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Journal - Page 64

  • La France des événements climatiques qui impactent la valeur des biens immobiliers

    C’est une réalité : les biens immobiliers – en général les maisons individuelles de construction ancienne – de plus de 20 ans – ou de construction récente, en l’état où elles se trouvent au moment de la transaction entre le vendeur et l’acheteur, ou rénovées et réaménagées, situées dans les zones à risque, perdent de leur valeur, de 5 à 45 % selon les risques lorsqu’il en existe plusieurs conjointement, et selon l’état dans lequel se trouve l’habitation déjà impactée une ou plusieurs fois…

    Comme l’on peut le constater sur cette carte (en cliquant sur le lien dans le texte)  toutes les régions sont impactées, car inondations à répétition, feux de forêt étendus, chaleur et sécheresse, tempêtes, cyclones, fonte des glaciers en montagne, affaissements de terrain et éboulements, coulées de boues, occasionnent plusieurs sortes de dégâts – aux murs, aux fondations, aux toitures, sans compter l’intérieur des habitations…

    Rares et peu étendues vont devenir les zones « relativement mieux protégées » qui elles, pour un temps verront le prix des biens immobiliers augmenter du fait de la demande croissante pour habiter dans ces zones mieux protégées…

     

    https://www.lerevenu.com/investir-immobilier/prix-et-tendances/changement-climatique-menaces-votre-patrimoine-immobilier/

     

    Dans toutes les zones – citadines et rurales- en France, situées entre 100 mètres et jusqu’à 10km d’un cours d’eau – rivière ou fleuve – au cours des 18 derniers mois, donc depuis mars/avril 2023, le prix du mètre carré construit ou constructible a baissé en moyenne de 4,5 %…

     

    Mais combien de personnes – de 30/40 ans ou de 60/70 ans – dans notre pays, quelque soit l’endroit habité, croient encore « dur comme fer » que leur maison, leur appartement, même habitable sans transformations ou rénovation, va continuer à prendre de la valeur et « tablent » sur une vente « avantageuse » et sont en conséquence préoccupées au point d’en faire leur priorité dans la vie, de l’aménagement et de l’entretien de leur maison ? Un assez grand nombre d’entre nous – et que les événements climatiques dévastateurs semblent ne point perturber outre mesure (jusqu’au jour où à leur tour ils seront impactés eux-mêmes)…

     

    Des jeunes ou d’encore jeunes reprochent à leurs aînés – leurs parents- de « ne rien faire pour mettre aux nouvelles normes, pour améliorer, rénover, leur maison dans laquelle ils vivent en l’état où se trouve cette maison » et ainsi, déplorent que la maison dont ils vont hériter « ne vaudra plus rien » ! « Qu’ils aillent se faire cuire un œuf (et même la douzaine), ces futurs héritiers ! D’autant plus – il faut le dire- si ce sont des héritiers indirects, des petits-enfants adoptifs, de vagues cousins ou neveux, tous plus ou moins vivant avec un conjoint ou un concubin « venu de l’autre bout de la planète » et qui a « les dents longues »…

    Merde alors, « se crever le cul » à valoriser, faire aux normes, réparer, embellir, agrandir et y passer des heures et des jours de bricolage, de boulot… Pour que finalement « tout parte en javel » ou qu’un clampin quelconque fasse « choux gras » de « hardes récupérées » après avoir foutu en déchetterie (vide maison) tout le fourbi ! Avec les « beaux écrits, les beaux dessins, les « trésors » de petits souvenirs émouvants du Vieux, de la Vielle, des Vieux ! C’est la vérité tout ça ! Tout part en javel ! Alors l’héritage, vous m’en direz tant !

     

    Dans le fond, c’est peut-être dramatique le changement climatique et les dévastations, mais « ça remet les pendules à l’heure » ! Avec des aiguilles qui risquent de plus bouger d’un iota ! (rire insolent, sardonique, iconoclaste)…

     

    Vos critiques, les uns les autres, je les attend pas ! Je sais d’avance ce qu’elles sont ! Je leur fais un « bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude » ! … Mais j’ai tout de même dans l’idée qu’un certain nombre d’entre vous sera d’accord avec moi !

    Ces belles propriétés et ces somptueuses demeures, en Floride, de gens très riches, ravagées, ruinées par l’ouragan Milton… Je ne compatis nullement !

     

    Et comment se fait-il que la Russie n’est jamais affectée par de violents événements climatiques dévastateurs ? Serait-ce dû au fait que dans toute la longueur du continent Asiatique, s’étirent de hautes chaînes de montagne dont celle de l’Himalaya et de l’Altaï, qui arrêteraient les systèmes dépressionnaires, formations d’ouragans, lesquels systèmes ne parviendraient pas à atteindre les grandes plaines russes et sibériennes ?

     

     

     

     

  • Ce qui vieillit en nous ...

    « Ce qui vieillit en nous, c’est le logement. Le locataire ne vieillit pas »… [Charles Gounod, compositeur Français, 1818-1893]

     

    En effet, selon Charles Gounod, le « logement » c’est en quelque sorte « l’étui » » c’est à dire le corps, ou « l’emballage » (charnel)…

     

    Sauf que… Dans le cas du logement au sens de « habitation » ou de « maison », lorsque meurt le locataire – ou le propriétaire- le logement (maison) survit… Mais il faut dire aussi que le logement qui survit est celui qui a été bâti pour durer, où le locataire a payé un loyer qui lui a coûté chaque mois entre la moitié et le tiers de son revenu mensuel ; ou que le propriétaire a mis vingt ans de sa vie à payer…

    Et que les maisons, les immeubles, ont pour « yeux », des fenêtres seulement mouillées par la pluie, et le locataire ou le propriétaire quant à lui, disparu et enseveli dans la tombe, ou incinéré, fait des yeux, les yeux de ses proches, de ses amis et de ses connaissances, qui sont comme des « fenêtres » mouillées… De larmes…

    Les maisons peuvent se dévaloriser, s’abîmer, voire parfois même être détruites sous l’effet d’un violent événement climatique, mais assez souvent elles survivent en leur état tel quel ou en l’état où elles sont devenues, rénovées… Ce qu’il y a de sûr c’est que leurs fenêtres ne sont jamais comme des yeux qui pleurent, les maisons n’ont en effet jamais de chagrins…

    Les gens, oui, ils ont des chagrins…

    C’est à la fois « marrant et tragique » et, à mon sens, « surréaliste », de constater à quel point les gens sont attachés à leurs biens, notamment à la maison qu’ils habitent et ne cessent d’embellir, de valoriser, d’aménager, de doter de nouveaux équipements, mobiliers, d’agrandir – une ou deux pièces de plus… Tout cela est bien beau mais… Les ans « caracolant » - au-delà des 70/80 – un jour ou l’autre « quitter tout cela » pour « finir » en EHPAD… Ou entrer dans le tombeau en laissant tout en plan… Et sachant que les enfants vont vendre, faire vider « tout le fourbi »… Ce n’est guère « très enthousiasmant » !

     

    Mais bon… Y’a pas que les maisons… Y’a aussi « les œuvres de sa vie » sous quelque forme que ce soit… Qui, peut-être seront évoquées – un temps - par les amis, les connaissances, les proches… Mais que le cours de l’Histoire emportera et diluera dans l’immensité de tout ce qui s’est fait sur cette Terre depuis les Solutréens, les Magdaléniens…

     

     

  • Une union, un pays

    Une union – un mariage- n’est durable qu’à deux conditions aussi essentielles l’une que l’autre :

    - La réciprocité absolue dans ce que ressent, éprouve, l’un pour l’autre, et avec la même intensité, les mêmes besoins, les mêmes aspirations… Cela quelque soient par ailleurs, les différences…

    - L’accueil – heureux et bienveillant - des parents et de la famille de l’un pour l’autre…

     

    En effet, s’il n’y a pas tout à fait ou s’il y a seulement en partie, la réciprocité ; la durée de l’union est compromise et d’autant plus brève si c’est surtout l’un qui est plus « aimant » que l’autre…

    Ainsi l’un – ou l’autre – n’aime pas « pour les deux » car il n’est pas « dans l’autre » …

    Dans la réciprocité aucun des deux n’est « dans la peau de l’autre » -c’est vrai… Mais il y a ce même élan vers l’autre qui, au plus près le rapproche et le lie à lui…

    Quant à l’accueil de l’un ou de l’autre par les parents, par la famille de l’un ou de l’autre ; s’il est « mitigé » ou inamical et s’il ne fait pas lien (et lien durable) ; alors un jour ou l’autre l’union se défera… Ou si, à la limite elle dure, elle deviendra et demeurera difficile…

     

    Il en est exactement de même pour une personne venue d’un autre pays qui entre dans un pays où désormais, pour un temps ou pour toujours, cette personne va vivre :

    -La réciprocité entre ce qui motive une personne « venue d’ailleurs » à s’installer dans le pays où elle arrive, et ce qui motive le pays accueillant à voir s’installer cette personne « venue d’ailleurs »…

    -L’accueil – heureux et bienveillant- du pays où vient vivre la personne « venue d’ailleurs »…

     

    Cela dit, dans une union – un mariage – entre deux personnes de pays – ou de régions- différents ; l’un, en épousant l’autre, épouse pour ainsi dire, le pays -ou la région – de l’autre…

    Car l’environnement – de famille, de connaissances, d’amis, de pays, de région – de l’un, se joint à l’environnement de l’autre… Et du lien s’ajoute et se lie au lien existant… Selon la loi naturelle, intemporelle, universelle, « cosmique » en quelque sorte, qui régit le principe de la relation entre les êtres et les choses dans cet univers de 13,7 milliards d’années et de tant de galaxies, de tant de mondes aussi différents et uniques les uns que les autres…

     

     

  • Les papéthèques

    Papéthèque.jpg

    Seraient-elles en diminution dans nos villes, en France, en Europe… Ces boutiques proposant des articles d’écriture, de cahiers, de carnets à couvertures reliées, de beaux stylos à plume… ?

     

    « J’imagine » - enfin c’est une supposition qui me vient (je ne sais dans quelle mesure c’est fondé) – que de nos jours, surtout depuis le développement des réseaux sociaux, des blogs, des sites personnels ; du numérique, des fichiers Open Office et Word, des espaces de stockage en ligne, de l’écriture au clavier sur les ordinateurs et sur les smartphones, de la messagerie électronique, de Messenger, Whatshapp, et de Teams (nouveau)…

     

    J’imagine que l’écriture sur papier, au crayon, au stylo plume, stylo bille, aurait tendance à peu à peu cesser d’être pratiquée et qu’en conséquence de moins en moins de gens se rendent en papéthèque pour acheter un beau stylo, un joli carnet relié, du papier à lettres stylisé, décoré…

    Pour ma part, je le reconnais, depuis une dizaine d’années – c’est un fait- je n’utilise plus du tout de carnet pour rédaction au crayon ou au stylo, de notes, de textes, d’anecdotes… C’est donc avec « samsung notes » sur mon smartphone, que je prends des notes, que je transcris « au pied levé » - dans l’instant vécu – des réflexions, des pensées ou en deux lignes, que je note un thème que je veux développer plus tard…

     

    Et depuis que j’écris – au quotidien- pour ainsi dire à 95 % au clavier, que je n’achète plus de timbre à la Poste, que je n’écris plus de « vraie lettre à la main » pas même une carte postale… Lorsqu’il m’arrive d’écrire avec un crayon, un stylo, je forme mes lettres, mes mots, mes phrases, davantage sur le modèle des caractères d’imprimerie que selon mon écriture de jadis…

     

    Et en ce qui concerne l’écriture manuscrite des majuscules, aujourd’hui je l’avoue, je suis totalement incapable de former comme autrefois à l’école des années 1950/1960, de belles lettres bien ampoulées bien calligraphiées ! Aussi, les majuscules à la main, je les fais en caractères d’imprimerie…

     

    Donc « pour être franc et net » mes chers lecteurs et amis et connaissances et proches… Pour mon anniversaire ne pensez jamais à mon intention, à un « beau stylo plume » ni à un « joli carnet relié de cuir » ni à « tout un attirail d’écriture » ! Je ne me sers plus du tout de tout ça !

    Certains me diront – je ne vais pas les contredire ni me fâcher avec eux - « c’est bien dommage ! »…

     

    Franchement, entre nous… La belle lettre du genre « monument de littérature » que la Poste met plusieurs jours à faire parvenir à son destinataire… C’est « un peu frustrant » non, surtout que cette lettre, si on veut la dupliquer et envoyer la même à plusieurs de ses connaissances, au troisième carbone c’est à peine lisible (et 3 fois seulement c’est loin, très loin, d’être 10, 20, 50, 100 voire 1000 fois à autant de personnes différentes, et cela dans l’instant même avec internet!)

     

    Enfin il y a un inconvénient non négligeable à cesser d’écrire à la main, c’est qu’à force de lire de l’imprimé, sur les ordinateurs, sur les smartphones où tout est rédigé au clavier, l’on en arrive à ne plus pouvoir déchiffrer (lire) des documents, des lettres, des textes écrits à la main… Par exemple un texte de Marcel Proust, ou d’Albert Camus, de Rabelais, de François Villon… Entre autres… Manuscrit (de leur écriture personnelle) ça devient très difficile et au bout de cinq minutes d’effort de lecture, tu lâches prise !

     

    C’est la raison pour laquelle dans les musées, les centres historiques ou d’archives, les documents qui sont présentés aussi intéressants qu’ils soient, écrits manuscrits, c’est vraiment le « parcours du combattant » !

     

     

  • Mayotte

    Durant le festival international de géographie à Saint Dié, s’est tenue samedi 5 octobre 2024 de 14h 15 à 15h, à l’IUT studio Alice Guy, cette conférence : « Mayotte récupérer les sols, normaliser la ville »…

    Des projets urbains à Mayotte, 101ème département Français depuis 2011, se multiplient afin de répondre à l’objectif de développement du département.

    Mais ces projets entrent en conflit avec le droit coutumier local…

     

    Mayotte (j’y suis allé en 2014 du 28 janvier au 25 février), Mayotte -dis-je- « me gonfle » !

    Les Mahorais pour une grande partie d’entre eux, ont des « emplois fictifs » en ce sens qu’ils sont « officiellement » employés de préfecture, ou dans une administration, sont censés exercer une activité -avec des horaires- mais… En fait, perçoivent un salaire sans la moindre heure de présence, sans la moindre activité, demeurant chez eux et vacant à toutes sortes d’activités personnelles…

     

    Mayotte est donc « un gouffre financier » pour le budget de la France, de l’argent dépensé en pure perte pour payer des gens à ne rien faire !

    Et les Mahorais, pour compléter des revenus sans travailler, louent des bouts de terrain qu’ils occupent selon le « droit coutumier » sur lesquels ils installent des « baraquements » de fortune, habitats précaires réalisés avec des matériaux de récupération ( toiles, tôles, planches, tissus divers, branches d’arbres) – j’appelais cela en 2014 des « torchiottes » - et c’est sur ces bouts de terrains que s’entassent les migrants venus des Comores, vivant dans la boue, au milieu des ordures ; les sols sont souvent en pente et ravinés par les pluies torrentielles… Et, sur quelques mètres carrés loués, 30 ou 40 euro par mois, des familles avec plusieurs enfants vivent là, sans aucune hygiène…

    Ce sont ces terrains là, loués aux migrants par les Mahorais, que veulent récupérer les promoteurs immobiliers, sous couvert de « développement urbain et d’aménagement du territoire à Mayotte »… Un scandale et une hypocrisie manifestes !

     

    Les Mahorais hommes pour beaucoup d’entre eux, dont certains tout de même sont dans l’Enseignement (parce que aucun jeune métropolitain on s’en doute, ne veut venir professeur des écoles à Mayotte!), hommes Mahorais donc, âgés de 25 à 50 ans, remplissent des charters (avions) de « baiseurs de putes » à destination de Diégo Suarez à Madagascar située à une heure de vol de Mayotte (Diégo Suarez bars et restaurants et hôtels à « putes » - des jeunes filles à peine pubères)…

     

    Et, « pour couronner le tout » les Mahorais ont voté en masse Rassemblement National lors des élections législatives des 30 juin et 7 juillet 2024 ! … Quel « remerciement » pour la France « si généreuse » à leur égard !

    En 2011 si Mayotte est devenue un département Français, c’est sur la volonté des Mahorais qui tous, ont voté oui au rattachement à la France « à cause des aides sociales » ! Donc par pur intérêt !

    Qu’on ne me parle pas de Mayotte ! Une « poubelle » à ciel ouvert !

     

    Toutefois… Selon le principe suivant lequel « tout n’est pas noir » , des Mahorais il faut dire, exercent de « vrais emplois » notamment dans le commerce, dans l’artisanat, et aussi dans l’administratif territorial, dans l’enseignement… Et ne louent pas de « torchiottes » aux migrants sur des bouts de terrain qui peuvent leur appartenir selon le droit coutumier local… Et ne prennent point place dans les avions à destination de Diégo Suarez pour aller « baiser des putes »…

    Cela dit, Mayotte a fait l’objet d’un reportage, le 24 septembre 2024, à « Echappées Belles »…

    Et « peut-être » - oui peut-être… Y’a-t-il un jeune professeur des Ecoles, quelque part en France, qui, débutant dans l’Enseignement, très idéaliste et fervent croyant en sa mission éducative en milieu difficile, volontaire pour un poste à Mayotte – À Kangani, par exemple, ou en périphérie de Mamoudzou à proximité de « torchiottes » à perte de vue…

     

    Pour en revenir à Echappées Belles, c’est vrai que cette émission, tous les samedis soirs sur France 3 (deux épisodes de 1h 30 chacun) « met l’accent » et « valorise au mieux » ce à quoi l’on peut croire… Notamment avec ces séquences de convivialité autour d’une préparation culinaire locale (rire)…

     

    Ainsi « Mayotte mon ennemour » devient-il « Mayotte mon amour » ! … Mais « Mayotte mon amour » coûte tout de même la « bagatelle » de 1,5 à 1,7 milliard d’euro par an, à la France ! … Et ne rapporte rien en contrepartie, à la France…

     

    Ce jeune enseignant idéaliste et fervent de sa mission éducative, qui débarque à l’aéroport de Pamandzi (Petite Ile Dzaoudzi) et parvient à se loger dans une résidence de Mamoudzou, s’il se rend seul à la plage la plus proche, il faut qu’il aille « à poil » donc sans rien sur lui, sinon il se fait tout voler même la serviette, et son smartphone enfoui dans le sable près de sa serviette, il ne le retrouve pas…

    À Mayotte, on ouvre les coffres des voitures en stationnement, afin de s’emparer du cric avec lequel on écarte les barres de fer devant les portes et les fenêtres ; on défonce à la masse des pans de murs pour faire une brèche et entrer dans les maisons…

    L’on écartèle des chats dont on projette les dépouilles sur des pare brises, l’on pend des chiens à des lampadaires ! (Ça, tu le vois pas à « Echappées Belles »)…