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Paroles et Visages

  • Les Empapaoutés

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    Il y a dans les « cieux actuaux » cette constellation arc-en-ciel de personnages n’ayant plus le vent en poupe mais pouvant tout de même parvenir à être présents au second tour de prochaines élections – présidentielle, légistative (pour les municipales c’est « une autre affaire »)…

    Tous indigénistes – couscous de l’amitié avec nos amis musulmans – ravageurs de la laïcité- universalistes d’une diversité pluralisme culturel shootés à la cocaïne et aux héroïnoïdes…

     

    Il y a outre cette constellation arc-en-ciel, et qui à l’Assemblée Nationale vote la censure de concert avec le Rassemblement National (l’on reconnaît là ce qu’il y a en commun entre deux constellations en lesquelles l’une et l’autre sont faites des mêmes poussières – et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle un second tour semble joué d’avance avec le résultat quasi évident que l’on subodore) ; toutes ces autres constellations que sont d’une part ce qui reste de la Macronie, et d’autre part une droite qui louche du côté du Rassemblement National, et bien sûr le Rassemblement National lui-même et son allié -frère- cousin – quasi jumeau Reconquête… (Note à propos de Reconquête : « jumeau oui, mais pas du même œuf »)…

     

    Si les deux constellations finalistes du second tour ont en commun les mêmes poussières, en revanche elles n’ont pas en commun les mêmes fluides… Et au RN les indigénistes et les Y-a bon dans le râtelier bien garni pour la volaille goulafe qui fiente sans vergogne sur le tapis, ne sont pas les bienvenus…

    Les fluides au RN en effet sont différents : il y a celui qui porte dans son courant les bardés de milliards qui, déçus d’une Macronie agonisante qui pourtant les défiscalisait, s’agrègent désormais au RN « because » leurs milliards ne seront plus écornés par les aides médicales d’état, les subventions à la Culture, et ce modèle de protection sociale en France à nulle autre pareil dans le monde et qui coûte si cher aux contribuables les mieux pourvus en revenus (épargnant toutefois les très grandes fortunes)… Et il y a aussi au RN le fluide qui porte dans son courant les autoritarismes rétablisseurs de valeurs du genre travail famille patrie (mais sans ascenseur social), la religion catholique dans ses traditions ancestrales sensée contrer l’islamisme envahissant, des polices plus dissuasives, et, « pour plus tard parce que c’est pas au programme encore » quelques « coups de canif dans le contrat » à la démocratie et aux libertés (vous m’direz « des coups d’canif dans l’contrat y’en a déjà de faits et des qui font mal) – c’est vrai…

     

    Alors dans tout ça vous comprenez… Le bulletiin dans l’urne et surtout lequel, ça va être difficile, un vrai dilemme !

     

    « J’imagine » (on peut rêver)… Un parti « Nouvelle Gauche Révolutionnaire » (qui n’a jamais existé et n’existera sans doute jamais) … Genre «  la religion aux orties – au moins virulent dans les trèfles, les milliardaires et les actionnaires à la Grand Caisse Générale, les voyous, les caïds, les influenceurs, les vedettes de youtube (surtout les rappeurs anti France anti Blancs ultra violents) aux poubelles et le feu aux poubelles, les antisémites et les islamistes hors circuit, la volaille goulafe désarrogantisée et un peu sinon beaucoup moins gavée, les indigénistes et les fana ou pro diversités culturelles n’importe quoi n’importe comment sans talent ou d’un talent supposé boosté, déventempoupéïsés »…

     

    Une Gauche qui sache remettre en scène l’idée de Nation, reparler de Nation au peuple, comme au temps de la 1ère République (la Convention) de 1792, avec cette réalité (qui est autant celle de 1792 que d’aujourd’hui) de la Patrie en danger » (le danger étant Trump-Poutine-Xi Jinping – l’intelligence artificielle au profit des lobbys et des milliardaires)…

     

    Le (l’un des grands torts de la Gauche) c’est d’avoir laissé s’approprier l’idée de Nation (et le drapeau Français d’ailleurs) par le Rassemblement National et par son allié Reconquête. « Comme par hasard » lorsque vous voyez à une fenêtre (ou planté haut dans le jardin) un drapeau tricolre bleu blanc rouge – notre drapeau national – le plus souvent pour ne pas dire quasi tout le temps, c’est chez quelqu’un qui vote RN ou qui a une forte sympathie pour le RN…

    Et à ce sujet, du drapeau de la France, il faut tout de même reconnaître que le Chiraquisme, le Sarkozysme, le Hollandisme et la Macronie… Tout cela précédé du Gaullisme, du Pompidolisme, du Giscardisme et du Mitterrandisme… Ont toujours mis à l’honneur, quant à eux tous, le drapeau de la République Française, à leur manière bien sûr mais sans récupération ostentatoire et aussi nettement marquée comme le fait le RN… (et il en est de même pour la Marseillaise (que beaucoup de gens de gauche et des progressistes – ainsi que des « bizounours » effrayés par la vue du sang ; accusent d’avoir dans un couplet « qu’un sang impur abreuve nos sillons »)… Or, pour ma part j’adhère entièrement à ce « sang impur qui abreuve nos sillons » parce que le sang impur c’est celui de ceux qui veulent notre peau, qui veulent nous détruire, nous voir disparaître ! Et qu’il faut combattre avec la plus grande détermination, volonté et énergie ! Dans le même esprit qu’au moment de la création de la 1ère République de 1792 !

     

  • Deux visions du monde et de la société radicalement différentes et inconciliables

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    Rappel :

     

    Elon Musk : multi milliardaire, entrepreneur et ancien conseiller du président des États Unis d’Amérique

     

    Hannah Arendt : née le 4 octobre 1906, morte le 4 décembre 1975, Américaine d’origine Allemande, politologue, philosophe et journaliste

     

    Deux visions radicalement différentes et inconciliables, de telle sorte que l’on peut distinguer – en gros – deux catégories de personnes partout dans le monde :

     

    D’une part celle des personnes « voyant comme Elon Musk »

    Et d’autre part celle des personnes « voyant comme Hannah Arendt »

     

    Mais en réalité ce n’est pas aussi simple que cela, du fait qu’il y a en chacun d’entre nous plusieurs tendances différentes le plus souvent diversement réparties, qui peuvent se combattre, s’équilibrer, s’associer aussi parfois, ou se compléter, et tout cela avec des nuances…

     

    Tout dépend en fait, de la capacité de réflexion, d’analyse, d’observation, de gestion en soi, de ses émotions, de tout ce qui nous vient de l’environnement en lequel on vit (famille, relations, milieu social, éducation, vécu personnel, culture, croyances, convictions ancrées en soi…) et encore dans son environnement tout ce qui est véhiculé (propos, opinions des autres, courants de pensée qui circulent, influences exercées) et, à tout ce que nous vient de l’extérieur de nous-mêmes il y a aussi tout ce qui vient de l’intérieur de nous-même, comme inné en nous, inclus dans notre personnalité, en lien avec les lignées d’ancêtres qui nous précèdent et nous ont transmis une part de ce qui leur était propre à eux, à chacun d’entre eux depuis des millénaires et des millénaires…

     

    Et c’est tout cela ( le « du dehors » et le « du dedans » ) qu’il faut parvenir à gérer, ce qui, assurément est toujours très difficile… Tellement difficile qu’à vrai dire – et c’est bien là une réalité- nous gérons « plus souvent mal que pour le mieux »… Peut-être, au fond, les personnes qui ont en elles de la bonté (une bonté qui ne « se laisse pas piétiner ») réussissent-elles un peu mieux que les autres à gérer… (D’ailleurs, ces personnes là, d’une bonté qui ne se laisse jamais piétiner, n’ont pas conscience quelles gérent : elles gèrent tout bonnement, sans savoir qu’elles gèrent)…

     

     

  • Le Prix Goncourt c'est quoi?

    Il serait intéréssant de connaître les critères d’attribution d’un prix Goncourt autres que celui le plus évident à savoir le nombre d’exemplaires attendu pouvant être achetés, ce nombre étant en moyenne pour chaque prix Goncourt attribué entre 2019 et 2023, de , pour chacune de ces années, 577 000 exemplaires…

     

    Un chiffre donc, de 577 000 exemplaires vendus par an, à rapprocher de chacun des 10 livres considérés comme étant un « phénomène éditorial très attendu » au moment de leur sortie, de leur parution dans les différents points de vente…

     

    En effet pour chacun de ces 10 « best-sellers » dans les 5 premières semaines (ou le premier mois) ce sont 250 000 exemplaires vendus soit environ 700 000 en 3 mois (la saison de la parution)… Mais ensuite plus on s’achemine vers la fin de l’année (année date à date), au mieux l’on arrive à 1 million et « au moins mieux » l’on arrive à égaler ou à se rapprocher de ce qu’a rapporté en nombre d’acheteurs le prix Goncourt…

     

    De cette constatation, l’on peut en déduire en ce qui concerne l’attribution du prix Goncourt, que, si le nombre d’exemplaires attendu est de 400 000 ou plus (en promesse pour l’auteur et en terme de succès commercial), demeure sans doute le critère principal, il n’est pas pour autant le seul critère d’attribution…

     

    Prenons le livre de Laurent Mauvignier « La maison vide » prix Goncourt 2025 : ce n’est point là – à mon sens – un livre qui « colle » au profil moyen du lecteur lambda, lequel lecteur lambda privilégie, porte son choix sur en général des romans de littérture populaire tels que tous ces romans à succès (environ 200 ou 300) présents dans les rayons des libraires, des grandes surfaces commerciales, des maisons de la presse…

     

    « La maison vide » de Laurent Mauvignier, appartient au genre littéraire « Nouveau Roman » (Editions de Minuit en effet, maison créée au milieu du 20 ème siècle, s’était spécialisée à l’origine dans ce genre littéraire du Nouveau Roman, genre apparu 15 ou 20 ans avant 1950 mais aucun écrivain, aucun romancier dans ce genre là avant 1950, n’intéréssait les maisons d’édition de l’époque… Jusqu’au jour où les Editions de Minuit prirent le risque de publier ces écrivains, ces auteurs (et firent leur promotion – et ça a marché)…

     

    Le Nouveau Roman l’on y adhère ou l’on n’y adhère pas…

    Et les lecteurs qui y adhèrent – surtout de nos jours – sont une minorité dans l’ensemble…

    Dans le Nouveau Roman il n’y a pas -ou très peu – de dialogue, le texte est dense, compact, les phrases souvent longues, un effort de lecture s’avère nécéssaire lorsque s’enchaînent des pages et des pages comportant peu d’espace de séparation entre les paragraphes (et donc, peu d’aération)…

     

    Il faut dire que le livre de Laurent Mauvignier « La maison vide » - quelque 750 pages- est, dans le Nouveau Roman, un véritable défi lancé à ce qui caractérise le Nouveau Roman : il arrive par son contenu, par la nature de son récit, par les personnages évoqués, par l’atmosphère qui se dégage des situations détaillées et analysées, à intéresser le lecteur (pour autant que ce lecteur cependant ne se limite pas au seul roman de littérature populaire)… Et l’intérêt porté (pour La maison vide) se trouve soutenu par une fluidité du texte qui compense sa densité et « allège » l’effort de lecture…

     

    Mais il est clair que ce livre « ne colle pas au profil du lecteur lambda moyen » et que – à mon sens – sur les cinq cents et quelques mille d’exemplaires qui seront probablement vendus en un an, beaucoup seront achetés avec pour principale motivation la renommée du Prix Goncourt… Mais en réalité pas lus ou tout juste lus les 30 premières pages (ou « survolés une page ou l’autre »…

     

    L’esprit du temps, la « culture » et les critères et valeurs et orientations de notre époque de gabegie de consommation, axée sur l’argent, sur le paraître, sur l’élimination en partie la plus large possible du travail et de l’effort, sur la facilité, sur l’accessibilité dans l’immédiat, sur l’individualisme… Tout cela ne joue pas en faveur de ce qui ressort de « la maison vide » de Laurent Mauvignier… En termes de richesse de langage, de style, de contenu, de finesse d’analyse, de pensée, de grammaire, de vocabulaire, d’une part… Et en termes de considération de ce que fut telle époque d’un passé révolu, occulté, oublié, d’autre part…

     

    Le « défi » lancé par l’auteur, avec ce livre, est de taille ! ( Je pense qu’il est gérable, ce défi, et que des fruits en sortiront – dans une France qui n’a pas dit son dernier mot, (la « France qui va bien ») une France qui résiste à se laisser laminer sous le rouleau compresseur de l’économie de consommation marchande de produits et de services)…

     

     

     

  • Réflexion du jour, dimanche 16 novembre 2025

    Lors de la cérémonie de commémoration des attentats du 13 novembre 2015, indépendamment de ce que l’on peut penser de cette cérémonie et de ce qu’elle fut dans sa réalité du moment…

    Dix ans après le drame – 132 victimes et plus de 400 blessés dont certains très lourdement handicapés – n’a pas été invitée TOUTE la classe politique : élus et personnalités du RN n’étaient pas invités alors qu’ils représentent le tiers des Français…

     

    Pardon de vous le dire, gouvernants et autorités en place en 2025, qui, par le biais des médias, des plateaux télé de débats et de forums, contribuent à la montée du RN  d’une part ; mais d’autre part déclarent combattre le RN ; avec un tel comportement qui consiste lors de la cérémonie commémorative des attentats du 13 novembre 2015 à ne pas inviter d’élus et de représentants du RN (et idem pour d’autres cérémonies commémoratives relatives à l’élimination dans les camps de la mort de 75 000 Juifs Français entre 1942 et 1945), vous prenez bien là une décision contre-productive en ce sens qu’en « stigmatisant » un parti (le RN) que vous jugez implicitement « indigne », vous ne pouvez ainsi que le grandir, ce parti (le RN) aux yeux de non seulement le tiers des Français mais d’autres encore qui vont le rejoindre le jour du vote en 2027 ou avant…

     

    Un état républicain et démocratique ne peut pas fonctionner ainsi et pourtant c’est bien ainsi qu’il fonctionne – et qui lui fait perdre son statut d’état républicain et démocratique… Ou, plus dans la réalité du temps : qui lui fait prendre l’apparence d’un état républicain et démocratique… (C’est en effet une question d’apparence, autant pour les partis de gauche, de droite, de centre et du RN)

     

    Et à l’apparence s’associent l’hypocrisie, le non dit, le calcul… La « danse des canards », le « cinéma à 2 balles », la « télécrassie », les promesses, les discours… Et la gabegie, les désordres, les haines, la mise en coupe réglée des richesses du pays au profit d’une minorité, l’avion moins cher que le train, le « klaxomerdage » des automobilistes rageurs et impatients, le tout chinetoque dans les GIFI, le poulet brésilien… Qui tout ça ensemble et en même temps haut et fort dénoncé par tout le monde et véhiculé par les médias (mais moins par les médias le rackett des ultra riches)… Rend invisible la France qui va bien, c’est à dire plus de la moitié de la pomme !

     

    Allez dans un village Vosgien, dans un bourg des Ardennes, dans un quartier de ville moyenne dans les Landes ou en Corrèze, et vous la verrez de vos yeux, la France qui va bien ! Et, dans cette France là, on ne regarde pas quel bulletin de vote les gens mettent dans l’urne ! Et, cette France là, le RN ne la changera pas, elle résistera au RN en dépit du bulletion mis dans l’urne, à sa manière tout comme elle a résisté de tout le meilleur de ses habitants à toutes les scoumounes qui se sont évertuées à lui puer le nez  sans y parvenir vraiment depuis Pétain et avant Pétain jusqu’à même avant 1789 …

     

     

  • Bruits et paroles

    « Des paroles et des bruits entendus, et qui nous ont pénétrés, peut-être à notre insu, remuent en nous un monde ignoré de nous-mêmes. »

     

    [ René Boylesve ]

     

    C’est la citation qui figure juste avant le prologue, dans le livre de Laurent Mauvignier, « La maison vide », Prix Goncourt 2025.

     

    Ces paroles et ces bruits entendus sont ceux que des enfants, que des adolescents reçoivent de leurs parents, notamment de leur mère ou de leur père lorsque ces derniers se séparent dans la violence et dans le drame, et qui, inévitablement les pénètrent ; certes pas à leur insu ces paroles et ces bruits entendus parce qu’ils les touchent directement en influençant leur pensée et leur comportement à l’égard d’un père – ou d’une mère- qu’ils jugent indigne et ne veulent plus voir…

     

    Mais il en est d’autres de ces paroles et de ces bruits, ceux-là peut-être à leur insu parce que dans la réalité et dans la sensibilité dramatique de la situation vécue dans le moment ils n’en ont pas conscience, qui leur viennent du plus profond, du plus intériorisé d’eux-mêmes, et qui les pénètrent aussi, remuant en eux ce monde ignoré -ou méconnu- qui est celui qui se trouve en eux-mêmes mais aussi celui de leur père, de leur mère, dont ils ne savent que ce qui leur a été dit, raconté ; que ce qui a été vécu auprès de leur père et de leur mère avant que ces derniers ne se séparent…

     

    Ces paroles et ces bruits entendus en eux ne sont pas forcément ceux qui révèlent, ils sont à vrai dire intuitifs, ils « soulèvent un voile » et surtout, le plus souvent, ils viennent « après » (parfois longtemps après)…

     

    Tout enfant, tout adolescent, et cela quel que soit l’environnement familial dans lequel il vit entre son père et sa mère et les autres membres de sa famille, et aussi importante que soit exercée sur lui l’influence d’une mère, d’un père, d’un proche (l’un ou l’autre des grands-parents, un oncle, une tante)… Porte en lui quelque chose d’inviolable, qui lui est intime et particulier, et qui ne peut être investi ; et ; de ce quelque chose là, viendront les paroles et les bruits entendus qui le pénètreront, remuant le monde ignoré en lui, ainsi que ,le monde ignoré de ce père, de cette mère dont ils ne savent qu’une partie de leur histoire – et d’avant leur histoire…

     

    Non seulement un enfant ou un adolescent, mais encore toute personne porte en elle une part d’intime, d’inviolable, ne pouvant être investie, aussi influencée, soumise, conditionnée qu’elle soit cette personne, par l’environnement familial, sociétal, relationnel, exerçant sur elle une pression très forte et la rendant dépendante, sa liberté écrasée… Et c’est cette part là, si réduite, si petite soit-elle, qu’il faut parvenir à atteindre – sans effraction- et qui va d’elle-même « s’allumer »… Même si le « feu » a du mal, tant de mal à prendre… Et une fois pris, le feu ne s’éteindra plus…