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culture

  • La culture en danger

    En 1982 à Mexico, s’était tenue une conférence mondiale sur les politiques culturelles, dont il ressortait cette définition la plus juste et la plus complète de la culture :

     

    « La culture dans son sens le plus large, est considérée comme l’ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l’être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. »

     

    Depuis le début des années 1990 – mais il faut dire- après une « gestation » d’une vingtaine d’années, ont émergé deux grands courants ou deux visions, de la culture :

     

    L’un issu de l’économie de marché de la consommation, qui privilégie la rentabilité, produit des spectacles (notamment de télévision et aussi de cinéma), des programmes et des festivités, de la littérature « grand public », selon les intérêts, selon les ambitions, selon les projets de société qui sont ceux des géants du monde de l’industrie, de la finance et du numérique…

     

    L’autre est issu de ce qui, dans la société – en France notamment mais aussi dans le monde – a changé depuis le printemps de 1968 aux USA puis en Europe, avant de se propager partout dans un monde qui s’est pour ainsi dire « occidentalisé dans les modes de vie »…

    Ce courant là, de culture, indirectement, sert aussi les intérêts des géants du monde de l’industrie, de la finance et du numérique ; c’est celui par exemple, de ces nouveaux ruraux, de ces pseudos écolos, qui en majorité d’entre eux sont de la génération des « rassis » (jeunes retraités) plus ou moins « financièrement à l’aise », les clientèles de Décathlon et des grands festivals -Avignon, Francofolies, Eurokéennes… Trentenaires, quadragénères et jeunes adultes et adolescents dont beaucoup sont des consommateurs de canabis et de cocaïne…

    L’on y trouve encore dans ce courant là, accessoirement, des artisans locaux du genre producteurs d’herbes aromatiques, de miel, de toutes sortes de produits gastronomiques, de fromage de chèvre, de fabricants d’objets de décoration et ou utilitaitres, de « petites troupes théâtrales en tissu associatif »…

     

    Ces deux courants ou ces deux visions de la culture – dans l’ordre présent du monde (et dans l’ordre à venir) – ne correspondent plus à cette définition de la culture telle que celle définie en 1982 à Mexico…

     

    Parce que, d’une part, les traits distinctifs d’une société, d’un peuple, d’un pays, ou d’un groupe social ou encore d’une personne en particulier, ont été lissés, arasés, formatés ; et que les droits fondamentaux ont été laissés de côté, et que les valeurs ont été dépréciées, par l’économie de marché de la consommantion dirigé par les géants de l’industrie, de la finance et du numérique…

     

    Et que d’autre part, toutes les « gauches et opposition bon-teint » du monde ont fait de la culture un « wagon de saltimbanques accroché à un train qui roule pour la Grande Compagnie »… Et que bien sûr dans le wagon de saltimbanques, les personnages ont et gardent leurs traits distinctifs…

     

    Les exigences accrues de la Grande Compagnie contribuent à la disparition des traits distinctifs lorsque ces derniers ne « font plus recette » et surtout lorsqu’ils dérangent…

     

     

  • Condition humaine

    Depuis les années 1980 et ensuite au-delà des années 1990 et 2000 dans un accroissement exponentiel, nous voyons se développer, partout dans le monde, dans quasiment tous les milieux sociaux y compris les moins favorisés d’entre eux ; une dynamique qui s’articule et s’organise sur une culture de la satisfaction personnelle, individualiste, consumériste, avec l’apparition chez les jeunes enfants, de plus en plus tôt en âge – jusqu’aux bébés- de « besoins formatés » par le marqueting, la publicité ; dans une culture éducative ( des écoles, des collèges, des lycées, des universités, des enseignants, des intervenants dans les activités sportives et autres qui encadrent la jeunesse) qui privilégie le développement personnel, plus que la transmission des savoirs…

    Dans une société devenant de plus en plus inégalitaire – dans la réalité même de ce que deviennent et de comment se creusent ces inégalités – et, tout à fait paradoxalement dans cette même société très inégale où cependant « prennent le pas » des « idéologies égalitaristes fortement mâtinées de progressisme sociétal » qui prétendent « niveler » les inégalités plutôt il faut dire, par le bas que par le haut ; il en résulte que de nombreux jeunes – enfants et adolescents- perdent leurs repères, ainsi éduqués depuis « après mai 1968 », et, « ne se sentant pas bien dans leur peau – et dans leur tête- » dans cette société devenue ce qu’elle est ; par réaction pour bon nombre d’entre eux, versent dans la violence…

    Comment parvenir à un équilibre – ou en une gestion au mieux, en soi – entre d’une part tout ce qui nous met en colère, nous horrifie, que l’on dénonce parfois dans une violence extrême, qui nous fanatise jusqu’à vouloir son élimination à tout prix, nous rend dépendants de l’opinion majoritaire, conditionne nos comportements dans le sens de ce qui est commun, qui ne tient compte que des apparences… Et d’autre part ce qui « intérieurement » nous éclaire et nous porte à nous questionner, à nous libérer de cette violence et de cette dureté en nous, fondées sur ce que nous ressentons et dont nous sommes dépendants ?

    Parvenir à cet équilibre là, est-ce une gageure ?

    Lorsque l’on voit par exemple, autour de soi, dans les hôpitaux, en visite d’un ami ou d’un proche hospitalisé, ou lors d’une consultation externe, poussées sur des fauteuils roulants des personnes lourdement handicapées, l’on est alors bouleversé d’apercevoir ainsi diminuées, réduites à l’immobilité, ces personnes dans l’état où elles se trouvent (c’est ce que je ressens moi-même à la vue de ces personnes)…

    En face, à la vue, d’une personne handicapée, diminuée physiquement, et entourée d’appareils médicaux, en milieu hospitalier… Une réflexion sur le sens de la vie, sur le sens de nos comportements, sur la nature et sur la justification oui ou non de nos besoins – et lesquels de ces besoins…, sur le sens de la relation humaine, sur ce qui est essentiel et sur ce qui ne l’est pas, sur ce qui est peut être l’œuvre de notre vie, sur ce qui concerne nos aspirations, nos projets, sur tout ce qui fait notre « intériorité », sur tout ce dont nous dépendons « par la force des choses » ou mû par notre volonté propre… Ne nous vient-elle pas alors ?



  • La crise de la culture

    C’est dans son ouvrage « La crise de la culture » publié en 1961, que Hannah Arendt, philosophe, née en 1906 et disparue en 1975, a écrit cette phrase :

     

    « La société de masse ne veut pas la culture mais des loisirs »…

     

    En 1961 dans la France d’alors, avec depuis 1958 le général De gaulle président de la République, nous étions au commencement de cette époque appellée « les trente glorieuses » avec la voiture, la télévision, l’électro ménager, et Salut les Copains… Et les premiers supermarchés dans les villes de moyenne importance… Il a fallu tout de même attendre 1969 pour voir autour de Paris, les six premiers Carrefour Géants – suivis des Mamouths… Et, en 1972, deux « Mac Donalds » à Paris dont un aux Champs Elysées et l’autre boulevard Saint Michel… Il y avait déjà depuis 1967 les « Wimpy » (premiers lieux de restauration rapide)…

    Les cinémas commençaient à pulluler surtout à Paris avec des salles « spécialisées » (dans tel genre de film) et les productions, d’une semaine à l’autre, s’enchaînaient, se diversifiaient… En province à peine un mois après Paris, sortaient en salles les « premières exclusivités »…

     

    Cependant en 1961 – encore – et cela depuis le début des années 1950 et avant, depuis 1881 ; l’Ecole de la République – dans la quelle je n’inclue pas l’école de la France du Maréchal Pétain de 1940 à 1944 (qui n’a pas été durant quatre ans l’École de la République) combattait les obscurantismes et privilégiait l’aquisition et la maîtrise des savoirs…

     

    De nos jours, avec les loisirs « internetisés et résalsociés », les GIFI, les Discount, NETFIX, Disney Land, les vacances à la neige, les piscines familiales en KIT, le Leasing, IKEA, le foot, les fringues, les SUV, et pour les « tout-petits » les livres de dinosaures et « apprendre en s’amusant »… Les obscurantismes ont écrasé et zappé la réflexion, réduit le « penser par soi-même » en « penser selon ce qui doit se croire et se savoir, selon l’opinion qui domine »… Et, de 5 à 30 ans, on ne sait plus ni l’Histoire ni la Géographie de son pays et, alors que nos dictionnaires Larousse et Robert font état de cent mille mots, l’on ne se sert pour s’exprimer, au quotidien, que de 500 mots dont on dénature le sens de certains de ces 500 mots ; l’on écrit « j’ai regarder » et il faut que « ce soit court à lire » (c’est pourquoi TIK-TOK et Instagram (et Twitter) c’est mieux que Facebook, que les blogs, que les forums…

     

     

    Sale temps pour les écrivains, les poètes et les penseurs… Sauf pour les auteurs de « best-sellers » et de Grands Succés de la saison dont les livres finissent dans les « boîtes à livres » et les « vide-grenier/vide maison »…

    Sans compter que dans tout ça, Dieu et Allah sont toujours invoqués et surtout invités dans l’Espace Public…

     

    Et merde ! Même les anarchistes avec leurs fringues de cirque et leurs pétards et leurs gnôles et leur rap et leurs musiques tam -tam- cœur- de- pieuvre… Qui se sont coltinés à la chierie du monde !

     

    Toute « reconnaissance » acceptée (et d’ailleurs mine de rien attendue) des « officiants de la chierie du monde » à l’égard des réfractaires déclarés bras d’honneur brandi, est « une forme de compromission » avec la chierie du monde !

    Quitte à le brandir haut et fort, le bras d’honneur à s’en bleuir le creux du coude, autant le brandir sans espérer « mine de rien » quoique ce soit de « gratifiant et de référentiel » de la part de chacun de tous les « crétins de la Haute » d’une part, et de tout un chacun autour de soi, d’autre part !

    Oui, la zappe quasi totale ! Tant pis ! Anarchistes et contestataires empapaoutés dans la chierie du monde ! Bien pensants, bien dans le consensus la crevette qui pue le sexe sale !

    Piétiné le nounours ! Pied-au-culté les Pèrenohaux ! Et le lapinou, et le toutou exotique avec son pompon au cou !

     

     

  • La culture : un produit de l'Homme

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    À noter – avant toute chose – que l’Homme – avec un « h » majuscule – est l’être humain… En effet, par exemple en langue germanique l’homme est « der Mann » et l’être humain « das Mensch »… Donc en langue française, l’Homme est à la fois « homme et femme » et « homme » sans majuscule à « h », c’est l’homme…

    La culture est donc, en langue française, un produit de l’Homme…

    « ... j'écris toujours. Que faire d'autre ? C'est mon habitude et puis c'est mon métier. Longtemps j'ai pris ma plume pour une épée : à présent je connais notre impuissance. N'importe : je fais, je ferai des livres ; il en faut ; cela sert tout de même. La culture ne sauve rien ni personne, elle ne justifie pas. Mais c'est un produit de l'homme : il s'y projette, s'y reconnaît ; seul ce miroir critique lui offre son image. Du reste, ce vieux bâtiment ruineux, mon imposture, c'est aussi mon caractère : on se défait d'une névrose, on ne se guérit pas de soi. »

    Jean-Paul Sartre — Les Mots (1964)

     

    « Écrire » pour celui ou celle qui fait tout au long de sa vie, « œuvre d’écriture », ne peut essentiellement être QUE « prendre sa plume pour une épée » ( ou pour une arme )… Il y a en effet, une certaine impuissance à mener quelque combat que ce soit, pour une idée, pour une cause, par exemple dans un but humanitaire, ou encore « afin de rendre meilleurs les autres et - autant que possible, ce qui est plus difficile - soi-même »… En guerroyant par les mots contre l’inacceptable, contre ce qui détruit, contre ce qui violente, contre la vulgarité, contre l’ordre établi, contre l’opinion qui prévaut, contre des certitudes portées en soi que l’on parvient à relativiserTout cela sur fond de morale, de « pensée juste », de pertinence de la réflexion, d’ouverture sur le monde, et de bien d’autres choses mises en avant, clamées haut et fort et érigées en barricades devant le Mal…

     

    En ce sens donc, la culture ne sauve rien ni personne… Cependant le combat que l’on peut mener – que d’ailleurs beaucoup mènent et qui ne sont pas forcément des intellectuels, des artistes, des écrivains- n’est jamais, à aucun moment, inutile, vain ou « perdu d’avance »… Puisqu’il est, ce combat, l’une des composantes essentielles, intemporelles, immuables de l’« ordre du monde et de l’univers » au même titre que la dureté du monde (du monde humain, du monde des êtres vivants), dureté elle aussi immuable, intemporelle… Dureté qui ne peut qu’être « intégrée » dans l’entendement humain (dans la compréhension et dans l’appréhension du monde par l’humain)…

     

    Sans intégration consciente, réelle, profonde, de la dureté du monde et de ses « lois d’airain »… Il ne peut y avoir devant soi qu’un « miroir » qui n’a de cesse de projeter dans notre intériorité, tout ce que le réfléchissement de la lumière par le miroir, « filtre pour notre gouverne personnelle »…

     

    Le pire, c’est lorsque, dans un refus en soi, de l’intégration de la dureté du monde par la vision que l’on se fait du monde, l’on en arrive à faire courir les autres autour de soi derrière l’ « étendard » de la morale et de la « cause décrétée juste »… Ce qui est de l’imposture, imposture d’autant plus grande du fait du refus de l’intégration en soi de sa propre dureté…

    Le pire aussi, c’est lorsque, ne parvenant pas à intégrer la dureté du monde, l’on s’évertue dans un effort de « croyance messianique et propagandiste » à « cultéïser » l’ouverture aux autres, la complaisance, la bienveillance, la tolérance (pouvant aller jusqu’à l’acceptation de l’inacceptable)…

     

    « J’écris toujours » … En effet pour un écrivain, ou plus généralement pour qui « fait œuvre d’écriture » tout au long de sa vie ; que faire d’autre qu’écrire, inlassablement, jour après jour et passant parfois par des moments d’épuisement ? Sinon, autant que possible, de « relier » son écriture à de l’action, à du comportement ; à éviter en somme, l’imposture ?

     

    « On ne se guérit pas de soi »… Que guérir, en fait, de soi ? De ce qui nous nuit, de ce qui infirme ce que l’on exprime, pourtant « au plus juste » et avec autant de détermination, de volonté de bien faire ? Alors même que ce qui nous nuit et infime ce que l’on exprime, nous le portons en nous bien que refusant de l’intégrer…

     

     

  • Le 21ème siècle serait-il une "déviation" du 20ème siècle ?

    La culture, les représentations artistiques – peinture, graphisme, dessin, architecture, sculpture, bandes dessinées, mangas, musique ; la littérature - roman, essai, poésie… Ainsi que les acteurs – principaux et tous autres – de la culture, des représentations artistiques et de la littérature…

    Mais aussi – et peut-être plus encore – l’ensemble des activités humaines…

    Au 21ème siècle…

    Pourrait-il tout cela, être défini ou appréhendé ou perçu comme étant une déviation de tout ce qui a existé au 20ème siècle ?

    Question pouvant être posée différemment : le 20 ème siècle n’a-t-il pas préparé, et parfois préfiguré dans ses activités humaines, dans ses représentations artistiques, dans sa culture et dans sa littérature, ce qui allait surgir et exister au 21ème siècle ?

    Tous les acteurs de tous les mouvements culturels et artistiques du 20ème siècle ont disparu – mais pas leurs œuvres – du moins pour ceux et celles de tous ces acteurs de la vie culturelle et artistique ayant « marqué » leur époque… Le plus « significatif » dans l’histoire étant, en musique et chanson, tous les grands succès notamment des années 1960, 1970, 1980, sans cesse repris, interprétés, dans les manifestations festives populaires, les bals et les fêtes… Que l’immense diversité et prolixité de tout ce qui se produit en musique et chanson de nos jours – depuis la fin du 20ème siècle- n’arrive pas à faire disparaître de la Scène ou à reléguer en coulisse ?

    Quoi qu’il en soit… De l’évolution de la culture et des arts… De toute l’Histoire, c’est le 20ème siècle qui, de loin, a été le plus marqué par les guerres, les génocides, les holocaustes… Si l’on « compare » le 20 ème siècle à partir de 1914 jusqu’à sa fin en l’an 2000 en passant par les années 1940-1945 de la seconde guerre mondiale , au premier quart du 21ème siècle qui, disons – le tout net , ne voit plus comme en 1914/1918 et comme en 1940/1945, mourir des dizaines de millions de personnes… (la « grande inconnue » cependant, est celle du nombre de morts à venir en cas de nouveau conflit mondial)…

    Sans doute les grandes guerres et conflits, les horreurs, les génocides, les holocaustes… Et leurs conséquences humaines dans la vie des gens et de leurs activités (dont les activités artistiques et culturelles)… Ont-ils impacté le 20 ème siècle artistique et culturel , et en quelque sorte alimenté, inspiré, « empli le fond du Tableau » des acteurs, au 20ème siècle, de la vie artistique et culturelle…

    Cela dit, le 21 ème siècle n’ayant – pas encore- vu autant de dizaines de millions de morts dans des guerres et conflits, a tout de même déjà vu des changements radicaux dans les modes de vie, notamment avec l’arrivée d’internet et des technologies du numérique, de la robotique et de l’intelligence artificielle… Et en ce sens, l’on peut davantage parler d’évolution plutôt que de déviation en matière d’art et de culture…



    Cependant, au 20ème siècle, avec l’avènement de la TSF, de l’aviation, de l’automobile, de la traction électrique dans les Chemins de Fer, du transistor, de la télévision, du cinéma, de la machine à laver, du frigidaire, de l’électrophone et de l’électronique… La vie quotidienne des Français avait déjà changé par rapport à ce qu’elle était au 19ème siècle… Toutes ces innovations ont d’ailleurs eu un impact sur la vie intellectuelle, artistique, culturelle, inspirant de nombreux acteurs dans les domaines de l’art et de la littérature… Contribuant et préfigurant ainsi à ce qui allait en quelque sorte dévier au 21ème siècle… Mais dévier tout en évoluant et en se diversifiant dans une prolixité en laquelle le « commun des mortels » peine à identifier, à reconnaître ce qui « sort des sentiers battus » (et n’est donc pas une déviation de ce qui se réalisait, se produisait, au 20ème siècle mais une réelle évolution)…