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consommation

  • Ce sont des personnalités du monde et des milieux ...

    -De la politique

    -Du sport

    -D’une partie – importante- des intellectuels

    -Du showbiz (métiers et activités du spectacle)

    -De bon nombre d’artistes de scène, de cinéma, de littérature

    -Des intervenants du « grand questionnement sur l’état du monde et de la société, autrement dit de penseurs, auteurs d’essais et d’ouvrages dont les publications se succèdent, se diversifient…

    -Des gens de télévision et de l’information

    -Des chefs et cadres d’entreprises

    -Du monde des technologies innovantes

    -De nombreux éducateurs et enseignants

    -Et même jusqu’à des gendarmes, des pompiers, des conducteurs de véhicules de transport de personnes (dont des enfants et des adolescents), des médecins…

     

    Qui, pour environ entre 4 et 6 sur 10 d’entre eux tous…

    En plus des 5 ou 6 sur 10 des « gens du commun » - exerçant toutes sortes d’activités, autant ceux et celles vivant dans une certaine aisance que d’autres ne disposant que de peu de revenus…

    Sont des consommateurs de cocaïne, de canabis et d’autres drogues…

     

     

     

    Et l’on s’étonne, l’on s’offusque, l’on déplore… Tous ces « points de deal » qui se multiplient exponentiellement partout, dans les « cités », jusque dans les villages…

    Et de la violence, des agressions, des trafics, des crimes, du racket, des guerres que se livrent les clans, au quotidien, et que génère le marché des stupéfiants…

     

    Bruno Retailleau veut combattre tout cela, toute cette « chienlit », toute cette pourriture…

    De même que les écologistes «purs et durs », d’une part ; et que l’Ordre du monde, de la société, de la consommation et de l’économie de marché dominée par les nouvelles technologies, d’autre part… Ne cessent de proclamer, d’affirmer, de prôner, de convaincre le plus grand nombre, que la civilisation actuelle peut « à la fois » se développer en « croissance durable et responsable » et « faire que la Terre ne crève pas de tout ce que l’on lui fait subir »…

     

    « Exit » donc, consommation exige et bien être et confort demeurant incontournables ; les huit milliards d’humains actuellement sur Terre pesant de toutes leurs activités et de leur pression sur les ressources de notre planète – comme si selon « eux », avec 2 ou 3 ou 4 milliards encore de plus d’humains sur Terre, on arriverait « quand même/quand même » à concevoir qu’une telle économie de développement dans une « croissance responsable » puisse se maintenir avec le moins de dommage possible pour notre planète et pour l’humanité !

     

    « Surtout pas revenir sur ce qui est acquis ! (ou alors, « pour bien faire » s’adapter, innover, autrement dit « ménager la chèvre et le chou » ou « l’ours et le loup dans nos montagnes sans que le berger et que le randonneur n’en pâtisse ! »

    C’est « ça » la « grande philosophie des écolos purs et durs ET des « pro l’Ordre du Monde dans le déni de certaines réalités et dans le consensualisme de bon aloi et de convenance ! Des loups et des ours, faisons confiance aux technologies innovantes qui iraient dans le sens d’une croissance durable et responsable… Et « tant qu’à faire tant qu’on y est » un petit joint de temps à autre pourquoi pas !

    Et c’est avec « ça » qu’on prétend « faire le monde de demain » !

    Rendre à tout prix l’évolution technologique, la consommation, le confort, l’innovation, la croissance économique, ainsi que nos modes de vie d’aujourd’hui, compatibles avec une Terre et avec une humanité pouvant gérer – et durer, le temps d’encore je ne sais combien de générations !

    Le fer qui ne s’oxyde pas, ne rouille pas ! Juste quelques petits effritemens, quelques dégradations sans réelle gravité en conséquences ! On va « apprivoiser » l’ours, le loup, et même l’araignée géante carnivore ! On va faire dans « le bizounours qui roule ses mécaniques en convainquant tout le monde de la pertinence de sa philosophie de la conciliation » !

     

    Le « bizounoursisme » version Ordre du monde dans la consensualité et dans le principe fallacieux de la complaisance, de la permissivité de tout, du soit-disant progrès civilisationnel dans la croissance durable qui fait le moins mal possible à la planète, autrement dit « l’olive bien huilée dans le trou de bale sans colique ni brûlure intestinale ultérieure »… Ça fait « du grain à moudre » aux religions, aux fanatismes, aux guerriers ; ça génére les violences, les prédations, les dictatures, c’est donc contreproductif, inefficace et au final ça assassine la Terre et l’humanité !

     

     

  • La politique et l'objectif des maîtres du Titanic

    Le Titanic symbolisant le monde du 21ème siècle…

     

    En tête des 80 millions (du 1%) les plus riches de la planète, mettons entre 5 et 10 personnages « hyper dominants » dont j’ai déjà indiqué quels sont leurs noms et leurs empires démesurés…

     

    La politique, l’objectif :

     

    -La limitation à 1 % car « il n’y a pas assez de place en haut pour tout le monde » …

     

    -Six milliards de consommateurs tous produits, biens et services ; tous conditionnés, maintenus dans leurs habitudes, leurs contraintes, leurs addictions, leurs mode de vie… Et « déculturés », maintenus dans l’ignorance, ou uniquement dans la connaissance de ce qui doit se croire et se savoir, soumis à l’opinion commune admise et de mode de pensée, dans une liberté d’expression et de comportement définie à dessein et devenant en réalité une sorte de rideau de fer interdisant ou au mieux limitant la capacité de « penser par soi-même », de réfléchir, de comprendre, d’analyser, de déjouer les pièges tendus de plus en plus sophistiqués et élaborés afin que le plus grand nombre possible de gens y tombent dedans…

     

    -Deux milliards – à vrai dire sans limite précise (et donc appelés, ces deux milliards, à devenir trois milliards ou plus encore) de gens maintenus dans la pauvreté, dans le dénuement, dans la misère, dans le travail forcé et le moins payé possible… Main d’œuvre assez nombreuse et exploitée pour la production de tout ce dont profite déjà un peu les six milliards de consommateurs, et surtout beaucoup les 80 millions de très riches…

    Pour ces deux milliards là, pas d’école, pas d’hôpital, aucune sécurité, et… Une aide « de principe pour sauver les apparences et en sorte faire croire qu’on les laisse pas crever »…

     

    Sinistres la politique et l’objectif des maîtres du Titanic ! Que la Lumière soit, donc, avec Elon Musk, Donald Trump, Vladimir Poutine, les Émirs, Xi Jinping… Les Mafias… Et les Religieux !

     

     

  • Flambée des prix

    … La « flambée » des prix – des produits énergétiques, alimentaires, d’utilisation courante au quotidien, des équipements nécessaires, de tout ce dont nous avons besoin tous les jours, le prix des services, le prix de tout ce qui est du domaine de la santé publique, des transports, et de tout ce qui est nécessaire pour toutes les activités individuelles, collectives, industrielles, agricoles… Est liée, directement liée à deux causes principales :

     

    -À la part croissante de la fraction de la population mondiale dont la vie et l’activité au quotidien, dépendent fortement de consommation énergétique, alimentaire, équipementière et de services, tout cela pour conserver des habitudes acquises, du confort, de l’aisance, de tout ce dont aujourd’hui l’on ne peut plus se passer…

    Cette part consommatrice d’énergies, de la population mondiale est de l’ordre d’environ le tiers de l’humanité, soit de quelque 3 milliards de personnes (à titre de comparaison, la part consommatrice d’énergie de la population mondiale en 1950 n’était que d’à peine 500 000 personnes – et encore, sans internet et juste l’électricité pour s’éclairer et faire tourner quelques moteurs, pour l’industrie).

    Certes, il est heureux pour les peuples des pays « en voie de développement » (du moins pour ceux qui le peuvent) d’accéder au confort, à l’aisance, aux commodités, on ne peut pas dire le contraire !

     

    -À la part croissante – pour ne pas dire exponentielle – des profits financiers des grands groupes dominants du Marché mondialisé (en particulier dans les domaines de l’énergie, de l’industrie, de l’agro alimentaire) réalisés, du fait d’un plus grand nombre de consommateurs ayant la capacité de consommer et de payer un prix plus élevé .

     

    … Mais, outre ces deux grandes causes principales, il en est une autre encore, non négligeable et qui commence à apparaître et à devenir préoccupante :

    C’est une cause liée à une production (de certains produits) qui n’arrive pas à suivre la demande (ou qui y parvient difficilement) ; une cause également liée à une pénurie de « savoirs faire », de compétences, de métiers… Tout cela étant aggravé par des problèmes d’approvisionnement, de logistique, de transport, de gestion, d’insuffisances d’emplois, de recherche d’une rentabilité qui en vient finalement à se révéler contre productive…

     

    Cette « flambée » des prix, qui impacte aujourd’hui tant de gens, partout dans le monde et en particulier dans les pays pauvres, s’inscrit dans une « durée longue » et «ne va pas aller en s’arrangeant » bien au contraire… Car nous ne sommes là, à partir de 2022, que dans le début des « grandes, très grandes difficultés » (pénuries, crises )…

     

    La part croissante de population mondiale « grande consommatrice » et conditionnée dans les habitudes de confort et d’aisance, n’est qu’en partie disposée à « changer ses habitudes et manières de consommer » - et encore elle le fait, bien sûr en « citoyens conscients, responsables et agissants » sans pour autant avoir trouvé la meilleure option puisqu’il y a toujours des  contreparties  négatives ou « peu heureuses » à tout ce qui est essayé, expérimenté… Ou qui aboutissent même à des effets délétères (par exemple la voiture électrique, l’utilisation de centrales à charbon et énergies fossiles afin de pallier au déficit de production d’électricité, gestion des déchets produits par les centrales nucléaires, traitement des panneaux solaires périmés et usés, exploitation des « métaux rares » pour la fabrication de batteries et de nombreux équipements technologiques devenus indispensables)…

     

    La « transition écologique »… Une « usine à gaz » ! Et avec des ingénieurs et des professionnels qualifiés en nombre insuffisant, et œuvrant dans l’expérimentation aléatoire… Et une population mondiale conditionnée à ce qui a été acquis et est devenu indispensable, rendant un « retour en arrière » quasi impossible, non envisageable sauf en cas de catastrophe irrémédiable…