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Journal - Page 64

  • Grammaire, orthographe, langage et typographie

    S’il y a des règles de grammaire et d’orthographe, il y a aussi des règles de typographie.

     

    Sur les réseaux sociaux notamment Facebook, Twitter, Instagram, pour les zones texte aucune barre outil comportant « gras, italique, souligné, justifié... » ne figure, de telle sorte qu’il n’est pas possible de présenter un texte « rédigé comme il se doit » selon les règles « de base » c’est dire le texte devant apparaître en mode « justifié » et, éventuellement selon la manière dont le rédacteur du texte souhaite s’exprimer en présentant des mots, des phrases en caractères gras, en italique, ou souligné ou encore même en couleur…

     

    En effet, outre (le principal) l’observance des règles de grammaire et d’orthographe, la présentation d’un texte tapé au clavier, a son importance… Et donc, présenter un texte « dans les règles de l’art », devrait être pris en compte par celui ou celle qui « poste » et diffuse afin d’être lu par ses amis ou personnes qui le suivent…

     

    Les créateurs et concepteurs, à l’origine, de « grands réseaux sociaux » tels que Facebook (Marc Zuckerberg) se sont « apparemment fort peu soucié » de la manière dont les utilisateurs s’exprimeraient ( un outil simple à utiliser avec le moins de règles possible, pour tous, et « bonjour l’orthographe, la grammaire, et les règles de typographie » - on fait dans le « tout venant » on « ratisse large »!)…

    Résultat : « on voit -on lit- ce que l’on voit, en l’état où c’est présenté c’est à dire en se « foutant des règles » déjà d’orthographe et de grammaire, et de présentation de ce que l’on exprime…

    Regrettable !

    Mais oh combien « universalisé » quelque soit la langue, le pays, et même le « milieu social »…

    Simplification réduction nivellement accessibilité à tous – et sans aucun effort à fournir…

    Même des « intellectuels », des « personnalités », des écrivains, des journalistes, des gens ayant eu des « formations universitaires » du genre BAC plus 5… Optent pour le « sens commun »…

     

    Il y a bien par exemple, « YayText » qui permettrait, dans la zone texte de Facebook, de mettre des mots ou des phrases en gras, en italique, souligné… Mais « YayText » à vrai dire « n’est pas l’idéal loin s’en faut » (trop basique et peu pratique à utiliser, avec choix limités). Donc, tant pis pour Facebook on y poste comme c’est prévu point barre ! (ce qui est un « gros moins » pour les nuances, pour la présentation – ne reste que les guillemets, les points de suspension… Et « quelques formules personnelles dans le contexte »)…

     

    Heureusement, pour les blogs, les sites et les forums de « forumactif notamment », les zones texte comportent des « barre outils » de traitement de texte… Mais la plupart des utilisateurs, membres de forums, auteurs de blogs ou de sites, n’utilisent presque jamais la barre outil, et postent « comme ils parlent à brûle pourpoint » sans se soucier de quelque règle que ce soit !

     

    Ainsi va le monde (l’univers) de la communication, de nos jours ! Alors que tout le monde sur cette planète « va à l’école » (sauf les petites filles chez les Talibans), que tout le monde « voit tout sur tout » en instantané et peut avec un smartphone ou un ordinateur, se faire entendre à vingt mille kilomètres de là où il se trouve !…

     

     

  • Anévrisme : information

    L’une des causes les plus fréquentes de décès subit – et rapide – (il y en a malheureusement plusieurs de ces causes, toutes aussi fréquentes les unes que les autres), c’est celle de la rupture d’un anévrisme.

     

    Il y a – le plus fréquent- la rupture d’un anévrisme de l’aorte abdominale en deux endroits (ou trois) possibles : l’un situé juste avant la bifurcation vers les deux artères iliaques, et l’autre – ou les deux autres – sur l’une et ou l’autre des deux artères iliaques.

    Si l’anévrisme présent – souvent depuis plusieurs années – situé avant la bifurcation, a un diamètre maximum inférieur à 50 millimètres, et si celui situé après la bifurcation sur l’une des deux artères iliaques, a un diamètre maximum inférieur à 30 millimètres, alors le risque de dècès par rupture d’anévrisme est de l’ordre de 1 à 5 % et en fonction de l’âge de la personne (quoique…)

     

    En revanche, dès lors que le diamètre de l’anévrisme dépasse 50 millimètres avant la bifurcation et 30 millimètres sur l’une des deux artères iliaques, le risque de rupture devient beaucoup plus important (surtout si d’une année sur l’autre le diamètre progresse de 0,5 millimètre ou plus)…

     

    Un scanner ou une IRM permet de voir en détail sur tout son parcours, l’aorte abdominale et les deux artères iliaques, et donc, on voit l’anévrisme qui, analysé sur un logiciel du médecin spécialiste (chirurgie vasculaire) est mesuré au demi millimètre près…

     

    De nos jours, pour traiter un anévrisme « dangereux », on introduit par les deux artères fémorales, une endoprothèse qui se fixe à l’intérieur de l’aorte et en même temps sur les deux artères iliaques dans la zone de bifurcation, ce qui a pour effet de canaliser le débit sanguin par l’endoprothèse (une sorte de petit « tuyau »), et ainsi, le risque de rupture de l’anévrisme est éliminé…

     

    Le problème c’est que beaucoup de personnes autant hommes que femmes, n’ont encore jamais passé de scanner ou d’IRM de leur vie (en général on passe un scanner ou une IRM, assez souvent, pour cause de suspicion d’un cancer)…

    Ces personnes, nombreuses, ne savent pas si oui ou non elles ont un anévrisme (lequel est souvent détecté quand on passe un scanner ou une IRM pour une raison tout autre que celle de voir s’il y a un anévrisme)… Et c’est ce qui explique pourquoi on meurt d’une rupture d’anévrisme…

     

    D’autre part, l’image de l’aorte et des deux artères présente des zones blanc-gris ; plus c’est blanc ça veut dire qu’il y a des calcifications, la paroi de l’artère est dure (mais cela n’a aucune incidence sur une fragilité éventuelle de la paroi de l’artère).

     

    Mais il y a aussi, quasiment aussi fréquent que pour l’aorte abdominale, le même risque de rupture d’anévrisme dans le cerveau, avec une veine ou une artère importante irrigant des zones du cerveau…

    Là aussi, un scanner ou une IRM – mais du cerveau – permet de voir si oui ou non il y a un anévrisme (et d’en mesurer l’évolution d’une année sur l’autre)… Mais le problème pour le cerveau, c’est qu’au niveau élimination du risque, il est difficile voire inenvisageable d’introduire, comme dans l’aorte abdominale, une endoprothèse (peut-être par opération?)

     

     

  • Mise en mémoire des coordonnées bancaires

    Le fait du renouvellement automatique par mise en mémoire des coordonnées bancaires lors d’achat en ligne, de reconduction d’abonnement (tout cela sécurisé bien sûr)… Implique – du fait également – que la carte de paiement au bout de 4 ans est invalidée et remplacée (nouveau cryptogramme), que l’opération d’achat ou de renouvellement d’abonnement, ne soit pas prise en compte…

    C’est la raison pour laquelle il est préférable lors d’une opération de paiement en ligne, de ne pas demander à ce que soit mémorisées les coordonnées de la carte, quitte, à chaque fois, de devoir saisir toutes les coordonnées une à une…

    D’un côté il y a cet avantage grâce auquel à échéance de la carte un paiement que l’on ne souhaite pas renouveler soit invalidé ; mais d’un autre côté si l’on tient à ce que le paiement soit pris en compte (par exemple pour un renouvellement de version pro de son site, de son compte de généalogie, de son Microsoft Word Office 365, de l’achat d’un e-book à la FNAC pour sa liseuse, ou autre très utilitaire dont on se sert souvent), il vaut mieux à chaque fois, resaisir la totalité des coordonnées de la carte, une à une, afin de ne pas avoir de « mauvaise surprise »…

     

  • JO 2024

    Si les JO de Paris 2024 au mois d’Août cœur de la saison touristique sont gâchés par des « problèmes de société » du genre manifestations contestataires, violences urbaines, dégradations de bâtiments et de commerces, de l’insécurité ambiante… Bien que n’étant pas du tout un fan de ces Jeux et de cette grande messe sportive qui a lieu tous les quatre ans, et qu’effectivement ces JO à Paris risquent d’être un gâchis… Je ne me réjouis pas pour autant qu’il en soit ainsi, un gâchis…

    Peut-être pourra – t -on compter sur une majorité (même « relative ») de Parisiens et de Français qui, organisateurs, spectateurs, acteurs, participants, témoins etc. … Auront à cœur que « cela se déroule au mieux possible »…

    Ne serait-ce que pour « l’image de la France dans le monde »…

     

     

  • Les écrivains d'aujourd'hui

    « Ce qu’il y a de plus insupportable, chez les écrivains d’aujourd’hui, ce n’est pas qu’ils soient incapables de montrer notre monde, c’est qu’ils l’approuvent.

    Seul le désaccord absolu avec la société actuelle, permet de la décrire tout en donnant la sensation au lecteur qu’il la découvre »…

     

    [ Philippe Muray ]

     

    En effet, les écrivains d’aujourd’hui, pour bon nombre d’entre eux, décrivent notre monde à leur manière et le font d’ailleurs avec talent en usant de leurs formulations qui impactent, saisissent et retiennent l’attention du lecteur, suscitent de l’émotion…

    Il faut cependant dire qu’avec le développement de l’intelligence artificielle, du numérique et de la robotique… Et avec les « nègres littéraires » qui œuvrent « dans l’ombre » …

    Le « travail » d’écriture est facilité – voire même inexistant – pour quelques « auteurs » visionnant et appréhendant le monde tel qu’il est, mais demeurant dans l’incapacité par eux-mêmes, de décrire le monde… (Ce sont des imposteurs ces « écrivains » là)…

    Qu’ils le fassent avec talent ou par quelque artifice, ils sont quasiment tous dans le monde d’aujourd’hui, les écrivains, surtout ceux qui sont reconnus, des « chantres » de l’ordre établi, d’un « système » en place auquel ils adhèrent par intérêt, pour ce que cela leur rapporte…

    Si le « désaccord absolu avec la société actuelle » exprimé par quelques rares écrivains, donne la sensation au lecteur qu’il découvre en son état de déliquescence la société actuelle, il ne motive pas pour autant le lecteur à agir, à combattre, à changer cette « intériorité » en lui qui le fait être dans le monde (mais seulement être)…

    Et l’auteur lui-même, tout comme son lecteur, que fait-il de l’intériorité qui est en lui, la change-t-il vraiment ?

    Le Verbe se fait chantre alors que sa vocation est de se faire moteur…