes…

    Ils se sont fait « anges »… Mais les anges sans potences, sans fusil, sans gardes en armes, sans geôliers… Sont les délivreurs de passeport aux candidats tyrans qui ont déjà derrière eux et les suivant, leurs hordes à leur dévotion…

     

    Les goulags de salauds qu’on a essayé de mettre en place, dont l’Histoire se souvient – je pense à la Terreur de 1793-1794 – de la France de la 1ère République et de la Convention, ont eu au moins pour résultat « qu’un certain nombre de vrais/vrais salauds » ont été « raccourcis » (éliminés)… ( C’est la raison pour laquelle « de cœur et d’esprit » je déplore la Terreur mais que « de raison et de réflexion » je ne la condamne pas)…

     

    Tout le problème est là pour l’avenir du monde, de la civilisation humaine : que puissent exister des goulags de salauds – de « vrais/vrais salauds » dans lesquels on ne mette pas par erreur – erreur délibérée – des « pas salauds du tout » confondus ou assimilés aux vrais salauds…

    Il faut que les « anges » se résolvent à ne pas remiser leurs fusils et se fassent délivreurs attentionnés et circonspects de passeports…

     

    Y’en a qui disent « les vrais/vrais salauds totaux » ça n’existe pas : un salaud aussi salaud soit-il est un être humain, pas un extraterrestre, pas un alien venu de l’Espace…

    Soit… Ils ont peut-être « en partie raison »…

    Mais… Qu’il y-t-il de « bon », de « purement humain dans le plein sens de ce qu’est un humain »… En un Vladimir Poutine, en un Bachar Al Hassad, en un islamiste jihadiste, en un pédophile violeur assassin ? En un policier lourdement armé et protégé hyper convaincu du régime de dictature qu’il soutient ? Vous avez déjà vu en Russie Poutinienne un policier se faire assassiner, ou tabasser comme cela se voit en France ?

     

     

     

  • Les lunettes de soleil

    Lunettes soleil.jpeg

    Les lunettes de soleil en public c’est un voile sur le regard…

    Oui afin de se protéger d’un vif ensoleillement sur la plage, en promenade dans un lieu découvert en été sous un soleil éclatant, assis sur un banc devant chez soi au soleil un livre à la main… Mais en public dans la rue non…

    Le pire c’est de porter des lunettes de soleil alors qu’il n’y a pas de soleil ! Et… Moins pire mais à mon sens désolant de banalité et de conformisme et d’habitude : les lunettes de soleil dans les cheveux ! (plus le cas pour les femmes que pour les hommes)… Ou « en sautoir sur le poitrail », ouvertes attachées avec une cordelette lacet – ou encore glissées fermées dans l’encolure du pull, du maillot… Et aussi, bras ouverts sur la table du café, du restau, à côté de l’assiette…

     

  • Le réel, l'imaginaire

    La poésie du réel d’une part, et la poésie de l’imaginaire d’autre part… Sont-elles conciliables, compatibles ?

    Dans une œuvre littéraire diversifiée peuvent-elles coexister, être celles d’un même auteur ?

    Oui si l’imaginaire – qui n’est pas le réel – demeure crédible…

    Toutefois il n’y a pas de poésie de l’effet produit, parce que de toute une évidence qui n’est pas perçue comme telle, l’effet produit est soutenu, obtenu par la technologie – du numérique, de l’intelligence artificielle et de leurs outils mis à la disposition de chacun connecté à internet… Ou bien est le résultat de l’impact que peut avoir une « formulation de langage »

    Quelle poésie dans la production d’une image, d’une photo, d’une vidéo, fabriquée par « Photo-shop » ou autre application logicielle de traitement de l’image ?

    Quelle poésie dans une « formulation de langage » qui rejoint, quelle que soit son « originalité » un courant d’opinion générale ?

    L’écrit, l’image, aujourd’hui, ne sont plus reconnus pour leur authenticité, pour ce qu’ils ont de naturel, d’exempt de tout artifice, de tout effet du paraître (de l’imposture du paraître)…

    Dans leur inachèvement, dans leurs imperfections, dans leur forme qui n’est pas définitive, dans ce qu’il peut y avoir de malhabile dans les contours, dans les tracés… Mais avec leur devenir en formation, en évolution, et qui est perceptible ; l’écrit et l’image – qui ne font pas ou plus recette du fait de leur inachèvement et de leurs imperfections l’écrit et l’image du réel ou de l’imaginaire (de l’imaginaire « crédible ») sont oui, « œuvre poétique » (non contrefaite)…

     

  • Salon de l'Habitat et du Bois 2025 à Epinal

    Le salon de l’Habitat et du Bois se tient du 18 au 22 septembre 2025 au parc des expositions d’Epinal…

    En ce dimanche gris et pluvieux du 21 septembre il est à parier que le nombre de visiteurs sera plus important que par beau temps ensoleillé vendredi 19 (où il y avait ce jour là beaucoup de monde sur la route des Crêtes du côté du Honeck)…

     

    À mon sens, les personnes les plus intéréssées et les plus motivées pour un salon de l’Habitat sont – en priorité- les trente et quarantenaires avec enfants ayant soit un projet immobilier, soit désirant aménager l’intérieur de leur maison… Mais également les « 70/80 ans » qui ont de grands petits enfants en passe d’acquérir une maison ou envisageant de rénover, d’entretenir, d’équiper leur habitation…

     

    Mais quel intérêt pour des personnes d’autour de 80 ans qui n’ont pas un petit-fils ou une petite fille – marié(e) et avec enfants, et de surcroît peu soucieux de la valorisation de leur patrimoine immobilier ?

    Quel intérêt – de la valorisation et de l’entretien d’un patrimoine immobilier – pour ces mêmes personnes d’autour de 80 ans qui sont en désaccord avec leurs enfants ou dont les enfants ne voient plus leurs parents ?

    Qu’est-ce d’ailleurs (que vaut) la « valorisation d’un patrimoine immobilier » lorsque la descendance directe est absente, et que le fils ou la fille n’a pas de descendance ?

     

    « En principe » les « grands enfants » - âgés de 50/60 ans – eux, ont, beaucoup d’entre eux, leur maison arrangée, valorisée, entretenue, bien équipée…

     

    La « grande idée » dans les salons de l’Habitat des années présentes, c’est l’adaptation des matériaux (nouveaux) et des projets et techniques de construction au changement climatique.

    Très bien.

    Mais que dire des zones habitées et densément peuplées avec moult lotissements de maisons individuelles, inondables et encore plus qu’elles ne le sont, inondables en plus grande étendue et plus souvent ? Et des incendies, et des intempéries et des affaissements de terrain dévastateurs ?

    Et « au pire du pire » si l’on verse dans la peur d’une guerre avec la Russie, un drone de Poutine qui pulvérise la maison ?

     

    Vous me direz – et vous aurez raison - « dans ce cas on fait plus rien , on fait des habitations en algéco, on laisse passer les doigts de la main dans les fissures, on fait pas un beau jardin d’agrément, on ne met pas une belle niche pour le toutou, on se meuble chez Ikéa de tic et de toc… Et on se rend au salon de l’habitat comme on se rend au ciné ou à la plage ou dans une fête d’été – ou au mieux en tant qu’observateur curieux et désirant s’informer de l’évolution des technologies liées à l’habitat, aux matériaux de construction et aux équipements, ameublements…

     

    35 000 visiteurs tout de même pour ce salon de l’Habitat et du Bois 2025 à Epinal…