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Paroles et Visages - Page 8

  • Travail et retraite

    Travail et retraite.jpg

    Image de gauche :

    Si ce Français qui n’a jamais travaillé est une Française donc une femme, et que cette femme, mariée jeune a passé sa vie à élever des enfants et à tenir une maison, trouvez-vous « indécent » que cette femme perçoive le minimum vieillesse de 1012 euro par mois ? D’autant plus que ce revenu de 1012 euro par mois n’est versé qu’à l’âge de 67 ans – au lieu de 65 avant- et bientôt, qu’à 69 ans lorsque la retraite ne sera versée qu’à 64 ans ?

     

    Image de droite :

    Et que dire, alors, des actionnaires – certains n’ayant pas même 40 ans – (certes, des actionnaires privilégiés) , qui – travaillant ou pas – perçoivent des dividendes « annuaux » de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers d’euros ?

    Et que dire aussi, de ces « actionnaires forcés » qui se voient prélevé sur un SMIC une centaine d’euro par mois pour « constitution d’un capital » sur 30 ou 40 ans de travail en tant que salarié(e) d’une entreprise côtée en bourse ?

     

    « Moralité » de l’affaire :

    Si minimum vieillesse, RSA et aides sociales font l’objet de quelques abus – la nature humaine étant ce qu’elle est – et arrivent parfois à être presque aussi élevés qu’en travaillant à temps complet… Ils permettent cependant à un certain nombre de personnes qui elles, n’abusent pas et aspirent à travailler, de ne pas tomber dans une misère comparable à celle d’un Malgache, d’un Haïtien ou d’un Bangladi…

    Cela dit, tous ces « pauvres » qui reçoivent de l’argent sans travailler, ça fait des consommateurs et beaucoup de consommateurs ça profite au Système !

    Et,s’il n’y avait pas d’actionnaires privilégiés percevant plusieurs dizaines de milliers d’euro annuellement, le Français qui travaille 43 ans percevrait durant ces 43 ans, plus que le SMIC, et à la retraite, une pension largement supérieure à 1100 euro par mois …

     

  • Wifi libre et public

    Dans bon nombre d’espaces publics avec Wifi libre gratuit public, par exemple des cafés, des hôtels, des gares, un Mac Donald… Où il suffit afin de se connecter à Internet, de demander la clé Wep ou un code d’accès ; l’on s’expose à être vu, piraté par des personnes malveillantes ou cherchant à capter des informations et des données personnelles…

    Le wifi libre et public est donc comme si l’on laissait ouverte, non fermée à clef, la porte de notre logement…

    Du fait que très souvent – le plus souvent- on ne risque guère grand-chose puisque qu’un intrus n’est pas forcément présent dans les parages ou quelque part au loin ; on se connecte quand même et parfois durant plus d’une heure…

    Il vaut beaucoup mieux avoir avec son smartphone et avec ses autres appareils connectibles (jusqu’à 5) auprès de son opérateur Orange, SFR ou autre, un forfait incluant « point d’accès mobile » qui permet hors de chez soi et de sa box, de se connecter au réseau hertzien 4 ou 5G…

    En général, pour un forfait de base – le moins onéreux – comprenant téléphonie illimitée, wifi chez soi illimité par fibre optique, appels portables France DOM TOM – l’on a, inclus, un forfait accès point mobile de 3Go… Qui permet au moins de consulter ses mails, d’aller sur son réseau, de visiter un site… Depuis son ordinateur connecté au smartphone…

    Avec 50, 80 ou 200 Go, donc pour « un peu plus cher » on a accès à internet hors de chez soi en faisant suivre son ordinateur… Cette option étant beaucoup moins risquée qu’en utilisant le wifi public dans un café, hôtel, Mac Donald etc. …

    À noter que pour des vidéos de plus d’une minute, des films, des téléchargements, donc un usage intensif très gourmand en Go, 200 Go est « un minimum qui commence à être à peu près confortable »…





  • Samedi soir à la Télé

    Invariablement le samedi soit à la Télé l’on a droit à :

    Sur TF1 The Voice ou une émission de divertissement ; sur France 2 – le samedi 30 août 2025 c’était Fort Boyard- ou quelque autre émission de variétés ou de jeux pour les autres samedis ; sur France 3 une série policière genre Alex Hugo ou autre ; sur France 5 deux documentaires de chacun 1h 30 d’Echappées Belles ; sur Arte une émisson documentaire scientifique…

    Et je ne parle pas des autres chaînes de la TNT – dont M6- W9, etc. … Dont les programmes sont « débiles »… Et truffés de séquences publicitaires toutes les demi-heures, au moins 10 minutes à chaque fois…

    Echappées Belles, j’en ai ma claque, à chaque fois, de ces séquences de « gastronomie conviviale » autant pour le 1er que pour le second… Trois heures en tout ça fait un peu long !

    Le documentaire scientifique sur Arte a un défaut majeur à mon sens : celui de consacrer les 3/4 du film documentaire à des détails techniques d’analyses en laboratoire, ou lors de fouilles – gros plans sur des crânes et autres ossements, images de mesures et de relevés, etc.…

    Les chaînes de France Télévision depuis le 4 janvier 2010, sont devenues commerciales, investies par des sociétés en « holding » c’est à dire que derrière, il y a des groupes privés et des actionnaires majoritaires… ( à 86 %, reste 14 % l’état)

    Et pour toutes les autres chaînes TF1, W9, M6 etc. … Les groupes privés et les actionnnaires majoritaires sont présents et acteurs à 100 %…

    C’est dire de l’influence exercée par les « maîtres du jeu » sur les opinions, sur les sensibilités, sur la manière la plus large possible de « faire de l’audimat » en proposant des émissions, des films, des séries, des documentaires, censés convenir au plus grand nombre ; surtout le samedi soir où après une semaine de travail et de stress liés à des tas de contraintes répétitives, l’on préfère se divertir plutôt qu’acquérir des savoirs et des connaissances, ou de se porter à réfléchir sur le pourquoi et le comment des choses…

    La mesure de l’audimat

    Par exemple pour Fort Boyard  1,9 millions de téléspectateurs ; pour The Voice 4,02 millions ; pour Echappées Belles 1,5 million …





  • Michel Sardou

    Par lui-même, film documentaire sur France 3 (France Télévision) le vendredi 29 août 2025 à 21h 10…

    « Ils sont tous disparus » les « Grands de la Scène » - de la chanson, de la musique ; mais aussi des personnages « de légende » qui ont accompagné nos vies de gens nés après 1945 et devenus « vieux » en 2025…

    Mais… Michel Sardou lui, il est encore là ! Né le 26 janvier 1947…

    L’on me dira « beaucoup de ceux qui sont morts, étaient plus âgés que lui »… Certes… Mais soit dit en passant, il y en a quelques uns qui sont morts bien avant d’avoir atteint 78 ans…

    Michel Sardou encore parmi les vivants en tant que « personnage de légende » tel que le fut Johnny Halliday entre autres – en quelque sorte c’est ce qui nous relie, les gens nés après 1945 aujourd’hui devenus « vieux » - à un passé qui n’a, oui, plus rien de commun avec le présent… Mais qui existe encore puisque dans les bals, les fêtes de village, en 2025, où l’on y voit de jeunes adultes et même des moins de 25 ans, qui dansent en couples – des slows- sur des airs et sur des chansons de Michel Sardou et de tant d’autres qui furent des célébrités et dont les chansons continuent de figurer au programme de soirées festives, bals, spectables en salle ou en place publique devant la mairie du village en féria estivale…

    La disparition même dans 22 ans s’il arrive à cent ans, de Michel Sardou, « n’enterrera jamais un passé qui n’existe plus mais qu’aucun présent d’aujourd’hui ni de demain ne pourra effacer…

    Les textes des chansons de Michel Sardou « parlent droit au cœur des gens » - des gens de toutes conditions, de tous milieux et de tous âges » … Des paroles simples mais fortes, souvent, d’ailleurs, poétiques et imagées, telles que chacun peut les comprendre sans « se prendre la tête »…

    S’il y a bien une rupture entre l’Ancien et le Nouveau monde  (le monde d’avant le début du 21ème siècle et le monde depuis)… La « trace » elle, ne disparaît pas, elle fait même comme le chemin de l’escargot qui ne cesse de s’allonger en une ligne argentée qui sinue et se poursuit toujours en avant… (Bon c’est vrai l’escargot il peut rebrousser chemin mais dans l’image de la trace il avance, on ne le voit qu’avancer)…



    Pour un artiste, pour un écrivain, le public c’est Dieu – ou « quelquechose qui ressemble à Dieu » c’est à dire l’Interlocuteur privilégié, l’Autre, les Autres, Eux, les gens, les spectateurs, les lecteurs, les visiteurs, eux tous et en même temps chacun d’eux en particulier…

    Sans interlocuteur en face de soi – ou par la voie d’un moyen de communication – un réseau social, internet, Facebook, Instagram, Youtube, un blog, un site… En s’exprimant par l’écriture en tapant sur le clavier d’un ordinateur, et ou en postant une image, une vidéo, à partir d’une « banque d’images » ou d’un appareil de photos…. Sans interlocuteur visible ou invisible, on n’est rien, rien du tout, juste un personnage qui parle à un mur nu, un mur de briques ou de pierres avec ou sans tapisserie ou peinture, un mur qui n’est absolument pas un mur comme le mur de Facebook…

    À la limite on peut parler à un arbre, pourquoi pas, en effet un arbre est aussi un être vivant, peut-être un peu moins qu’un chien ou qu’un chat ou qu’un canari…

    Un arbre, un paysage, un objet auquel on tient et qui nous relie à des gens, à des souvenirs, à un moment vécu… Peut-être, oui, un interlocuteur…

    Mais un humain, c’est – je crois ?- « encore mieux » (ou préférable)…

    Quand je me vois dans une glace, je ne vois pas un interlocuteur, je me vois moi, point barre, je fantasme pas !

    Quand je te vois toi, un ami, même un inconnu, une personne que je connais, je vois un interlocuteur possible… Et ça « marchera ou ça marcheras pas » mais c’est ça l’essentiel – l’anti solitude – en quelque sorte…

    L’ « anti solitude viscérale » - la solitude de « tout seul dans sa bulle depuis sorti du ventre de maman jusqu’au dernier souffle un jour, le jour où tout s’arrête… De soi mais pas le monde autour de soi »…

    Cela dit, pour ceux et celles qui « tirent les ficelles » - et ceux et celles qui sont des relais des tireurs de ficelles- Dieu c’est plus le public, c’est une « salle de marché boursier » où les intervenants supputent ou anticipent les profits et les pertes…





  • Considération, respect, relation

    L’un de mes critères de considération, de respect, de sympathie, de maintien de relation à l’égard des gens en général ; ne tient pas à ce que sont et font les gens dans leur vie – s’ils sont de tel monde d’idées et de sensibilités, ou de tel milieu social, de ce qu’ils ont réalisé de remarquable ou non durant leur vie, s’ils ont été oui ou non des personnages « hors du commun »…

    Mais tient au comportement des gens à l’égard de leurs parents, de leur mère, de leur père, de personnes de leur famille, d’une fille, d’un fils…

    Autant je peux comprendre – à la limite- une rupture de relation, une déconsidération manifeste, voire jusqu’à un rejet total et absolu, pour des raisons qui peuvent s’expliquer, d’un parent vraiment déficient – une mère, un père, ou les deux – auquel on a beaucoup de choses à reprocher – dureté, irresponsabilité entre autres… Autant je n’accepte pas, autant je suis révolté, sans aucune mansuétude, très dur, très critique, ultra radical ; autant je ferme ma porte, autant je fais un rejet définitif et absolu, de personnes – d’une fille, d’un fils – qui ne voit plus sa mère ou son père – ou ses deux parents – alors que sa mère, que son père, n’a absolument pas le « profil » qui correspond à celui d’une personne que l’ on peut être en « droit » de déconsidérer, de rejeter, de ne plus voir…

    Ainsi, une mère qui est « la bonté même » - et qui l’a toujours été, qui s’est souciée, qui a pris soin de ses enfants (et des autres autour d’elle) – et idem pour un père … Et, que, un beau jour, pour des raisons « obscures » échappant à tout entendement, sa fille, son fils, l’un ou l’autre de ses enfants, décide de ne plus voir du tout à aucun moment particulier d’événement familial, de totalement rejeter – une rupture de la relation définitive et absolue- et cela même y compris le jour de l’enterrement de sa mère, ou de son père qu’il ne voit plus depuis des années…

    Est pour moi un acte, un comportement inqualifiable, d’une indignité absolue ; qui fait que je rejette, élimine de mes connaissances, cette fille, ce fils, qui a ainsi rejeté sa mère, son père, dont le « profil » est le contraire de celui d’une personne à la quelle on a beaucoup de choses à reprocher…

    La bonté blessée et fuie, déconsidérée, niée, piétinée, à la quelle on a fermé sa porte… La bonté « symbolisée » par ce qu’est une personne dans sa vie – généreuse, dévouée, aimante, humble – la bonté écrabouillée dans l’indifférence, dans le mépris, dans le rejet… Ça, je peux pas encaisser !