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Paroles et Visages - Page 8

  • L'Internet n'est pas compatible avec la durée dans le temps, de ce que l'on produit

    En ce qui concerne la production d’œuvres – notamment de texte accompagné d’image, de photo, de vidéo – sur Internet (réseaux sociaux, blogs, sites, forums) il y a assurément un problème majeur en rapport avec la durée dans le temps, de ce que l’on peut produire…

    Il paraît assez évident que tout ce qui est produit « en ligne » n’a pas vocation à durer dans le temps… Sauf sans doute – et encore ! – si ce n’est que du texte…

     

    Cependant, sur des réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram et Tik Tok, les images et les photos puisées dans ses propres supports externes clé USB, disque dur externe, carte SD… Lorsqu’elles accompagnent ou présentent du texte, peuvent durer dans le temps…

     

    Restent les espaces de stockage en ligne tels que One Drive, le Cloud et autres dans lesquels on peut puiser des photos enregistrées et conservées ; mais dans ces espaces de stockage, en général les versions gratuites sans abonnement payant annuel, l’on est limité à 2, 5 et au mieux à 15 Go… Ce qui exclue, sur un espace limité en Go, des contenus de centaines ou de milliers de photos…

     

    Le défaut majeur qu’ont les blogs et les sites « préconstruits » des hébergeurs tient au fait que pour les images et les photos accompagnant du texte, pourtant puisés dans l’un ou l’autre de ses propres supports externes ; lorsqu’ ils commencent à dater de plusieurs années, ils ne sont plus visibles : l’image ou la photo se trouve ainsi remplacée par un petit carré constitué d’une zone blanche en tout petit pavé et d’une zone en vert clair en diagonale, et à côté du carré apparaît cette inscription « P1030 … … JPG » par exemple… Mais l’appui sur le carré ou sur l’inscription « P1030... » ne produit pas la photo… Et en conséquence le texte perd de son intérêt…

     

    « Paraît-t-il » que ce problème serait lié au fait que l’hébergeur modifie périodiquement en fonction de sa politique de développement, sa struture de fonctionnement, de telle sorte que les images et photos « trop anciennes » s’en trouvent corrompues ou rendues invisibles…

    Et de surcroît, les espaces de stockage propres au blog ou au site dont on est l’auteur, sont limités en nombre et en « poids » - sauf si l’on opte pour une version pro avec abonnement annuel payant… (Mais même dans ce cas, les images et photos « trop anciennes » deviennent invisibles à la longue)…

     

    Restent les forums qui, eux aussi ont un défaut majeur : il est en général difficile voire impossible d’introduire dans du texte, une image ou une photo prise dans l’un ou l’autre de ses propres supports externes ; il faut alors passer par « servimg’com » ou « zup’images » serveurs gratuits certes, dans lesquels tout ce que l’on poste sur un forum est stocké… Mais le problème étant qu’au bout de tant de temps et de nombres d’images stockées, tout ce qui est « trop ancien » est effacé du stockage, et surtout dans un texte « trop ancien » - de plusieurs années – l’image ou la photo, alors, n’apparaît plus… Ce qui fait perdre de son intérêt au texte…

     

    Voilà donc le problème majeur qu’il y a en rapport avec la durée de ce que l’on produit sur Internet :

    Cette dépendance aux hébergeurs, et à leurs politique de développement, au fonctionnement et à la capacité des espaces de stockage en ligne, qui tous les uns et les autres, proposent de moins en moins la gratuité mais essentiellement des abonnements annuels payants (qui ne garantissent pas forcément ce à quoi l’on est en droit d’attendre) et qui surtout, le jour où l’on ne peut plus se réabonner et payer, font disparaître ton blog ou ton site (ou le réduisent à une « coquille »)…

     

    Le seul espace de stockage en ligne « permanent et donc sans limite de durée – et gratuit » qui offre le plus de contenu possible, c’est « Mon Drive-Google Drive » 15 Giga Octets de contenu texte et photos images vidéos… À condition toutefois de ne pas trop charger en vidéos… (En texte ce sont des milliers de pages et en images photos, ce sont plusieurs centaines jusqu’à concurrence en tout de 15 Go)…

     

    C’est la raison pour laquelle en tant que producteur que je suis, j’ai opté pour « Mon Drive -Google Drive » avec le choix « public » (et donc pas uniquement privé) ; ce qui fait qu’avec le lien d’accès « public » tout un chacun peut y accéder (les « neunœils épieurs investigateurs » ne me font pas peur car je ne suis pas loin s’en faut un « danger public » ni une « source d’inquiétude sérieuse pour tel ou tel gouvernement – du moins dans mon pays la France » …

    Pour atteindre les 15 Go de Google Drive, il me faudrait vivre jusqu’à cent ans !

     

     

  • Taxation mais pas confiscation

    Les revenus illicites provenant – entre autres trafics – de la drogue, des armes, de la prostitution, de toutes les activités de la mafia…

    Taxés par l’État… Mais non confisqués ?

    Réfléchissons 2 minutes :

    Les revenus illicites provenant de la drogue, des armes, etc. … Tout en étant irréguliers sont tout de même des revenus assurés dans la durée, et à ce titre ils ne tarissent jamais, ils empliront toujours les tiroir-caisses…

    Confisqués, ils se renouveleraient, il faudrait de nouveau confisquer… Mais à force d’être confisqués ils finiraient par disparaître et donc, n’existant plus ils ne pourraient plus être confisqués… « Perte sèche » pour l’État…

    Taxés implique forcément que ces revenus soient assurés dans la durée et à ce titre l’État ne peut que laisser les trafics illicites perdurer…

    L’État, quelle que soit sa « couleur politique » - même le plus révolutionnaire d’entre eux – s’entendra toujours avec les voyous…

     

     

  • Vieillir

    En dépit de tous les soins que prodigue aux personnes âgées, notre société actuelle, soins il faut dire « plus matériels que moraux » ; il n’en demeure pas moins qu’un « vieux monsieur » ou qu’une « vieille dame » n’attire point autant, de nos jours, les regards, que des personnes jeunes et d’apparence physique agréable…

     

    Les visages familiers qui nous ont accompagnés, certains depuis notre enfance, lorsque l’on vient de passer son 70 ème anniversaire – et parfois même avant- ont peu à peu disparu…

     

    Dans l’entourage des personnes âgées – le village, le quartier, le lotissement, l’immeuble où résident ces personnes âgées souvent seules ayant perdu leur femme, leur mari, leur compagnon – plus souvent des femmes que des hommes… Peu de personnes de l’entourage à vrai dire, viennent frapper à la porte du vieux monsieur, de la vieille dame…

     

    Vieillir implique la nécéssité de demeurer visible, de continuer d’entrer dans le regard de ces autres qui sont de générations précédentes de vingt, trente ans de moins…

     

     

    Il faut déjà prendre soin de soi sans pour autant verser dans le culte de l’apparence… Il est vrai qu’à tout âge, que l’on soit femme ou homme, sobriété et élégance discrète – donc sans ostentation, sans ces artifices que sont des effets vestimentaires, de « mise en scène de soi » et de toutes sortes d’arrangements « de façade »… S’accordent très bien ensemble – autant dans ce que l’on paraît que dans ce dont on est fait à l’intérieur de soi… C’est là « tout un travail de chaque jour qui passe »…

     

    Et à défaut de cet ami, de ce voisin, de ce fils, de cette fille, de tous ces proches (que l’on ne rencontre qu’aux mariages et aux enterrements) qui ne viennent pas frapper à notre porte…

    Il y a tout ce que l’on peut produire de soi que l’on ne garde point entre ses quatre murs et porte d’entrée et fenêtres fermées…

    Tout ce que l’on peut produire de soi et qui, autant ne ressemble à personne que s’accorde avec ce qui est commun à tous… En somme « faire se retrouver l’autre dans ce qui, en soi, ne ressemble à personne »…

     

     

     

  • Trois figures géométriques

    De ces trois figures géométriques que sont :

    Les cercles vicieux

    Les triangles amoureux

    Les esprtits trop carrés…

    L’on peut dire

    Des cercles vicieux qu’ils empuantissent le monde mais que sont les géomètres malveillants qui les tracent

    Des triangles amoureux qu’ils ne sont jamais équilatéraux et qu’ils ont tous un côté ou deux cotés tracés au crayon gras et un autre côté ou les deux autres côtés tracés d’un fin trait de crayon que l’on ne ne voit pas

    Des esprits trop carrés que d’un côté ils te disent : « tu fais ce que tu veux comme tu veux » ; mais que d’un autre côté et même en même temps, ils n’arrêtent pas de te faire des observations et des critiques à propos de tout ce que tu fais.

     

  • Petit conte pédophilophobe

    C’est une association de personnes qui traque les pédophiles, se saisissent d’eux et les font disparaître… À leur manière…

     

    Un site internet est créé, qui propose aux pédophiles des rencontres avec de jeunes garçons et filles âgés d’une dizaine d’années, dans un lieu isolé ou peu fréquenté… Ce site étant visionné par un membre de l’association, qui, dès l’approche du prédateur auprès d’un jeune garçon ou fille assis sur un banc et ayant fixé l’heure du rendez vous lors d’un échange sur le site entre l’« appât » et sa « proie » - photos à l’appui, notamment de poses « spéciales »- appelle depuis son téléphone portable deux « costauds » de l’association en attente d’intervention.

     

    Le pédophile est saisi sans ménagement, mains liées dans le dos, pieds entravés dans une cordelette et conduit dans un local en sous-sol d’une habitation louée par l’association, habitation faisant office de « quartier général » de la section du coin.

     

    Dans le local en sous -sol, se trouvent alignées, une dizaine de cuves dont les faces sont des plaques de béton de 20 centimètres d’épaisseur, l’une des six faces comportant une porte ne pouvant s’ouvrir de l’intérieur et extrérieurement fermée par 2 barres de fer dont les extrémités entrent dans des anneaux scellés dans le béton.

     

    Ces cuves de béton dont les six faces ont 20 centimètres d’épaisseur, ont une surface intérieure d’un mètre carré et ont 2 mètres de hauteur…

    Le pédophile interpellé est poussé – sans être délié- à l’intérieur de la cuve, la porte refermée, les deux barres de fer bloquant la porte…

     

    Dans l’isolement et dans l’obscurité absolus, sans nourriture, sans eau – et « se faisant sur lui » , se « repassant le film de sa vie » dans le stress, dans l’angoisse et dans une solitude totale, sans avoir la possibilité de s’allonger (sur 1 mètre carré), combien de jours peut-il vivre, ce pédophile ?

     

    Toujours est-il qu’il n’aura subi d’autre violence que celle d’avoir été brutalement interpelé, ligoté et conduit en un lieu où il a été enfermé – mais pas tué, pas battu à mort … Donc pas assassiné au sens de ce qu’est un assassinat au moyen d’une arme…

    Les membres de l’association attendent 2 mois avant d’ouvrir la cuve, ce qui reste du cadavre en décomposition très avancée, est évacué, brûlé dans un fourneau, la cuve passée au jet d’eau…

     

    « On fait la même chose » avec des nasses à souris ou à rats dans lesquelles on place un appât… Sauf que, dans la nasse, s’attrappent parfois 2 souris ou rats…

    Lorsque l’appât est consommé, au bout de trois jours, si l’on ne « vide » pas la nasse, l’une des deux souris ou rat se met à tourner autour de l’autre à toute vitesse, sans s’arrêter afin de l’étourdir, de l’immobiliser… Et de commmencer à la dévorer… Et un mois plus tard, sur le grillage de la nasse sont collés les cadavres desséchés des 2 souris, des 2 rats…

    « Imaginons » dans la cuve, deux pédophiles enfermés – mais déligotés…

     

    NOTE de l’auteur de ce « conte » :

     

     

     

    Une semaine après la cérémonie de panthéonisation de Robert Badinter, c’est sûr que cette « histoire » ne peut que jeter un froid glacial, ne peut qu’horrifier, totalement contraire à l’idée pour laquelle Robert Badinter a combattu toute sa vie…