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Journal

  • Générations

    La génération 20/30 des né(e)s entre 1995 et 2005, c’est la génération Bardella – plus dans le vent la génération Jordan…

    C’est aussi la génération smartphone instagram applis pour le moins cher cinéma Netflix seau de pop corn piercing tatouage futals moulants

    À ceci près – il faut tout de même le reconnaïtre – que les 20/30 en 2025 dans les bus, les trams et les lieux publics à nombre de places assises limitées, cèdent leur place assise aux personnes âgées, beaucoup plus souvent que ne le faisaient les 20/30 d’avant, des générations précédentes…

    Avant il y eut :

    La génération Macron

    La génération Hollande

    La génération Sarkozy

    La génération Chirac

    La génération Mitterand

    La génération Giscard…

    Toutes ces générations 20/30…

    Jusqu’à la génération de la Libération fin des années quarante

    Jusqu’à la génération Maréchal Pétain des nés entre 1915 et 1925 pour laquelle les résistants à l’occupant allemand et au régime de Vichy étaient des terroristes…

    Toutes ces générations depuis bientôt cent ans, des 20/30, de « l’Ordre Référent », du « Vent de l’Histoire », de la pensée, de l’opinion, de la mode du Temps…

    Pour les bébés de 2025, qui entreront dans la vie active après 2045, quel sera en 2050 l’« Ordre Référent », le « Vent de l’Histoire » ?

    Sans doute cela fleurera-t-il l’index et le majeur de la main gauche ou droite passé sous le nez imprégné de la senteur du trou de bale en vertu de l’intemporel principe selon lequel on se régale de ses propres intimités elles-mêmes enduites ces intimités, de la fleurance aérienne ambiante…

     

     

     

     

  • Made in China

    Made in China.jpg

    Les personnes qui en France au quotidien de leur vie « naviguent » entre les restaurants du cœur et les « Discounts » en produits alimentaires et qui, pour leur électro ménager et leur mobilier « naviguent » entre les Emaüs ou le Secours Populaire et les offres promotionelles des grandes surfaces BUT, CONFORAMA, DARTY etc. … N’ont pas en général, présent à leur esprit, la provenance du produit alimentaire, du frigo, du buffet, de la machine à laver qu’ils achètent à bas coût lorsqu’ils ne se rendent pas pour obtenir ce dont ils ont besoin, aux Emaüs, au Secours Populaire…

     

    Mais honte oui honte à celles et ceux qui, ayant les moyens, c’est à dire des revenus « décents » - sans parler des revenus « plus que décents autrement dit confortables »- qui sont des millions dans notre pays, qui eux, connaissent la provenance de ce qu’ils mangent, des appareils dont ils se servent et dont ils disent, « éternels râleurs qu’ils sont » que c’est trop cher ; et ne cessent dans leur quotidien de vie de rechercher « le plus avantageux, le moins cher possible » en faisant de cette recherche une priorité dans leur vie…

    Ce sont effet ces millions de Français – et donc pas seulement les gouvernants et les hommes et femmes politique, les élus de la nation, les présidents – qui sont les fossoyeurs de nos entreprises ; c’est ainsi que, depuis 40 ans nous avons tout perdu : nos usines, nos entreprises, nos commerces de proximité, nos industries, notre agriculture… Et même nos savoir-faire puisque les brevets et les procédés de fabrication on nous les a pillés ou copiés…

     

    La consommation de masse – donc à la portée du plus grand nombre- c’est ça : le « miracle Chinois » qui produit à bas coût pour nous en Europe et en France, tout ce dont on a besoin et que l’on achète en consultant grâce à des applis sur smartphone omni présent à portée de geste, les offres les plus intéréssantes (la « course au moins cher » en tant que priorité dans son quotidien de vie – alors que tout à fait honnêtement on n’en est pas à 1 euro près)…

     

    Le drame aujourd’hui c’est qu’avec tous ces produits importés en majorité de Chine, notamment avec MERCOSUR signé par Ursula, en particulier tout de qui est électro ménager appareils technologiques ordinateurs tablettes smartphones télés nounours pernohaux cafetières fringues bijouteries jeux loisirs… Ainsi que tout ce que l’on mange et boit ; il est souvent très difficile voire quasi impossible désormais d’acheter Français production locale, que ce soient des chaussures, des sacs à main, des vêtements, des fruits et des légumes (Grand Frais c’est le champion de tout ce qui vient par avion bateau frigo cargo de l’autre bout de la planète)… Oui pour tous les « anti cet ordre là » le choix « responsable et engagé » est de plus en plus réduit et surtout faussé parce que en vérité la tatane elle est peut-être française d’assemblage mais la semelle elle est marocaine…

     

     

  • Solstice

    Le 13 décembre entre Dax et Mont de Marsan 43 degrés latitude Nord, était le jour où, depuis le 5 juillet, le soleil passait sous l’horizon le soir, le plus tôt… Et le 26 décembre sera le jour où le soleil apparaîtra le plus tard, depuis le 10 juin…

    Le décalage entre le coucher du soleil autour du 10 décembre et le lever du soleil le plus tardif fin décembre dans l’hémisphère nord, n’a rien à voir en lien avec l’applatissement de la Terre aux pôles.

    Il résulte, ce décalage, de la combinaison de l’inclinaison de l’axe de la Terre et de l’orbite elliptique de la Terre autour du soleil.

    Dans l’hémisphère nord en latitudes moyennes (entre 35 et 60) le jour du soleil disparaissant le plus tôt le soir, se situe entre le 4 et le 13 décembre et plus précisément au 43 ème, entre Dax et Mont de Marsan, le 13 décembre (à 17h 14 GMT plus 1)… Et le jour où le soleil apparaît le plus tard au matin, se situe entre le 25 décembre et le 8 janvier, plus précisément entre Dax et Mont de Marsan sur le 43 ème, le 26 décembre (à 8h 45 GMT plus 1) …

    GMT c’est « l’heure solaire » (l’heure des anciens) qui est aussi l’heure astronomique (qui sert de référence pour tous les pays du monde)… On a donc GMT plus 1 heure officielle d’hiver en Europe, et GMT plus 2 heure officielle d’été en Europe.

    L’axe de la Terre n’est pas perpendiculaire à son orbite.

    La Terre ne tourne pas autour du soleil à vitesse constante : elle est plus rapide à la périhélie (dans l’hémisphère nord donc en janvier) et plus lente à l’aphélie en juillet.

    Périhélie : point où l’orbite de la Terre est plus proche du soleil (janvier hémisphère nord

    Aphélie : point où l’orbite de la Terre est plus éloigné du soleil (juillet hémisphère nord)



    Bon vous m’direz – d’aucuns m’diraient : « ça me fait une belle jambe » ! ( si l’on apprenait en « scoop du jour » à la Télé ou dans le journal que « la moitié de la planète venait de sauter – une catastrophe nucléaire – c’est que l’on serait forcément du bon côté !) – rire…



  • Combats

    Certains combats que l’on mène toute sa vie durant – contre l’Ordre du Monde (ou plus en vérité contre DES ordres de l’Ordre du Monde mais aussi contre les désordres du monde (ou plus en vérité contre les désordres du monde faits ordres)… Combats en lesquels on est seul engagé aussi personnellemnt que l’on l’est contre ordres et désordres, ne rencontrent ces combats que l’on mène, que silence, indifférence de tout le monde, oui, indifférence et silence des personnes qui nous entourent avec lesquelles nous devons coexister… Ces combats là sont souvent, le plus souvent, des combats désespérés, perdus d’avance… Mais que l’on refuse d’abandonner et que seule notre mort interrompt…

     

    La meilleure défense (ce qui nous soutient, nous anime, nous fait agir, nous fait nous exprimer) dans ces combats que l’on mène contre l’indifférence, contre le silence, contre la violence, contre les Ordres et les désordres… C’est encore la littérature, l’art, la musique, la création, la pensée… Et surtout ce « quelque chose en soi à nul autre pareil » qui, même sans la littérature, sans l’art, sans la musique – dont on peut ne pas être imprégné, et même aussi sans le don, sans le talent dans l’accomplissement ; est une force en soi, donne un sens à notre existence…

    Ce « quelque chose en soi » tous les humains l’ont même le plus démuni d’entre les humains…

    Et en ce sens, il n’y a plus de combat désespéré, perdu d’avance…

    Ce « quelque chose en soi » - de son vivant – rejoint toujours « quelque chose du quelque chose en soi » des autres et, à partir de là s’ouvre le possible…

    Tout le monde n’a pas la capacité de réaliser, de dire, d’exprimer, de rallier, d’entraîner, d’impacter, de « faire trace » durable sur le mur ou par des livres ou par des compositions artistiques…

    Mais tout le monde, chacun d’entre nous même le plus démuni, le plus fragile, le moins bien connu, qui « ne fera rien dans sa vie au sens de ce que l’on entend dans l’Ordre du Monde par faire » a en lui ce qui le différencie des autres et dont l’image est son visage, et dont le regard est son langage… Et dont l’œuvre est son rapport, sa relation à l’autre…

     

     

  • Ce qui manque le plus au monde

    Dans un monde où de toute évidence depuis l’origine des sociétés et civilisations humaines - et à mon sens encore plus marqué, plus accru dans le monde du 21 siècle, où l’argent, la violence, l’orgueil, l’individualisme, le culte de l’apparence, le prestige, la visibilté de chacun en fonction de ce qu’il exprime et produit, où la révolution, où le pouvoir, où ce qui compte le plus, où ce qui s’impose dans les pensées, dans les opinions de chacun, c’est de gagner, d’être performant… Il m’est toujours venu depuis ma lointaine enfance, de la mansuétude, de la sympathie, de l’affection, de la considération, de la bienveillance, de la solidarité… Pour les perdants, les « losers » comme on dit, pour ceux qui « ratent », ne réussissent pas en dépit de leurs efforts et de leur travail, pour ceux et celles qui sont méprisés, maltraités, abusés, réduits au silence, ignorés, dévalorisés, « zappés » sur les réseaux sociaux, lorsqu’ils « taguent ou graffitent – ou même pour quelques uns d’entre eux « font des monuments de littérature si ça se trouve » sur tous ces murs le long desquels tout le monde passe, tout le monde écrit ou trace…

     

    En tant que « témoin de mon temps » je dis que ce qui manque le plus au monde, qui a toujours manqué d’ailleurs et qui aujourd’hui fait encore plus défaut que jamais… C’est de la bonté, de l’humilité, du « bon sens des choses » (de la vie, de la relation humaine) associées bonté et humilité, de simplicité, de sincérité, de dignité, d’honnêteté et de ce « quelque chose en soi à nul autre pareil » qui n’ a rien à voir avec gagner, être performant, réussir, avoir une belle maison, un bon compte en banque, des tas d’amis, de la prestance, du talent…

     

    Je ne dis pas que le monde actuel est dépourvu de tout cela, de ces valeurs là si essentielles ; oui ça existe je l’ai vu, bel et bien vu… Seulement je dis que « ça fait encore pas pencher la balance du côté tant espéré tant attendu tant rêvé ! »…

     

    Néanmoins je souhaite demeurer vivant, conscient, observant, exprimant, témoin… Le plus lontemps possible sur cette Terre des Hommes, et sans désespoir autre qu’occasionnel et donc passager, en dépit d’interrogations qui me viennent, d’inquiétudes – je ne dirais pas de peurs- si lourdes à porter en moi, ces interrogations et ces inquiétudes… Je ne crois pas en Dieu, sinon que Dieu pour moi ce sont les interlocuteurs que peuvent être les autres autour de moi…