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  • La Culture en berne... Mais aussi en déshérence

    La Culture est en berne faute de budgets rétrécis mais les festivals d’été, gros et petits, pullulent et attirent des foules…

    Les plus gros, ceux d’Avignon pour le théâtre – en « in et en off » - de La Rochelle avec les Franco-folies, de Belfort avec les Eurokéennes, d’Aurillac du Théâtre et des Artistes de la rue, de Musicalarue à Luxey dans les Landes…

    Jusqu’aux plus petits un peu partout en France, les uns n’étant que d’importants marchés locaux et festifs avec diverses animations de musique et de danse sur fond de fête foraine, les autres plus « thématiques »…

     

    La gratuité – de certains de ces festivals- entrée et spectacles, n’est plus de mise – du moins pour la plupart d’entre eux – les billets d’année en année devenant de plus en plus chers – de l’ordre de 20 à 50 euros ou davantage selon l’importance et selon la notoriété du festival ; billets s’achetant en majorité par internet… Il faut dire qu’avec la réduction des budgets et des subventions – de l’État, de la Région – le financement repose désormais en grande partie sur le nombre d’entrées payantes et donc sur les spectateurs – les festivaliers…

     

    Ils ont tous – en gros- les mêmes caractéristiques, ces grands et petits « festivaux » :

     

    Toute une « constellation » d’artistes et de producteurs dont le succès a surtout été assuré par Youtube – des milliers de « followers » - tous « anti système », de « Gauche du Grand Soir », anti extrême droite (ça oui, j’adhère), mais « pro palestine libre » et « très couscous de l’amitié avec nos amis musulmans » - mais cela dit, y’a pas un seul musulman dans le festival- tous (les chanteurs et les musiciens) créateurs d’albums plébiscités sur les réseaux sociaux, et les autres, tous les autres (comédiens, artistes de scène publique, peintres, amuseurs, comiques, caricaturistes, culturistes de « haute voltige » splendidement musclés), héros du jour sur Instagram et sur Facebook…

     

    Et toutes ces « constellations » d’artistes et de « créateurs » - notez les guillemets parce que souvent la « création » est soutenue par la technologie et par l’Intelligence Artificielle – voisine avec toute une jeunesse et une « moins jeunesse » (des rassis – la cinquantaine confortable fringuée aux modes nouvelles et branchée – anti Rassemblement National, pro Macron ou pro Multi Gauche, parfois LR ou Modem… Jusqu’à même ceux de ces « rassis » - aux revenus mensuels confortables- qui se posent en « intellectuels anarchistes » (« pseudo anarchistes en vérité »)… Et qui presque tous « ont publié en ligne » quelque roman ou essai – ou publié à compte d’auteur…

     

    Tout ce monde là accro de dope – haschish, marijuana, cocaïne – ou vape fruitée ou clope de contrebande ; souvent alcoolisée, guincheuse en « boîte à ciel ouvert », tous et toutes,deux, trois fois concubinés ou remariés ou re-avec quelqu’un…

     

    Les festivals les festivaux – de nos récents et prochains étés – sont faits de « tout ce monde là » artistes et festivaliers confondus… Vivant à mille lieues du « commun des mortels » qui lui, par millions dans notre pays la France, passe sa vie à « galérer » dans son travail, ses soucis d’arriver à la fin du mois, ses problèmes de santé, ses drames, ses déboires et qui lui, n’est pas sur Youtube, n’écrit pas de bouquin (bon c’est vrai, il se shoote aussi, vape, pinte, clope aussi… Mais pas dans le même état d’esprit que les « in et les off » des festivaux !)

     

    La « nouveauté » - phénomène récent de société qui va s’accroître dans les prochaines années – ce sont ces bandes de casseurs, ces déchaînements de violence, qui viennent perturber tous ces « festivaux » notamment à partir d’une certaine heure dans la nuit… Et qui se sont substituées, ces bandes de casseurs et de perturbateurs ultra violents, aux punks et aux marginaux à chiens que l’on voyait avant 2020, et qui eux, « ne faisaient de mal à personne » (juste qu’on les trouvait gênants)…

     

     

  • GPA et PMA

    Gabriel Attal – il ne doit pas être le seul – envisage de proposer la légalisation de la GPA (gestation par autrui - l’« autrui » ne pouvant être qu’une femme… Et en bon iconoclaste que je suis je dirais « autruie » en pensant à une truie qui serait inséminée par du sperme – reste à savoir combien de temps alors durerait la gestation d’un bébé humain « mâtiné de cochon » dans le ventre d’une truie… Peut-être que, vu les similitudes organiques (même appareil digestif, intelligence « comparable » entre l’humain et le porc) « ça prendrait »… (rire)…

    Déjà « on voit d’un bon œil » la PMA ( procréation médicalement assistée) qui serait « moins immorable » et donc « plus acceptable » que la GPA…

    Jusque dans le dernier quart du 20ème siècle – et pour « dire les choses sans risquer de se tromper » - au 19ème siècle et avant – on peut « remonter jusqu’aux Solutréens qui vivaient dans des cavernes en Dordogne il y a vingt mille ans »… Quand une femme ne pouvait avoir de bébé, qu’un couple devait se résoudre à passer sa vie sans enfant (stérilité de l’un ou de l’autre)… C’était inéluctable, « il fallait s’y faire », c’était comme de naître avec un pied bot ou avec une infirmité de naissance avec laquelle on passait sa vie… « Point barre »…

    Et si « vraiment/vraiment » on voulait quand-même/quand-même un gosse, eh bien on en adoptait un…

    On ne « forçait pas la nature »…

    Bon, cela dit… « En bon iconoclaste que je suis »… « Gestation par une truie » ça implique que la truie sera forcément désintéréssée ( et qu’elle ne portera pas le bébé humain « mâtiné de cochon » pour de l’argent, comme le ferait peut-être pour ne pas dire sans doute une mère Sri-lankaise)… (re-rire)…

    Tiens - « re-re-rire encore »… Pour un musulman – même modéré – la gestation par une truie c’est le summum du Péché ! (bien pire qu’un couscous au porc!)…