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Journal - Page 111

  • La standardisation dans le prêt à porter

    Pose parfois de réels problèmes, par exemple pour les hommes achetant un pull, un tee-shirt ou un pantalon…

    En effet, pour les tailles « standard » cela va de S à XL voire XXL en passant par M et L…

    Seulement voilà : quand tu es un homme et que tu mesures 1 mètre 70, que tu as le tour du cou ainsi que ta carrure (de poitrine) dans la norme correspondant à une taille de 1 mètre 70 ; il se trouve qu’en vertu du principe selon lequel de nos jours la plupart des hommes « normaux » font environ 1 mètre 80, si tu prends M, oui ça te va pour ta carrure en ce sens qu’aux épaules ça s’ajuste à peu près correctement… Mais comme tu ne fais qu’1 mètre 70, eh bien le pull ou le tee-shirt en longueur, tombe dix centimètres en dessous du point où il devrait normalement et correctement tomber… Et que pour un pantalon il te faut à chaque fois en taille M, faire raccourcir de 5 à 8 cm parce que tu ne mesures pas 1 mètre 80…

     

    Bien heureux donc, les hommes d’1 mètre 80 (majoritaires de nos jours) par rapport à ceux d’1 mètre 70, qui, ainsi, peuvent acheter un pull ou un tee-shirt M voire L qui va « tomber sans paraître trop long », ou un pantalon qu’il ne sera pas nécessaire de faire raccourcir de 5 à 8 cm…

     

    Quand on sait le prix que prend une « retoucheuse » genre boutique « dé à coudre » pour réajuster un vêtement – notamment raccourcir un pantalon… ça devient « galère » pour trouver dans le prêt à porter de ces boutiques toutes les mêmes partout un pull ou un tee-shirt M qui ne tombe pas trop bas ( c’est sûr qu’un S tomberait « au poil » - mais serait en revanche un peu trop étriqué)… Ou un pantalon qui n’aurait pas besoin d’être raccourci de 5 à 8 cm pour un homme d’1 mètre 70…

     

    Quand à la taille L, pour un homme d’ 1 mètre 70, c’est hors de question un pull ou un tee-shirt qui tomberait encore plus bas en supposant que cet homme aurait une forte carrure qui l’inciterait à prendre du L…

     

     

  • L'Odyssée Interstellaire

    Minerva B.jpg

    Sur Arte samedi 12 août 2023 de 20h 50 à 23h30, un exposé très scientifique faisant état d’un projet  « dans les cartons » concernant la consctruction – dans l’espace – d’une gigantesque station, une base de préparation et de lancement de laquelle partirait un vaisseau piloté et géré par intelligence artificielle, à destination d’une planète « qui ressemblerait à la Terre » (Minerva B), située à environ 4,5 années – lumière du système solaire, et qui tournerait autour d’une étoile de même type que notre soleil…

     

    À l’heure actuelle, nul ne sait encore, au sein de la communauté scientifique, quelles seraient les caractéristiques (atmosphère, présence d’eau, nature du sol, etc. …) de cette planète baptisée Minerva B, l’on sait juste qu’elle est rocheuse et se situe dans une zone « propice » au développement de formes de vie éventuelle, c’est à dire à une distance de l’étoile « favorable »…

     

    La construction de cette station ou base, dans l’espace, demanderait environ une centaine d’années, soit le travail devant être effectué par plusieurs générations de scientifiques œuvrant à son élaboration nécessitant des moyens technologiques énormes – et du matériel en conséquence à acheminer…

     

    Le « projet » débuterait vers les années 50 du 21ème siècle et « verrait son achèvement » en … 2157, année durant laquelle serait lancé le vaisseau selon un mode de propulsion à base d’énergie produite par du plasma, de telle sorte, qu’en 25 années d’accélération progressive, la vitesse atteinte serait de 20 % de celle de la lumière, et qu’ensuite durant 25 ans, s’opérerait une décélération tout aussi progressive…

     

    Avec le mode de propulsion et déplacement actuel, les engins qui sortent du système solaire à destination de Proxima du Centaure (l’étoile la plus proche à 4 années lumière de la Terre) se déplaçant à « seulement » 61 000 km/h… Mettraient trente mille ans pour parvenir à une destination (une planète) orbitant autour de Proxima du Centaure… Et devraient devoir utiliser une quantité d’énergie (combustible) absolument énorme, telle que notre galaxie, la Voie Lactée ne peut produire…

     

    Le problème de la propulsion et du déplacement (et de l’accroissement de la vitesse) devrait donc être résolu grâce à l’énergie produite par le plasma, de telle sorte que le vaisseau piloté et géré par intelligence artificielle à destination de Minerva B, ne mettrait plus « que » 50 ans au lieu de 30 000 ans, pour effectuer le « voyage »…

    Ce qui permettrait à ce vaisseau investigateur doté d’appareils de mesure, de se poser sur le sol de Minerva B en… 2207… Si toutes sortes de difficultés, d’aléas, de problèmes rencontrés, toutefois, ne peuvent empêcher ou faire échouer le projet, et l’« atterrissage » sur Minerva B…

    Une planète dont, même en 2200 on ne saura encore rien de déterminant (qui nous intéresse tant)…

     

    Si ce projet voit le jour et s’il s’effectue selon ce qui est prévu… 150 ans en tout pour essayer de savoir si oui ou non il y aurait des formes de vie sur Minerva B à 4,5 années lumière de la Terre… « On risque fort d’être très déçu » une fois « arrivé sur place et les investigations, les mesures effectuées puis transmises à la Terre !

    D’un côté l’aléatoire (vraiment aléatoire)… Et d’un autre côté la somme de travaux, d’activité technologique et scientifique déployés durant le temps de trois ou quatre générations d’humains, absolument énorme, vraiment énorme en regard d’un résultat très incertain !

     

    Cela « me laisse rêveur » et me paraît « surréaliste », démesuré… Et vu sous l’angle de la seule capacité humaine, de la seule intelligence humaine, de la seule vision humaine, purement et seulement humaine !

     

    Quand on sait déjà que 4,5 années lumière, en distance à franchir, ça n’a rien à voir, absolument rien à voir, avec les 2,5 millions d’années lumière qui séparent notre galaxie la Voie Lactée, de la galaxie d’Andromède notre « voisine » ! … Et à plus forte raison avec les 30, 50, 100 millions d’années lumière, qui nous séparent des autres galaxies bien plus lointaines !

     

    L’Odyssée Interstellaire c’est encore du rêve et cela le restera durant bien des générations d’humains… Et les savoirs, les connaissances, la technologie en évolution, aussi gigantesques et novateurs et efficients qu’ils pourraient devenir (qu’ils deviendront certainement) … Seront toujours dépendants des capacités humaines, de l’intelligence humaine…

     

     

  • Opinions, idées et croyances

    Une opinion, une idée, une pensée… Contraire ou opposée à celle que l’on a, d’une chose ou d’une autre ; n’est réellement contestable, ne peut qu’être rejetée et combattue, que lorsqu’elle se caractérise par le déni manifeste de faits et de réalités scientifiquement prouvés, établis… Et cela d’autant plus s’il y a dans le déni, de la bêtise et de l’obstination dans la bêtise…

     

    Ainsi, croire que la Terre est plate, dire que la Norvège est sur l’équateur, que deux plus deux ça fait sept… N’est en aucun cas une idée « acceptable » et « discutable » et « pouvant faire l’objet d’un débat, d’une controverse »…

     

    En face de ce que les preuves et les faits et vérités établis justifient… La croyance, l’idée, que l’on a d’une chose ou d’une autre au-delà de ce qui est manifestement vrai, réel, prouvé … Croyance obstinée et fondée sur une vision des choses et du monde tout à fait personnelle (et ne pouvant, elle, être ni établie ni prouvée)… Est une croyance dont il convient de se défaire si l’on l’a…

     

    La persécution des imbéciles… Des « imbéciles crasse obstinés », des gens qui nient des vérités établies scientifiquement ou par la connaissance et par l’expérimentation, des « théoriciens » de la « Terre creuse », de la « Terre plate » ; le rejet des croyances déraisonnables et il faut le dire souvent dangereuses – en particulier les croyances religieuses assorties de pratiques, d’interdictions, d’obligations, de rites, d’un mode de vie auquel il faut se conformer… Cette persécution là n’est pas « un crime contre l’humanité » (bien au contraire)…

     

    Il est tout à fait évident – et établi- (d’ailleurs l’Histoire le prouve)… Que si les imbéciles – les « imbéciles crasse » - dominent, décident, légifèrent, imposent, ils persécutent bel et bien eux ! Et c’est la raison pour laquelle il ne faut en aucun cas, être « tolérants » envers eux…

    Que les religieux fanatisés et dogmateurs – et « castrateurs »- , que les « théoriciens » de ce qui n’est pas acceptable et constitue un déni des réalités établies par la science et par la connaissance… « Se le tiennent pour dit » ! …

     

     

  • Les œuvres à venir

    Les porteurs de lumière sont davantage préoccupés de l’éclairage de la scène, que de la lumière qu’ils portent en eux…

    L’éclairage les rend plus visibles au public venu les voir en scène, et les magnifie…

    Et toutes les innovations de la technologie du paraître et de l’effet produit, font de l’éclairage, de nos jours, une science plus recherchée que ne le sont en général, demandées et appréciées, les œuvres d’art et de littérature avec leurs contenus et avec leurs clartés…

    Sans doute parce que les innovations de la technologie du paraître et de l’effet produit, rendent la scène où se montrent les acteurs, plus accessible que jadis, à un plus grand nombre de ces porteurs de lumière que beaucoup d’entre nous sont devenus… Mais en vérité, plutôt des prétendants que des porteurs, de lumière ; des prétendants persuadés de la portée de leur rayonnement parce qu’ils ont acquis de la clientèle…

    Et c’est vrai que, sans éclairage, sans ce qu’apportent l’utilisation et la maîtrise de la technologie du paraître et de l’effet produit, la lumière bien réelle portée en soi, si elle existe… Ne peut que “s’exister” elle-même – pour autant qu’elle s’y résolve en “bataillant” – Et n’est pour ainsi dire, quasiment jamais “existée”…

     

    Et… Si les œuvres à venir, si les porteurs de lumière à venir… Parvenaient un jour à être “existé(e)s”, indifférent(e)s qu’ils seraient à l’éclairage, à la technologie du paraître et de l’effet produit ?

     

     

  • Les mots viendront plus tard...

    Le vécu, dans le moment où il se vit, ne s’écrit pas.

    Les mots viendront plus tard mais ils ne seront pas l’exacte photographie de ce qui fut vécu tel jour, dans telle situation et dans tel environnement.

    Écrit-on ce que disent des regards, des doigts qui se touchent, des silences entremêlés?