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Paroles et Visages - Page 129

  • "Dring dring dring"...

    Entre autres bruits désagréables à entendre, celui de la sonnerie persistante d’un téléphone est « particulièrement agressif »…

    D’autant plus que ces « coup de fils intempestifs » sont assénés très souvent, au moment où l’on se trouve à table, en des heures indues… Ou « comme par hasard » à des moments où l’on est très occupé en une activité exigeant de l’attention et de la concentration… Ou encore, assis sur la cuvette des WC, froc aux chevilles – sinon même en train de se « torcher le derrière » (excusez la vulgarité du propos)…

    Si le fait de « tout abandonner instantanément lorsque retentit un appel téléphonique, quoique l’on soit en train de faire » « serait un acte altruiste » alors je ne suis pas, « à proprement parler » un « grand altruiste » ! … C’est la raison pour laquelle je privilégie, dans la communication à distance, l’ « e-mail » ou le message écrit à partir d’un smartphone (puisque presque tout le monde actuellement dispose d’un i-phone ou d’un smartphone et a donc un numéro de « portable »)…

    Ainsi, le courriel expédié ou le message envoyé, est vu et lu « au moment choisi par le destinataire » donc pas forcément instantanément…

    Soit dit en passant, les personnes qui, depuis un téléphone fixe, appellent sur un portable, connaissent en conséquence le numéro de portable de leur correspondant … Alors qu’est-ce qui les empêche, plutôt que d’appeler depuis un fixe, d’appeler directement sur le portable de leur correspondant, depuis leur portable?… (et en cas de non réponse immédiate, de laisser un message)…

    À noter qu’un message audio laissé sur un portable, en général (selon la qualité du smartphone ou de l’i-phone) est « à peine audible » et, si raté à entendre, ne peut plus être réécouté)…

     

     

  • Des "Jenfoutre" qui "font la pluie et le beau temps"

    Avec le nouveau Bing, moteur de recherche dopé à l’Intelligence Artificielle, il est désormais possible « par la grâce » de cet « interlocuteur miracle », aidé dans la rédaction d’un texte et même d’un roman ou d’un essai, de produire une « œuvre » de très haute qualité, « originale » et « novatrice »…

     

    Nos hommes et femmes politiques, siégeant au Palais Bourbon, dont bon nombre d’entre eux sont à l’origine de lois qu’ils ont proposées et qui ont été discutées dans l’hémicycle et ensuite validées par les sénateurs et enfin par le Conseil Constitutionnel… Devront prévoir, du moins l’un d’entre eux, une Loi stipulant, pour un livre d’auteur, édité et publié, que ce livre fasse l’objet de la mention suivante en bas de la page de couverture : « Produit avec l’aide de l’intelligence artificielle » ou, au contraire « Non produit avec l’aide de l’intelligence artificielle », afin de « barrer la route du succès » à des crétins habituellement incapables de rédiger un texte de 10 lignes sans faute de grammaire et d’orthographe et ayant du sens… Et, plus généralement même, à des « doués naturels » de l’écriture qui, soucieux d’audience, de célébrité et de visibilité, envisagent de « parfaire » leur œuvre avec l’aide de l’intelligence artificielle…

     

    Notons que cette « différenciation » entre les livres d’auteur édités et publiés, peut être justement faite avec l’aide de l’intelligence artifielle qui ainsi, « dénoncerait elle même le subterfuge ».

     

    D’où « l’intelligence artificielle à bon escient », au service d’une « vraie Justice » !

    Mais… Il n’y a pas QUE l’intelligence artificielle et robotique « en cause » dans l’évolution de la société du 21ème siècle… Il y a AUSSI, les puissances médiatiques les ordres d’opinion, le monde du journalisme et des intellectuels « de progès »qui, au nom de la « diversité culturelle » promeuvent des rappeurs, des groupes musicaux, des artistes, de nouveaux écrivains, la plupart d’entre eux « jetteurs de poudre aux yeux, « saltimbanque-fringués » et plébiscités sur les réseaux sociaux… De telle sorte que le « vrai talent » en aucun cas « boosté » par l’intelligence artificielle, n’est pas reconnu… Et est même « botté en touche » voire insulté, hué !

     

    « Il faudrait » - je ne mâche pas les mots » - Un « terrorisme de salut public » avec des « commandos » déterminés, pour abattre tout ce merdier, toute cette crasse pailletée argentée, tous ces « Jenfoutres » qui font la pluie et le beau temps, tous ces crétins empanachés qui, tous, font du monde où l’on vit, un enfer pour les gens de bonne volonté, un « grand han de heurts » !

     

  • Anecdotique ...

    Dans les années 1980, j’ai connu un homme dans une ville du Pas de Calais, qui me disait à propos de coups de téléphone reçus à n’importe quelle heure mais plus précisément à des heures où normalement l’on se trouve à table, à propos également de personnes arrivant chez lui à l’improviste :

    «Quoi que je sois en train de faire, du bricolage urgent dans ma maison, du jardinage, me préparer à partir en courses, en train de prendre mon petit déjeûner ou mon repas du midi ou du soir, même si je suis très occupé et de surcroît pressé… Je privilégie, toujours en priorité immédaite, l’accueil d’une personne qui me rend visite à l’improviste, et dès que le téléphone sonne, je décroche aussitôt pour répondre, je considère que c’est l’accueil qui est plus important que ce que l’on est en train de faire ; lorsque quelqu’un arrive ou que le téléphone sonne, j’abandonne immédiatement ce que je suis en train de faire »…

    Je dois avouer qu’en ce qui me concerne, notamment à propos de « coups de fil intempestifs » à des moments particulièrement inopportuns, et assez souvent je dois le dire, lorsque vient une personne à l’improviste chez moi, je suis quasiment à l’opposé, question réaction (décrocher le téléphone, accueillir), de cet homme que j’ai connu dans les années 1980 dans une ville du Pas de Calais…

    Donc, hors de question de répondre quand sa sonne, « cul vissé et le bec dans la gamelle » à des heures « indues » (au moment de se mettre à table), et je « rechigne » à abandonner ce que je suis en train de faire, lors de la venue de quelqu’un à l’improviste…

    « Mérit’je » en conséquence d’être taxé d’individualiste ou de « parfait égoïste » ?

    « Ça devait être un grand altruiste, ce mec du Pas de Calais » !

     

  • "Cent balles dans le Dada"

    Hommes sans voix.jpg

    Tant que le Marché aux mains des dominants qui sont tous multimilliardaires et possédent à seuls 90 % des richesses et des ressources de la Terre, sera peuplé d’acheteurs, et que les acheteurs pour bon nombre d’entre eux, verront accrues, dans un système économique de marché, des facilités de financement mises en place par les dominants…

    Tant que près de la moitié de huit milliards d’humains, mettra « cent balles dans le Dada » et que le « Dada » branlotera, faisant ainsi illusion, sans même la pièce insérée…

    Tant qu’il y aura de ceux et de celles qui dialoguent avec les puissants, persuadés qu’ils sont, ces puissants, créateurs d’emplois et de bien – être relatif pour le plus grand nombre…

    Les hommes et les femmes sans voix, qui ne peuvent acheter – ou si peu - tant ils vivent dans la précarité, n’auront pas pour les défendre ou pour les représenter, assez de porte-paroles qui eux, dérangent, bousculent, sensibilisent les clientèles du Marché, et qui à force de «faire sonner les cloches » parviennent à empêcher de dormir les puissants…

     

     

  • Je déteste ...

    Je déteste les capuches, les cheveux verts, bleus ou violets ou rouges ; les bonnets de rappeurs, les casquettes NEW YORK ou présentant des logos pétants, les énormes inscriptions genre « suis ceci suis cela » sur tee-shirt ; les lunettes de soleil dans les cheveux, les piercings et toutes les quincailleries possibles et imaginables qu'on se fout aux oreilles, au nez, au cou, au poignet, à la cheville...

    Je déteste les fringues extravagantes, les filles et femmes en futal moulant ou en jeans troués exprès ; les chapeaux genre sombrero plus gros que des soucoupes volantes, les tortillages de cul en discothèque ou au bal du samedi soir ou de la fête du village ; les "rassis" avec petite sacoche en cuir de vache en bandoulière, les séances de dédicaces d'auteurs en vogue, la messe, les coloriages sur cahier de motifs, les thrillers américains, l'abaya et le voile ; les best-sellers de la saison des grands auteurs célèbres, les premier roman qui font le buzz ; la scène du petit écrin contenant la belle bague que le beau mec offre à la femme qu'il drague au cours d'un dîner aux chandelles ; les fautes d'orthographe et de grammaire (en dépit de mes néologismes et de mes formules langagières et de parfois, une grammaire que j'invente) ; la gastronomie sauçarde, les escargots et les cuisses de grenouille (mais je boufferais bien des fricassées d'insectes) ; je ne sais pas faire la différence entre un pinard à 8 euro et un autre pinard à 20 euro ; je ne veux pas être enterré à l'église, je veux aller au paradis des minous, des toutous et des humains pelés ; je veux squatter sans limite les murs du Web...

    Et merde à la bien pensance consensuelle qui schmucte la crevette sexe sale, et pour finir (enfin pour "clore sans clore") je rabats toujours la cuvette des WC où que je pose mon postérieur chez moi, chez quelqu'un ou dans des chiottes publiques - soit dit en passant j’ai une préférence pour les WC à la turque…