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Journal - Page 4

  • Grand Hôtel du Merdier

    Le fait que des millions de personnes de par le monde, de toute génération, adoptent et se livrent à de mêmes comportements d’une vulgarité, d’une banalité aussi crasse que généralisée, de consommation, de loisirs, de lectures tout cela dans le culte de l’apparence, dans la médiocrité autant culturelle que relationnelle, dans un individualisme aussi exécrable qu’ostentatoire et revendicatif… Ne fait pas de ces comportements, de ce à quoi adhèrent des millions de personnes, des vertus, des modèles …

    Le fait qu’elles partagent les mêmes erreurs, les mêmes croyances, ne fait pas de ces erreurs et de ces croyances, des vérités…

    Et lorsqu’en face de ces comportements exécrables, de ces erreurs et de ces croyances qui font le monde que l’on connaît tel qu’il est, tel qu’il devient ; se lève un vent de colère, de révolte, de celui, de celle, de ceux qui n’adhèrent pas et subissent… Toujours se lève aussi toute la hargne d’une majorité outrée d’être conspuée…

    Et quand « Dieu s’en mêle » c’est encore pire, le « Grand Hôtel du Merdier » !

     

     

  • J'irai jamais...

    Aux États Unis d’Amérique de Donald Trump, et ne verrai donc pas en « voyage Touropérator » et encore moins en « voyage par mes propres moyens », le Grand Ouest Américain et son Grand Canyon et ses paysages de western, les grandes plaines à perte de vue entre les Appalaches et les Rocheuses, je n’arpenterai pas les rues, les avenues et les quartiers « emblématiques » de New York City, en touriste lambda avec une casquette sur la tête…

     

    Personne, absolument personne – puisque « là bas » de l’autre côté de l’Atlantique je ne connais personne- ne m’invitera chez lui ni ne m’attend, ne sachant même pas d’ailleurs que j’existe… De toute façon, aux USA la moindre chambre d’hôtel pour une nuit sans petit déjeûner doit coûter plus de 100 dollars…

     

    L’Amérique de Trump ne me fait pas rêver, je ne serai donc jamais un touriste débarquant à l’aéroport JF Kennedy devant passer par je ne sais combien de portails électroniques de reconnaissance faciale (et plus que faciale il faut dire), et devant remplir un formulaire de 10 pages…

     

    Et, outre ma désaffection totale et absolue pour l’Amérique de Donald Trump, le samedi soir où sur France 5 dans « Échappées Belles » il sera question d’un reportage dans le Wyoming ou le Montana, avec le folklore des gens du coin en fête conviviale repas populaire et concours rodéo – tous des gens qui vont à l’église le dimanche et qui font la prière avant chaque repas- eh bien ce soir là je ferai l’impasse totale de « Échappées Belles » !

     

    C’est que la « culture Trump Américain lambda moyen qui peine à situer la France sur une carte et se tape des bières au saloon du coin en discutant de tout et de n’importe quoi avec ses potes (la revue de tous les potins mis à la sauce de chacun) … Cette « culture » là c’est pas la mienne !

    Et leur « dieu partout » il me gonfle !

     

    Le seul endroit des États Unis d’Amérique, cependant, qui pourrait encore me faire rêver et, peut-être m’inciterait à m’y rendre en voyage, serait la Californie et Los Angelès, car cette partie des USA n’est pas « l’Amérique de Trump » - mais plutôt celle de ce que seront les JO de 2028 à Los Angelès et qui d’une certaine manière (différente certes) « ressemblera » à ce qu’ont été les JO de Paris en 2024…

     

    Cela dit, n’ayant aucun parent fût-ce un cousin éloigné, aucun ami, personne pour m’accueillir à l’aéroport de Los Angelès… Et débarquant avec une valise ou un sac à dos, sans avoir préparé ou organisé à l’avance mon séjour, il ne me resterait plus qu’à héler un taxi – entre 50 et 100 dollars la course – et me faire conduire – pour la première nuit- à la connaissance du chauffeur de taxi, dans un hôtel « bon marché » à disons 150 dollars la nuit sans petit déjeûner…

     

    Après, dès le lendemain, avec l’option internet 4G ou 5G Europe et USA 200 Go mois ; je regarde ma liste d’« amis » sur Facebook, et « miracle » je tombe sur un « ami un peu déjanté sur les bords » qui demeure à Los Angelès, et avec lequel j’échange de temps à autre ; et je lui envoie par Messenger « peux-tu m’héberger » ? (rire)…

     

     

  • Passé 75 ans

    Est-ce que, passé 75 ans, c’est être très limité et « défaitiste » et donc regrettable, est-ce que c’est une « vision rétrécie » à plus de 75 ans, question projets et activités dans un avenir proche ou peu lointain (2 ou 3 ans par exemple) de ne plus rêver de se rendre en Terre de Feu, en Nouvelle Zélande « par ses propres moyens » - et donc pas en « Touropérator » séjour trajet tout compris, c’est- à dire selon ce qui a pu être envisagé « quelques années plus tôt quand on avait seulement 65 ans », avec un billet d’avion Aller Retour en « vol sec », location d’un camping-car à l’aéroport d’Auckland en Nouvelle Zélande ou à Ushuaïa en Argentine, et de crapuhuter par étapes durant un mois… Ce qui « eût coûté » (ou coûterait) bien plus que le prix de 2 vélos électriques de « moyenne gamme » - un pour monsieur, un pour madame…

    C’est que, passé 75 ans, le vélo électrique – autant que possible « pas trop bas de gamme », c’est disons « une option » peut-être plus « facilement envisageable » que de « se prendre la tête pendant 6 mois pour organiser un voyage par ses propres moyens en Terre de Feu ou en Nouvelle Zélande !

     

    D’une manière générale, passé 75 ans, est-ce que c’est « très limité » ou « très restrictif » de ne plus avoir en perspective de projets difficiles à réaliser qui nécessitent de devoir « se prendre beaucoup la tête » pour finaliser ces projets nécéssitant une somme d’énergie, de détermination, de volonté, d’effort ? Et qui exigent de devoir souvent se déplacer loin, de se soummetre à des procédures complexes et contraignantes (souvent d’ailleurs absurdes) dans un monde hyper numérisé formaté réglementé internétisé d’une complexité sans cesse accrue ?

    C’est que de nos jours (et de plus en plus d’une année à l’autre), rouler, stationner en bagnole en grande ville , prendre le train ou l’avion sur un long trajet avec des passages de frontières, réserver pour ceci pour cela, ça devient très « galère » ( de quoi s’énerver, partir en courant, abandonner, ou se révolter )… Et en plus quand il faut se heurter et subir l’agressivité, le mépris, la condescendance de gens peu disposés à te venir en aide… ça rend la galère encore plus insupportable (et l’on ne rêve plus alors que de l’éviter cette galère qui te pourrit la vie et ne t’apporte rien, rien de rien en ce sens que ça te grandit pas, ça te rend pas plus fort ! Au contraire ça te casse !)

     

    Résultat : le jour (chaque jour qui passe) où il n’y a pas un train, un avion à prendre, à aller dans une grande ville en bagnole, à se prendre la tête pour une réservation, pour suivre une procédure complexe, pour « batailler »… Juste à prendre son vélo pour une virée de 40 bornes dans la nature, ou lire un bon bouquin, ne pas être emmerdé par quoi que ce soit qui te pourrit la vie, c’est un jour heureux !

     

    Conclusion qui s’impose : ce monde numérisé, hyper règlementé, de procédures complexes, de contraintes, d’obligations, où il faut savoir faire, maîtriser, réagir très vite… N’est pas fait pour les « vieux »… Ni d’ailleurs pour les malhabiles de 25, 30, 40 ans…

    D’autant plus que les « ceu’s zé celles qui savent faire », te « snobent », te méprisent, te prennent pour un demeuré (et te le font savoir à leur manière et dans une agressivité manifeste ! Et t’éliminent de leurs relations )!

    Et c’est pour ça que, quand leur toiture s’envole ou que leur bagnole est écrabouillée sous un arbre qui tombe, dans une tempête, je ne les plains pas ces enfoirés !

     

     

  • Jeune de 15 ans tué à Poitiers

    À propos de ce jeune de 15 ans tué d’une balle dans la tête, dernièrement, à Poitiers… Que faisait-il à 11h du soir, dehors ?

    Bon sang ! À chaque meurtre par fusillade dans la rue, c’est toujours selon « certains » (toujours les mêmes) : « un pauvre jeune sans histoires qui ne fait de mal à personne » !

    Et des bouquets de fleurs, des bougies et des nounours à l’endroit où est tombé le jeune !

    Et, lorsqu’il est question dans les conversations, de « ce monde que nous allons laisser à nos jeunes »… Qu’en font-ils de ce monde, à 15 ans, eux-mêmes, certains d’entre eux, de ces jeunes « pas forcément les moins favorisés » ?

    Nous les « vieux », bon c’est vrai – en partie vrai- on l’a « salopé » ce monde… Mais « tout salopé que l’on l’a fait », certains de nos jeunes s’y vautrent dedans et le salopent encore davantage !

     

    La shoote, la résalsociassocratie, la smartphonite, le verbe désorthographié dégrammairisé, la pensée et la réflexion en déshérence, le résultat sans l’effort, tout par l’IA, par les applis… Haribo, les drinks, le rapp, la zizique battement cœur de pieuvre, les bagnoles, les thrillers, l’horoscope, le Bac qui ne vaut pas même le certif le plus cool -tout le monde est reçu - les facs qui font des chomdus, des revenus qui ne sont plus ceux du travail, se lever à 11 plomb » du mat, on ne vote plus…

    Alors quand on prend à 15 ans une balle dans la tête à 11h du soir quand c’est pas à 3 plomb’ du mat, dans un endroit « mal famé », ça fait une vie qui mettra pas quarante ou cinquante ans pour se briser menu jusqu’au trou en passant par l’asile ou l’ehpad !

     

    Et l’extrême droite qui veut négocier tout ça ! L’extrême gauche qui parle de liberté à gogo de rien d’interdit de tout permis ! Les Intellos qui s’en mêlent et arrêtent pas de faire des bouquins, les Médias qui chauffent et épicent la sauce, les gouvernements qui font des lois et encore des lois et des quirielles à rallonge d’amendements et de réamendements … Tout ce merdier qui remplit les poches des ultra riches, des lobbys, des consortiums et de leurs actionnaires…

    Est-ce qu’y a du rapp pour dire tout ça ? Non le rapp c’est du racisme anti blanc, de l’anti juif, de la France c’est de la merde et autres provocs ultra violentes, de l’anarchisme crachat !

     

    Et tout ça sur fond toute l’année, de carnaval, de pâképapikpak, d’ascension des as qu’vont en Sion la sauce-y-était- de cons qu’sont en Sion la nouvelle Jérusalemn de la société de consommation mondialisée, de pentecôte, de fêtes des mères des pères des grand-papys des grand-mamies et pourquoi pas tant qu’on y est du lapinou ; du 14 juillet (y paraît qu’y a plus à l’Elysée la sauterie des huppés), du 15 août, de la Toussaint, du Black Friday, de l’Avîn’t, de Noël du jour de l’an… Avec à chaque fois les soldes les promos…

    Non, le rapp il dénonce pas tout ça ou s’il en cause il le rend tout drôle tout marrant tout caricaturant – et il en profite ça remplit ses poches ça fait des vedettes !

    La shoote, la shoote, toujours plus de shoote et de la dure, pour lessiver tout ça ! La shoote en bandes armées qui se livrent à des guerres à mort, un Français sur cinq accro de canabis, de cocaïne et on se fait dealer pour se shooter à gogo, et dealer à 13 ans ou même à 10, ça rapporte cent euro par jour donc à quoi ça sert d’aller à l’école et d’apprendre un boulot si on peut gagner en vendant de la shoote plus qu’en bossant ? D’autant plus qu’il y a plus besoin de savoir lire et écrire pour smartphoner résalsocier !

     

    Poète, écrivain, penseur, témoin de ton temps, tout ça oui si t’es tout ça, et que tu cherches à le faire savoir pour partager, transmettre… Même rappeur si on peut dire… mais rappeur poète écrivain chanteur causeur… Ah mon pote, mon pauvre, t’as aucune chance dans ce monde où on vit, dans l’Amérique de Trump, la France de je sais plus qui et quoi, la narcotrafico mafiosa tout-tout archi tout illicite qui domine le Marché, les milliardaires la bagnole ilectrouque, les casinos, les parcs de jeux, les centres commerciaux, les dictatures, les autocraties, les religions Dieu ou Allah partout, les évangiles, les charias et les morales avec les bien-pensances ; les dinosautres c’est du pipeau, c’est dieu qu’a créé l’monde et toutes les sorcelleries, tous les obscurantismes, gri-gris amulettes and Cie, les pèrnohaux et nounours GIFI made in china… Et j’en passe de quoi faire des vide greniers grands comme cinquante cirques ! T’as aucune chance, mon pote, de faire le moindre carton que ce soit, c’est toi le carton sur lequel on tire !

     

    Et à présent, en ce jour 6 novembre 2024 et pour les années à venir : l’Amérique de Trump qui tire le monde vers le bas !

     

     

  • Mercredi 6 novembre 2024

    Ça y est ! Notre Emmanuel devra donc féliciter Donald Trump avant de lui serrer la main à la prochaine rencontre au sommet entre grandes puissances !

    Une dure réalité s’impose dès aujourd’hui mercredi 6 novembre 2024 et pour les années à venir :

    L’Amérique de Trump tire le monde vers le bas !

    Vers le bas c’est à dire la médiocrité culturelle et relationnelle, tout ce qui fait de notre occidentalisme un monde décadant…

    Ce n’est pas une surprise d’apprendre que les artistes, que les intellectuels, aux USA, ont quasiment tous voté pour Kamala Harris et pour le parti démocrate !