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Paroles et Visages - Page 29

  • Dix millions de toutous...

    Dans notre pays, la France ; c’est dire qu’un Français sur deux, outre un chat, un oiseau, un lapin ou même parfois un boa… A un chien, petit, moyen ou gros (souvent gros il faut dire – et pas forcément des plus cléments)…

    En ville, à la campagne… C’est dire les « tonnes de merde » produites dont une partie sur les trottoirs, dans des allées de parcs et jardins publics, de forêts où l’on se promène en famille…

    Je pense (j’ironise) à ces fétichistes de chaussures de femme à hauts talons, qui se régalent, la chaussure entre les cuisses… Cette chaussure qui a peut-être été salie sous la semelle par une merde de toutou… Horreur ! (Bon c’est vrai, il y a aussi les « renifleurs » - de pain trempé dans le pipi des WC publics hommes)…

    Chez toi, dans ton jardin – qui souvent n’est pas bien grand – ton gros toutou, il bonze ! « C’est la nature » que tu dis ! … Mais la nature, elle s’invite en colombins sur les trottoirs, sur les chemins de promenade et… Si l’on ramasse – en « bon citoyen que l’on est (si on l’est) - « c’est pas toujours compact comme une pomme de terre ! » (rire)…

    Et, quand il n’est pas malade en bagnole, le toutou…

    Et, sur les aires d’autoroute…

    Et des féroces, des « je-monte-la-garde », des « qui aboyent fort et furieux au passage du vélo à sale tête dans le lotissement » ; des fois c’est écrit sur le portail «  il me faut 20 secondes pour arriver »…

    Au Bangladesh y’en a pas autant qu’en France, des toutous !

    Et en Chine, y’a des élevages de chiens « de consommation » comme il y a des élevages de porcs en Bretagne !

     

     

  • Los Angelès en flammes

    En possibilité d’acquisition de bien immobilier – terrain et villa ou grande et belle demeure – d’un montant supérieur à un million d’euros sans crédit et donc avec l’apport nécessaire pour le financement – la clientèle augmente en proportion d’une « non clientèle » qui elle, augmente aussi ; de telle sorte que si oui d’un côté les pauvres sont plus nombreux, les riches le sont aussi, de plus en plus nombreux…

     

    En conséquence les lieux recherchés pour un habitat de rêve souhaité, tels par exemple en Provence côte d’Azur, côte Basque en France ; et Californie aux USA… Sont les lieux où s’étendent aussi loin que possible et en grande étendue, les propriétés, les demeures somptueuses…

     

    Seulement voilà, toutes ces propriétés ne peuvent s’acquérir que moyennant un financement de plus en plus important vu la demande…

    Et sont situées proches de forêts – de résineux – et dans des paysages de végétation de type méditérranéen, là où les incendies se développent, amplifiés par les sécheresses et la chaleur en été, du fait du changement climatique. Et souvent à flanc de montagnes, en hauteur, nécessitant des aménagements très coûteux pour mise en valeur de sols en partie pierreux et irréguliers en relief.

     

    Il est donc difficile pour l’un ou l’autre de ces nouveaux « ultra riches » d’acquérir un terrain assez vaste, c’est la raison pour laquelle les terrains constructibles en ces lieux « s’arrachent à prix d’or » convoités comme ils le sont, et forcément, une fois acquis, de superficie réduite au milieu d’autres propriétés luxueuses contiguës…

    Ce n’est donc pas le risque accru de destruction par incendie, qui va beaucoup influer sur le prix du mètre carré bâti ou à bâtir…

     

    Ainsi Los Angelès en feu, des centaines de villas et de belles demeures réduites en cendres et en gravats calcinés… Et, une fois passés les buldozzers, resurgiront les villas, seront revitalisées les pelouses et reviendront au début de l’été les floraisons de flamboyants… Tout cela à un prix au mètre carré bâti ou bâtissable, encore plus haut qu’avant !

     

    En dépit des risques climatiques devenus une réalité avec les gigantesques incendies, les inondations, les tornades, tempêtes, cyclones et ouragans survenus partout dans le monde ces dernières années, et qui ont un impact certain sur des biens immobiliers (dégâts importants ou destruction)… La majorité encore, des propriétaires d’habitation, se soucie de valoriser, d’entretenir, d’agrandir, d’embellir leur maison ; et de surcroît ont, même « relativement âgés » des projets immobiliers… Ce que, tout à fait personnellement, je ne partage pas du tout… Mais que je comprends, de la part de personnes de 25 à 35 ans, vivant en couple ou mariés et ayant des enfants, car en début de vie active, le souci du logement s’impose (louer, acheter, agrandir, améliorer)… Alors que passé 70 ans, reste ce souci de la transmission de son patrimoine, dont on peut douter de la pertinence et de la nécessité lorsqu’il n’y a pas d’héritiers directs, ou que l’on est en conflit avec l’un ou l’autre de ses descendants directs… Car dans ce cas, à quoi bon valoriser, agrandir, embellir, entreprendre de coûteux travaux de rénovation (et avec en plus, le risque lié aux intempéries, aux incendies et inondations) ?

     

    Notre monde actuel et mode de vie me fait penser à une « danse sur le Titanic » où, du Pont des Premières Classes comme dans les entreponts des seconde et troisième, le bal des princes sur le Pont des Premières bat son plein dans toute sa splendeur et dans ses affèteries les plus extravangantes, de joyaux et de costumes  et, dans les entreponts des seconde et troisième, c’est la danse des canards et la lambada du temps de Mitterrand et de Chirac, du clampin lamda, relookée, cette danse, en version 21ème siècle musique tam/tam battement de cœur de pieuvre…

     

    Et, bien que le Titanic soit en perdition, que l’on soit conscient ou non du risque de naufrage, le coût de la danse s’accroit, les préoccupations des uns et des autres demeurent les mêmes, dont en particulier la valorisation de son patrimoine pour peu que l’on en ait un, de patrimoine si modeste soit-il…

     

     

     

  • "Bourricot-à-versaire"

    Au premier de l’An en 2025, ce n’était point écrit sur quelque « stèle funéraire » (ou urne « en marbre de Carrare » : « Guy Sembic 1948-2024 »…

    En « toute dérision » et « iconoclasterie autant de ma personne que de mes œuvres » (rire)… Je me souhaite un « relatif » « bon bourricot-à-versaire »… Et de ne pas voir écrit, au prochain premier de l’An donc en 2026 : « Guy Sembic 1948-2025 »… (rerire)…

     

    « Si Dieu me prête vie », le 9 janvier 2048, « il me siérait fort » (j’en bande déjà de l’âme) – sous réserve que mon visage ne soit pas « trop ravagé » et que je puisse encore monter sur un vélo (un vélo « col de cygne » de préférence, parce que « lever la patte au dessus de la selle à 30 ans pas de problème mais à partir de 70 c’est « casse gueule »)…

    « Il me siérait fort » dis-je… De fêter mon centenaire en terrasse d’un bistrot parisien devant un ricard « bien tassé » (ou mieux encore d’un Spritz tout aussi bien tassé), en compagnie de « quelques amis fidèles de longue date » (même s’il en serait parmi eux, 2 ou 3 par ci par là qui « auraient bien failli me lâcher pour un pèt un peu trop de traviole – et de fragrance douteuse)…

     

    Et… Allez, je peux bien le dire… Mieux, beaucoup mieux à mon sens que le traditionnel et plantureux – et bien goûteux- gâteau d’anniversaire – assez gros pour supporter cent bougies… « Une nuée de journalistes littéraires caméra micro au poing »… (rire)…

    J’aurais alors cette répartie, à la question de l’un d’entre eux, au sujet d’une « possible postérité longue comme une éternité provisoire » : « oh vous savez, la reconnaissance implique un peu trop de concessions et de compromissions à l’Ordre du Monde, entre autre celle qui vous érige en chef de file d’une nouvelle tendance, et un Ordre reste un Ordre »…

     

    En attendant – un quart de siècle encore à traverser jusqu’au 9 janvier 2048… Juste une petite info :

    Je ne suis pas gâteau, d’ailleurs je n’aime pas en langue Française le mot gâteau – ça me fait penser à gâteux (et à la part de gâteau entamée dont la crème coule dans l’assiette, au dessert, à la maison de retraite)…

    En revanche, n’étant point gâteau – ni chocolats ni confiseries - je suis poule au pot, pot-au-feu, petit cochon à la broche, poulet-à-la-Mamy…

     

     

     

  • Un nouveau colonialisme

    Une nouvelle forme de « colonialisme » ou de domination, s’impose depuis déjà une vingtaine d’années dans le monde, et qui à partir des années vingt du siècle présent, s’accentue, prend de l’ampleur, se renforce, de plus en plus conquérant et envahissant et qu’il « montre ses longues dents », ce nouveau colonialisme…

    Et ce colonialisme là se révèle tout autant sinon plus féroce que celui des impérialismes des 18ème, 19ème et 20ème siècles, européens ceux là (avec notamment les empires Britanniques, Français, Allemands, Portugais, Néerlandais, ayant englobé tout le continent Africain, une bonne partie de l’Asie, et l’indonésie, les îles du Pacifique)…

     

    Ce nouveau colonialisme – ou impérialisme – c’est celui désormais de la Chine, de la Russie de Poutine, de l’Iran, des « pays émergeants » à économie en croissance, de la Turquie d’Erdogan, du Qatar via les Islamistes… Tous « nouveaux acteurs » sur la scène du monde, n’ayant pas les mêmes « valeurs » (si l’on peut dire) ni surtout les mêmes pudeurs, que les pays de l’Union Européenne et plus généralement d’un Occident chrétien et démocratique…

     

    L’Europe est rongée par la repentance de ce qu’elle fut du temps des colonies où les Anglais, les Français, les Portugais, les Néerlandais exploitaient les populations en Afrique et en Asie ; elle est aussi rongée de l’intérieur par tout ce qui la divise…

    Reste encore, cependant, cette toujours grande puissance que sont les États Unis d’Amérique (avec à présent Donald Trump – mauvaise nouvelle pour la démocratie)…

     

    Il semble – c’est une tendance qui s’accélère et se répand partout dans le monde – que les peuples dans leur grande majorité, que ce soit collectivement ou pour chacun d’entre nous, ne prennent nullement en compte voire ignorent la montée de ce nouvel impérialisme ayant pour chefs de file d’une part Vladimir Poutine et d’autre part Donald Trump, et dans une « non négligeable mesure » l’Islamisme radical… Surtout il faut le dire dans les sociétés et pays occidentaux- qui en leur sein « couvent » un certain nombre de traîtres, de vendus et de fossoyeurs- ( dans les autres pays « tiers » et à économie émergeante, en Afrique notamment, ce n’est pas tout à fait la même chose puisque dans ces pays autrefois colonisés, il y a comme un désir de « revanche »)…

     

    Et à ce « nouvel impérialisme conquérant et envahissant, destructeur de la démocratie et ennemi des libertés individuelles jugées dérangeantes, ennemi de la liberté d’expression, qui « encadre et formate, et conditionne les populations », s’ajoute l’énorme puissance des « maîtres du monde » que sont Elon Musk, Bill Gates, les Gafam et autres milliardaires et assemblées d’actionnaires, dirigeants et possédants qui tous, pèsent de tout leur poids sur les gouvernements…

     

    En face d’un tel « avis de tempête » - dont le terme pourrait bien être celui de la disparition de la civilisation humaine – la tendance générale est celle d’une « danse sur un Titanic éventré » où l’accès aux salles de jeux est encore possible et où les chambrières et les larbins s’activent autour des passagers consommateurs de victuailles et de jeux… Dans l’inconscience ou le déni du danger…

     

     

  • Jean Marie Le Pen

    Une « Grande figure de l’extrême droite Française » - NOTEZ LES GUILLEMETS – à savoir Jean Marie Le Pen, fondateur en 1972 du Front National (qui succédait alors à l’époque à Ordre Nouveau), né le 20 juin 1928 à La Trinité sur Mer ; vient de « quitter ce monde » à Garches (Hauts de Seine) le mardi 7 janvier 2025 à l’« âge vénérable de 96 ans »…

     

    « Gageons » - appréciez les guillemets - qu’il aura une inhumation… « Par incinération » … Ne serait-ce qu’en « hommage » (hommage si l’on peut dire) à cette réflexion qu’il eût selon laquelle « les fours crématoires, c’est un détail de l’Histoire »…

     

    Cela dit, « tout à fait personnellement » : « il m’a fait souvent rire » et… « ça me faisait drôle de l’entendre parler « à sa façon » la langue Française (dont il usait fort bien, de sa voix à nulle autre pareille et dans une intonation qui portait à sourire – et avec ses formulations personnelles…

     

    J’ai enragé au soir du 21 avril 2002, qu’il fût derrière Jacques Chirac – de peu – ayant battu de justesse Lionel Jospin éliminé du 2ème tour ; enragé, encore, au second tour d’avoir voté pour Jacques Chirac au nom du « Front Républicain »…

     

    96 ans… « Puiss’je » (rire) parvenir à cet âge là « avec toutes mes facultés » notamment celle de pouvoir écrire (et parler) « à ma façon » aussi, la langue Française, langue qu’il m’arrive d’émailler de quelques néologismes aventureux et de formulations hasardeuses discutables ; et d’incorrections grammaticales assumées – selon le contexte… (rire)…

     

    Allez… « Vive l’anarchie »… Mais … « Pas n’importe quelle anarchie » ! Pas, sûr, celle des rappeurs racistes xénophobes insolents anti France anti Blanc… Ni celle de tous ces « pseudo anarchistes » plus ou moins associés à des groupes d’extrême gauche – ou même encore à des extrémistes de droite ultra radicaux !

    « C’est pas pour demain l’anarchie qui n’a rien à voir avec l’anarchie des anarchistes – sauf peut-être l’anarchie version Louise Michel ou version Élysée Reclus… Ou celle encore de « quelques figures atypiques du 20ème siècle de la poésie et de la chanson à texte » …

     

     

    Cela dit, encore, pour l’équipe gouvernementale actuelle dirigée par François Bayrou, et surtout, oui surtout pour Emmanuel Macron président de la République Française « Laïque et démocratique »- « en principe »- la question va se poser, de la manière dont il sera « séant » ou « convenu » de rendre hommage à Jean Marie Le Pen lors de ses obsèques, évoquant « cette Grande figure de l’opposition » (dira-t-on : de l’extrême droite ?) que fut le fondateur du Front National devenu, avec sa fille Marine, le Rassemblement National…

    L’on sait déjà « comme coulant de source et n’ayant donc pas besoin d’être précisé), qu’il n’y aura pas de Journée de Deuil National…