compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Paroles et Visages - Page 39

  • Des Solutréens à la chute du mur de Berlin

    Si vous avez passé une partie de votre vie, notamment vos 15/20 ans, vos 30/40 ans, avec Brel, Brassens, Nougaro, Le Forestier, Ferré, Renaud, Gainsbourg… Et Coluche…

    Si vous avez connu le cinéma, le théâtre, la littérature, la musique, et en général la culture des années 1950 à 1990…

    Alors vous êtes de cette génération qui a connu, de l’Histoire tout entière de l’humanité, depuis les Solutréens et les Magdaléniens jusqu’à la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989…

    Le meilleur de son Histoire en matière de développement de la pensée, de l’art, de la littérature, de la musique ; en relation avec le mode de vie, d’échange, de relation, qui a existé durant toute cette période de 1950 à 1990…

    Et à cela il faut ajouter le frigo, la télé, les voitures, la machine à laver, les vacances à la mer et à la neige, les voyages partout dans le monde notamment dans des pays où de nos jours on ne peut plus se rendre ; la Sécurité Sociale, la retraite assurée pour beaucoup de gens…

    Il n’a manqué, durant cette période de 1950 à 1990, que l’internet qui, il faut bien le dire, s’il avait existé alors en 1970 ou 1980, cet internet, n’aurait pas du tout ressemblé à l’internet d’aujourd’hui des années vingt du 21ème siècle…

    Cette génération qui a connu ce qu’il y a eu de mieux dans l’Histoire – Culture, Art, pensée, mode de vie – (quoiqu’aient pu offrir de meilleur aussi, d’autres périodes dans des civilisations passées) – cette génération est aujourd’hui vieillissante et va disparaître, mais tant qu’elle existe encore, faite de gens très âgés, elle peut témoigner, dire ce qu’elle a vu et connu, elle peut transmettre…

    Après, quand cette génération aura complètement disparu, il ne demeurera que des écrits, des images, des documents, des livres… Tout cela sans le témoignage oral…

    Quant à ce que l’internet en fera, de tout cela – l’internet de 2025, de 2030 et d’au delà… « C’est une toute autre histoire » ! (Cela laisse dubitatif)…

     

     

  • Des livres de pierre

    Nous sommes comme des livres dont beaucoup d’entre nous les ayant sous les yeux habituellement ou occasionnellement, ne voient et ne considèrent que la couverture et dont n’est lu que l’introduction…

    Au mieux quelque pages de ci de là, plus feuilletées que vraiement lues, et dont presque personne ne connaîtra le contenu…

    Mais si quasiment personne ne connaît ou ne connaîtra le contenu du livre, presque tout le monde imagine ou invente un contenu différent du contenu réel…

     

    Lorsque nous disparaissons, le livre vivant que nous avons été et que personne n’a lu, dont seule la couverture a été remarquée ; devient comme dans un cimetière, un livre de pierre… Et il arrive – rarement cependant – que s’éveille tout l’ imaginaire de passage de quelque visiteur de cimetière qui, par ce qu’il porte en lui, se sent plus proche du livre vivant qui a précédé le livre de pierre…

     

    Les livres de pierre dans les cimetières, tout comme les œuvres de pierre, toutes les œuvres de pierre réalisées par des sculpteurs ou par des bâtisseurs, de l’effigie de quelque personnage, animal, scène de vie, jusqu’aux plus grands monuments, aux plus imposantes constructions, et cathédrales, qui traversent les siècles… Toutes les œuvres de pierre sont l’empreinte du temps, les témoins de l’Histoire…

     

    Quelle sera l’empreinte, dans le prochain millénaire, d’un Leroy Merlin, d’un complexe de douze cinémas, d’un Carrefour géant ; des autoroutes, de tout ce qui est béton et assemblage de matériaux composites, de tout ce qui est aujourd’hui fabriqué et reproduit des millions de fois, utilisé, consommé, puis jeté, ou récupéré en diverses pièces et ré-assemblé en toutes sortes d’objets ?

     

    Et ne parlons pas de ce qui est produit sur Internet et sur les réseaux sociaux, qui n’existe que numériquement, dans des espaces de stockage, en fichiers de contenus… Tout cela dématérialisé…

     

     

     

  • Les facettes d'un prisme

    10 % des Américains – habitants des USA – pensent que la Terre est plate, et 9 % supplémentaires ne sont pas sûrs de sa forme.

    Cela signifie qu’une proportion non négligeable de la population aux États Unis – environ une personne sur dix- croit que la Terre n’est pas ronde, mais plate, une idée qui va à l’encontre des connaissances scientifiques actuelles.

    En outre il y en a 9 % - en plus des 10 % - qui n’ont pas pris encore de décision ou ne savent pas si la Terre est plate ou ronde.

    Ce sont ces mêmes 10 % d’habitants des USA, qui ignorent que la Terre est sphérique – et encore moins que la Terre tourne autour du Soleil (et sur elle-même) – et qui ne savent pas situer sur une carte du monde, la France, ou l’état d’Israël et la Palestine, ou la Nouvelle Zélande…

    Ce sont ces mêmes 10 % d’Américains toutes générations confondues qui croient que c’est Dieu qui a créé la Terre en sept jours, qui a fait la femme à partir d’une côte d’Adam et que des trompettes vont sonner dans le ciel lorsque viendra le temps de la fin…

    Bon nombre d’écoles élémentaires aux USA sont des écoles où l’enseignement se fonde sur le créationnisme (ce qu’enseigne la Bible)…

     

    Croire que la Terre est plate, ne pas savoir (et s’en foutre de le savoir) où se situe la France sur une carte du monde – et de surcroît ne pas non plus avoir une vue d’ensemble de la géographie des États Unis… Ce n’est pas pour l’Américain qui croit la Terre plate en face d’un autre Américain qui lui, croit la Terre tournant autour du Soleil « avoir une pensée différente » mais tout bonnement une « non pensée » faite d’obscurantisme et de bêtise…

    Parce que : une pensée différente c’est comme l’une des facettes d’un prisme tournée vers une partie d’espace différente, c’est juste une question d’angle de vue…

     

    Une « pensée différente », aussi opposée soit-elle à la sienne, ne se partage pas si elle est trop différente, mais se respecte et se considère…

    Dans l’obscurantisme et dans la bêtise il n’y a pas de « pensée différente » ni « d’angle de vue » ni de « facette de prisme tournée vers telle partie d’espace »…

     

    Lorsque la pensée fait défaut parce que l’on ne peut plus même parler de « pensée différente », que les facettes du prisme sont obturées et ne peuvent donc pas être tournées vers quelque partie d’espace que ce soit, et qu’il n’y a plus d’angle de vue ; qu’il ne reste qu’un bloc brut sans aucun reflet contre lequel on ne peut que se heurter… Il ne peut plus être question du moindre respect, de la moindre considération…

     

     

    Pour les êtres qui sont comme des blocs bruts et dont l’état ne changera jamais, toute pensée quelle qu’elle soit, partageable ou non, est toujours la marque de quelqu’un qui se croit supérieur aux autres du fait d’une connaissance acquise ostensiblement projetée en avant…

     

    C’est la raison pour laquelle, entre les uns, obtus et obscurs, et les autres éclairés et à l’esprit ouvert, l’on n’arrivera jamais à rien ! …

     

     

  • Ah, cet engouement pour les animaux de compagnie

    Il m’est bien difficile de manifester de la considération et de la vénération pour ces personnes, ces familles, qui en France, en Europe, en Chine… Font de leur animal de compagnie – un chien, un chat, un lapin, un hamster, un petit singe, un canari, une poule, un furet, un marcassin, voire même un serpent boa ou un lionceau… Ou encore un cheval, un âne, L’égal d’un enfant adoré et gâté, tel un « petit dieu »…

    De tous les animaux de compagnie dont la plupart d’entre eux sont des animaux sauvages non destinés à la domestication (furet, marcassin, singe) les deux seuls dont l’inévitable et naturelle production d’excréments – urine, matière fécale – peut être « aisément » gérée – si l’on peut dire – sont assurément le chien et le chat…

    Le chien, avec la « promenade quotidienne » matin et soir ; et le chat avec la litière à changer, qui absorbe et « fait donc office » de WC…

    Encore que… Le jeune chien jusqu’à l’âge de six mois « fait » là où il se trouve, comme un bébé ou un très jeune enfant auquel on ne mettrait pas de couche… Et le chat errant recueilli, introduit dans la maison, ne prend pas forcément, à l’intérieur, le chemin de la litière…

    Quant à tous les autres animaux « domesticables » - mais demeurant des animaux sauvages- avec le caca et le pipi, c’est la cata !

    Le petit singe, vêtu comme un petit garçon ou une petite fille, dressé à se tenir à table et à utiliser une fourchette, avec lequel on dort et que l’on presse sur sa poitrine, le faisant entrer dans le pyjama… Il « fait » là où il se trouve, par terre, sur le canapé, dans le pieu, sous le guéridon dans le salon…

    Et de même le furet, la poule (qui elle, fiente), le marcassin, le hamster (mais lui c’est moins gênant puisqu’il fait dans sa cage), le lapin (petits pois noirs sous les lits), le serpent boa (peut-être lui, dans le trou de la baignoire et ça bouche les canalisations), le lionceau, le cheval (pour ce dernier si t’as un jardin, la merde de dada ça fait du bon fumier)…

    En fin de compte, avec tous ces animaux de compagnie en vogue, quasi consommateurs au même titre que les humains puisqu’on a pour eux des boutiques, des pensions, des joujoux, des pâtisseries, des hôtels même, et qu’on prend des assurances pour les soigner, les opérer en clinique vétérinaire… Ça en fait, des merdes à gérer ! Des tonnes de merde ! De la pisse… Et… De la jute de quiquète de toutous mâles au bas des manteaux et des trenchs de leurs jeunes ou moins jeunes maîtresses chic…

     

     

     

  • La pratique de l'esclavage dans l'Histoire

    Les blancs européens du temps des empires coloniaux des 16ème au 20ème siècle, à savoir les Espagnols, les Anglais, les Néerlandais, les Français et les Allemands ; sont actuellement stigmatisés et accusés d’esclavagistes et principaux responsables de la pratique de l’esclavage – notamment avec la traite des Noirs depuis l’Afrique vers l’Amérique aux 17ème, 18ème et 19ème siècle… Et également accusés de racistes, de colonisateurs, de dominateurs, d’avoir imposé par la force armée d’une part, et par leur mode de vie et par leur religion (Chrétienne) d’autre part, leur civilisation, véhiculé leurs tares, leurs ambitions, leurs violences – tout cela sous couvert d’apport de progrès et de bienfaits de culture, d’éducation, etc. …

    Tout cela oui est vrai, ne peut être nié ni occulté… Mais n’est en aucune façon le seul fait du monde des Blancs Européens des 16ème au 20ème siècle !

     

    Car déjà l’Histoire humaine dans son immensité depuis le Paléolithique Supérieur ( - 22 000 à -12000) contient bien plus long et bien plus présent sur notre planète, sur tous les continents, sous toutes les latitudes, paysages et climats… Que la période des européens blancs du 16ème au 20ème siècle, qui ne représente, cette période là, qu’à peine 4 siècles de civilisation humaine sur trente mille ans en tout…

     

    Bien d’autres peuples, sociétés, civilisations, passées et présentes, de par le monde, depuis trente mille ans, et même encore de nos jours, ont pratiqué – ou pratiquent – l’esclavage sous toutes les formes de l’esclavage…

     

    Depuis les cinq mille dernières années – et cela bien plus encore que les blancs européens des 16ème au 20ème siècle – (c’est d’ailleurs sans comparaison possible vu la différence énorme qu’il y a entre la pratique de l’esclavage par les européens des empires coloniaux du 16ème au 20ème siècle et la même pratique de l’esclavage par les autres peuples hors Europe partout dans le monde durant les cinq mille dernières années)…

    Ce sont – c’est vraiment une réalité incontournable :

     

    L’Egypte ancienne du temps du monde Egéen de -3000 à -1200 ; puis la Perse, la Grèce, l’Empire Romain, le monde arabo-musulman (Afrique Sahélienne, Afrique du Nord, Afrique côté océan Indien, Moyen Orient, Asie Centrale) , la Chine de -220 à 1911, une grande partie de l’Asie centrale islamique du temps de l’empire russe des Tsars ; ainsi que dans l’Amérique des peuples Amérindiens d’avant la fin du 15ème siècle…

    Que fut pratiqué « à grande échelle » l’esclavage sous toutes ses formes (colonisation, utilisation de main d’œuvre, de prisonniers de guerres, etc.) … L’esclavage impliquant donc des morts par dizaines, centaines de milliers, et même dizaines de millions ; des conditions de vie et de travail forcé les plus dures, les plus humiliantes… Et des tortures, des actes de barbarie, et toutes sortes de maltraitances, viols, mutilations… Exercés par tous les peuples de la Terre depuis des milliers d’années et cela, bien avant qu’en firent de même, de toutes ces maltraitances, les Européens à partir du 16ème siècle…

     

    Il est fort probable sinon absolument certain, que l’esclavage pratiqué en trente mille ans par les autres peuples et civilisations que les Européens des 16ème au 20ème siècle, a fait bien plus de morts – et de mal- que l’esclavage dans les empires coloniaux des Espagnols, Anglais, Français, Néerlandais, Allemands entre les 16ème et 20ème siècle…

     

    Toutefois en ce qui concerne les peuples Amérindiens des deux Amériques avant la fin du 15ème siècle, ils n’ont pratiqué l’esclavage que pour le commerce et dans les échanges, ainsi que les guerres tribales (capture de prisonniers) mais peu à vrai dire pour se constituer à plus ou moins grande échelle des travailleurs forcés comme le firent par exemple les Egyptiens du temps des Pharaons…

    Et de même dans les temps très anciens du Paléolithique Supérieur (Solutréens, Magdaléniens), l’esclavage n’était pratiqué qu’occasionnellement, notamment dans les échanges, lors de conflits locaux mais peu pour du travail forcé d’un grand nombre de personnes…

     

    C’est la raison pour laquelle ( cette réalité là, de l’esclavage, de la colonisation, de la domination des uns ou des autres ) il ne faut accorder crédit à ces rappeurs anti blancs très insolents, très violents, très injurieux et qui s’expriment dans un déni total de la réalité, ni accorder également le moindre crédit à tous ces « autres » (Russes, Chinois, peuples du Sud Global) qui  n’arrêtent pas de nous donner des leçons de morale, de nous accuser, de nous discréditer, de nous culpabiliser… Nous, les ressortissants des pays de l’Union Européenne !

     

    Il y a aujourd’hui -c’est une réalité « plus ou moins occultée » (parce que cela « arrange » les bénéficiaires et participe à une vaste hypocrisie généralisée)… Une forme d’esclavage tout à fait nouvelle dont les victimes sont toutes ces populations vivant de par le monde très en dessous du seuil de pauvreté – 1 euro ou dollar par jour - (environ 2 milliards d’humains répartis principalement dans des pays sous développés tels que Haïti, Vénézuela, Colombie, Bolivie, Guatemala, Honduras, Madagascar, Bangladesh, et bien d’autres encore) qui, sachant lire et écrire et ayant acquis un minimum d’instruction (pour un tiers environ de ces 2 milliards) se voient proposés des emplois liés au développement de l’Intelligence Artificielle, de la collecte, du tri, du classement de milliards de données numérisées : ces gens travaillent 8h par jour ou plus avec des heures supplémentaires devant un ordinateur dans des conditions de travail extrêmement épuisantes de tâches répétitives, soit chez eux logés au plus sommaire, soit regroupés par centaines d’opérateurs dans d’immenses salles de travail ou hangars, payés entre 0,35 et 0,65 euro de l’heure (alors que les boîtes, « start-Up » et officines et entreprises spécialisées dans la vente de services, facturent leurs prestations 7, 8 euro de l’heure d’utilisation au consommateur Européen, Américain, Chinois…)

     

    Quand vous utilisez Copilote, Chat GPT, n’importe quel outil d’intelligence artificielle fonctionnant grâce à des centaines de milliards de données collectées enregistées qui sont analysées en un dizième de seconde avec des logarythmes, et que vous obtenez une réponse à tout ce que vous pouvez demander, dites vous bien que derrière tout ça, il y a des gens quelque part dans le monde qui travaillent dans des conditions effroyables, sont payés à peine au dessus de 2 euro par jour : c’est cela cette nouvelle forme d’esclavage 21ème siècle !

     

    Une nouvelle forme d’esclavage apparaissant aux observateurs que nous sommes en tant que consommateurs de produits et de services dans le monde occidentalisé, plus ou moins immergés dans une « culture de valeurs de civilisation »… Comme n’étant pas de cet esclavage réel que nous condamnons… Car en effet, une « théorie abonde » dans nos sociétés développées ; selon laquelle ces gens de pays très pauvres qui vivent pour la plupart d’entre eux dans une écrasante majorité avec un revenu de 1 ou 2 euro par jour ; lorsqu’ils peuvent accéder grâce à un minimum d’instruction et de scolarisation – lire et écrire – à ces emplois liés au développement de l’Intelligence Artificielle, de traitement de données numérisées enregistrées ; cela leur permet de « s’élever » - si l’on peut dire- « au dessus de conditions de vie, de grande misère et de précarité qui sont celles de leurs semblables dans le pays où ils vivent »… Ainsi accèdent-ils ces gens, grâce à des revenus atteignant jusqu’à 200 ou 300 euro par mois, à une « vie meilleure » (qu’ils n’auraient pas en ne gagnant que 30 à 60 euro par mois)…

     

    Ces emplois liés au développement de l’Intelligence Artificielle ont tous les mêmes caractéristiques et problématiques de fonctionnement : ce sont les donneurs d’ordre des entreprises et organismes gestionnaires, concepteurs et vendeurs de services de hautes technologies du numérique, de la robotique et de l’analyse de données par algorythmes ; qui envoient aux opérateurs des milliards d’images, de vidéos, de textes, de pages ou parties de documents, à traiter selon une procédure demandée dans tel ou tel but… Des images et des vidéos qui défilent durant des heures sous les yeux des opérateurs, et qu’il faut trier, annoter, regrouper, cibler, tout cela afin que les algorythmes puissent contribuer à l’élaboration d’une réponse appropriée, à n’importe quelle question posée…

    Imaginez l’épuisement au bout de 8 h de ce « travail » ! À tel point d’ailleurs, que les gens qui exercent ces emplois, ont tous entre 20 et 30 ans et ne tiennent ces emplois que cinq ans au maximum !

    Sans compter que, s’ils travaillent chez eux, ils doivent se procurer (acheter) leur ordinateur, et financer personnellemnt leur connexion internet ! (c’est la raison pour laquelle ces emplois sont surtout exercés en collectivité de travailleurs dans de vastes locaux aménagés, sous la direction d’un chef d’entreprise local et de ses contre-maîtres)…