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Journal - Page 146

  • Finalité d'un projet

    … Les puissances dominantes, en particulier celles des « géants de l’internet, des bases de données, du numérique, de l’informatique, de la gestion des données, des producteurs et concepteurs de logiciels et d’applications sur smartphone, d’utilitaires autant sur les ordinateurs que sur les smartphones et tablettes… Tout cela dans « le giron » des puissances dominantes… A deux aspects fondamentaux :

     

    L’un qui « rend service » (un réel et indéniable service), qui harmonise, sélectionne, contribue à l’accroissement des capacités cognitives qui sont les nôtres (innées ou acquises par formation éducation), en fonction d’un « profil déterminé, personnalisé » dont l’impact dans notre vie au quotidien est positif dans la mesure où ce dont on se sert, que l’on utilise, qui est mis à notre dispostion en accès libre ou payant, est conçu à notre avantage, à notre profit, pour notre développement personnel, notre bien-être – et selon des règles précises, variables dans le temps, ou des chartes, des conditions générales d’utilisation (ces « GGU » que peu d’entre nous lisent complètement, et dans lesquelles sont spécifiés des choix que l’on peut faire et où l’on voit des listes de partenaires autorisés à partager des données)… Voilà donc pour le côté positif…

     

    L’autre qui se caractérise et se manifeste et agit dans une pensée, dans un objectif de pure dominance, de prédation, d’asservissement, de nivellement des sensibilités… Le côté négatif…

    Dans la finalité d’un projet qui est celui des dominants et des décideurs, c’est le jeu ambigu de la coexistence des deux aspects, mené par les dominants et par les décideurs, qui permet à ces derniers de péréniser et de renforcer leur pouvoir…

     

     

  • Quel pouvoir les peuples ont-ils sur leur destin ?

    … À vrai dire les peuples – en France et ailleurs – de tous temps, n’ont jamais eu de pouvoir réel sur leur destin… Sauf (peut-être?) de nos jours, avec les nouvelles technologies de communication pouvant se révéler à terme des relais pour des changements de mode de vie, d’habitudes, de comportements s’organisant en réseaux agissants (le côté, disons, positif, des nouvelles technologies de communication, d’information, de diffusion, de partage, d’incitation à des changements… Le côté négatif étant la « cancel culture », les individualismes exacerbés, les communautarismes)…

    Cela dit, que serait (comment se manifesterait) une Shoah ou son équivalent en extermination de masse, en violence, en discrimination, avec en association avec les nouvelles technologies du numérique, les moyens matériels, armes, équipements, dont disposent des détenteurs de pouvoir, de nos jours ?

    Cela dit encore, en 1789, alors qu’il n’y avait pas de numérique, de réseaux sociaux, d’internet, en l’espace de quelques mois, le peuple de France dans son ensemble, a pu pour un temps (dont est demeuré des traces), modifier son destin, quoique, individuellement « ce fut une autre affaire ! » …

     

  • Amis sans guillemets

    Bannis de leurs terres

    Innocents

    Sans frontières

    Accidentés de la vie

    Tondus et pelés

    Visages ravagés

    Promeneurs ou cyclistes à sale tête dans le lotissement Les Alouettes interpelaboyés par de féroces Je – monte – la – garde

    Esprits rebelles

    Qui tous rêvez de vous faire la belle

    De ces jardins désenchantés où poussent l’amer et le dégoût

    De l’autre côté de tout ce qui est brisé ou prisé

    Et surtout

    Au plus loin des paroles molles

    Sachez

    Que vos amis sans guillemets

    Sont ceux dont l’œil est clair et vous regarde droit devant

    Et vous parlent de la beauté du monde encore présente

    Sans vous l’expliquer, la décortiquer, la scénariser, la modaliser, l’encadrer, la marchandiser, la croisiériser …

     

     

  • Œuvres en ultra-sons et en phéromones

    … Nos braves et gentils toutous de famille, de dame ou de monsieur âgé seul, petits ou gros, de race ou pas de race, du magnifique berger allemand au petit corniaud à poils ras et bout de queue en bouchon agité… Tous nos chers toutous sans oublier les toutous errants et les toutous cagneux qui font les poubelles…

     

    Ne se « bouffent pas le cul mais se transmettent leurs civilités » lorsqu’ils se rencontrent…

     

    Mais nous humains lorsque nous nous rencontrons, habituellement ou « faisant connaissance », on se serre la main, entre homme et femme on se fait la bise, et si c’est la première rencontre, on dit à l’autre « je suis capricorne, je suis poissons, je suis bélier », et l’autre répond « je suis vierge, je suis scorpion, je suis lion »…

     

    Et durant le temps d’un tour de notre planète la Terre autour du soleil, il se réalise bien plus, à vrai dire beaucoup plus… D’œuvres en ultra sons de chauve souris, d’œuvres en phéromones de fourmis, que d’œuvres en langange humain…

     

     

  • Du temps - et du champ et des moyens- donnés aux détenteurs du Pouvoir

    … Aldous Huxley, né le 26 juillet 1894 et décédé le 22 novembre 1963, est un écrivain, romancier et philosophe Anglais, auteur de près de 50 ouvrages dont le plus connu est « Le meilleur des mondes », un roman d’anticipation écrit en 1931 et paru en 1932 dans lequel il définissait ainsi ce que serait une dictature du futur ayant toutes les apparences de la démocratie mais dans un système de gouvernement, d’économie et de société, de hiérarchie des pouvoirs, de collusion avec des groupes et organisations occultes en marge des lois (mafias) ; tout cela rendant les gens du commun dépendants de tout ce que produit le marché de la consommation, des loisirs, du divertissement, et d’une culture de masse fondée sur des valeurs d’apparence, d’appartenance, dans un ordre dominant de pensée et d’opinions…

     

    Une dépendance accrue par le conditionnement des esprits et des habitudes, des choix et des comportements, s’apparentant à de l’esclavage (les fers ou chaînes ayant été remplacés par les addictions) ; à une prison sans murs ou à un immense camp d’internement sans clôture, prison ou camp duquel les gens n’imaginent pas s’évader, tant ils trouvent en un espace entièrement organisé, structuré, formaté, policé, tout ce qui les conforte, les rassure, leur profite en tant qu’individus…

     

    Il est évident que tant que fonctionne ce système de domination du monde et des peuples par ceux qui détiennent le pouvoir, les détenteurs du pouvoir ont devant eux le temps nécessaire pour fourbir et perfectionner leurs armes… De telle sorte que, le jour où les populations parviendraient à se libérer du joug de leurs addictions et de leur conditionnement, du moins la plus grande partie possible des populations ou en suivant l’exemple d’un peuple en particulier, de tel ou tel pays…

    Alors les détenteurs du pouvoir, lourdement armés qu’ils seraient, instaureraient une dictature qui n’aurait plus l’apparence de la démocratie …

     

    Nous sommes « par les temps qui courent », bel et bien en train de « donner du temps et du champ - et des moyens accrus » aux détenteurs du pouvoir, par nos addictions de toutes sortes – dont la plus forte est celle, comme « l’Epice » de Dune, liée aux technologies de la communication, de l’information, de la diffusion (Internet, smartphone, ordinateur, réseaux sociaux), et aux besoins énergétiques…

     

    La « vraie démocratie » implique que nous parvenions à nous approprier, au détriment des détenteurs du Pouvoir, les technologies de la communication et de l’information et les bases de données…