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Paroles et Visages - Page 8

  • Prix Nobel de la Paix

    Décerné en 2025 à la Vénézuelienne Maria Corina Machado, femme politique et figure de la Droite radicale – autant dire d’extrême droite- pour son combat en faveur de la démocratie…

    Mais est-ce pour la démocratie dans son pays, le Venézuela ou bien plus largement « pour la démocratie dans le monde » ?

    Toujours est-il qu’au delà de son combat pour la démocratie – si l’on veut bien que son combat pour la démocratie puisse dépasser les frontières du Vénézuela – a-t-elle eu dernièrement une activité, une influence, des prises de position accompagnées d’agissements « sur le terrain » qui ont pu arrêter une guerre en cours, contribuer à la résolution par la paix d’un conflit quelque part dans le monde en intervenant auprès de chefs d’états (états en situation de conflit armé) ?

    Il semble que non…

     

    J’ai toujours cru qu’un prix Nobel de la Paix était décerné à un personnage bien connu dans le monde, un politique, un écrivain, un journaliste, un président, un homme ou une femme d’envergure et influent… Qui a réellement et concrètement contribué par son action à arrêter une guerre, un conflit…

    Qu’est-ce qu’elle a arrêté en vérité, en 2025, Maria Corina Machado ?

     

    « À la limite » même si c’est aberrant, « surréaliste »… Si le Prix Nobel de la Paix avait été décerné à Donald Trump, et aussi critique et opposé que l’on soit à Donald Trump… Cela aurait été « plus logique » ou « plus justifié » que de l’avoir attribué, ce Prix Nobel de la Paix, à Maria Corina Machado !

     

    Attribuer un Prix Nobel de la Paix à une « figure considérée emblématique et influente » de la Droite radicale (ou d’extrême droite) me semble « très discutable » - autant dire « inconvenable » voire même « aberrant »…

     

    Ce « combat pour la démocratie » que peuvent mener des personnages politiques de partis de droite radicale ou d’extrême droite, peut – et doit- être mis en parallèle avec ces valeurs de démocratie, de république, de nation (et pour nation de son symbole le drapeau national ainsi que son hymne) portées, ces valeurs, « haut et fort » par les partis d’extrême droite qui, ainsi, « récupèrent » à leur profit, à leur avantage, ces valeurs ressenties comme étant essentielles par les peuples dans tel ou tel pays…

     

    Et l’on voit bien que par la suite, une fois ces partis au pouvoir (c’est ce que montre clairement l’Histoire au travers des époques étudiées, des différents contextes historiques et événementiels), la démocratie devient une façade qui, ayant séduit au départ, se lézarde, se décolore, se délite, puis disparaît et finit par montrer ce qu’est réellement l’intérieur du bâtiment : des « geôles » de part et d’autre d’un couloir central, ou sinon, des pièces cloisonnées où doivent se tenir des occupants « catégoriés » soumis à des contraintes, à des obligations, à des contrôles ; ou sélectionnés, certains, en fonction des « besoins de la Cause » et de leur capacité à servir le pouvoir en place durablement établi…

     

    La démocratie est le régime le plus difficile à mettre en place – ainsi que son exercice à réaliser – parce que la démocratie implique pour qu’elle soit réelle et durable, une responsablité, une réflexion, un mode de vie, un sens de la relation humaine, de chacun… La démocratie implique une « gouvernance » qui n’est plus celle d’un parti, mais celle qui procède des principes universels et intemporels et immuables de la relation entre les êtres et les choses (tous les êtres vivants et tout ce qui fait partie de l’environnement physique, matériel, dans lequel vit, se développe, agit et interagit chaque être vivant – dont l’Homme qui est « en haut de l’échelle du Vivant » sur cette planète la Terre… (Il y a 65 millions d’années c’étaient les dinosaures en « haut de l’échelle du Vivant »… Et de nos jours si l’Homme n’existait plus, ça serait peut-être les fourmis et les termites… Ou les cloportes)…

     

     

  • L'Ange

    Du haut du dos de l’Ange

    Se désarticulent les ailes

    Qui froissées déchirées fanées

    Se détachent du dos de l’Ange

    Mais l’Ange ne quitte pas le ciel qui gronde

     

    Dans la savane où brûlent des feux de brousse

    Se dresse la panthère

    Et fanfaronne le panthéron

     

    Le vin du messie tourne à l’aigre

    Mais le messie pontifie

    Sans faire venir à lui les pauvres pécheurs

     

    Les serviteurs de l’Ange se débinent

    Regagnent les coulisses du Théâtre

    Où sur la scène se jouent encore les larmes du rire

    Sauf que le rire a jauni et s’est éraillé

     

     

  • Le futur

    Le futur n’existe pas.

    Le soleil que nous voyons mais que nous ne regardons pas parce qu’il brûlerait nos yeux, n’est jamais le soleil huit minutes plus tard au moment où nous le voyons lorsque notre montre à notre poignet nous indique qu’il est 8h 27… Car à 8h 27, le soleil que nous voyons est tel qu’il était à 8h 19…

     

    Ainsi le nuage stellaire formé d’hydrogène et d’hélium – éléments principaux et les plus abondants dans l’univers- et de carbone, d’azote, de fer ; de gaz et de poussières… Qui va donner naissance à des étoiles, et autour des étoiles, des planètes… Que nous observons depuis notre planète la Terre avec un puissant télescope installé sur un haut plateau andin un soir de nuit claire un 14 août 2025 à 23h 04… Vu l’énorme distance qu’il y a entre la Terre et ce nuage stellaire – mettons 5 milliards d’années lumière – cet amas d’hydrogène, d’hélium, de gaz et de poussières qui va donner naissance à des étoiles et à des planètes, apparaît à nos yeux tel qu’il était il y a 5 milliards d’années du fait du temps qu’il faut à la lumière pour porter à nos yeux l’image du nuage stellaire (nos yeux qui eux, voient comme si l’image du nuage était instantanée- comme par exemple voir une mouche se poser sur la table devant laquelle on est assis)…

     

    Nous ne pouvons pas voir donc, de nuage stellaire qui existera dans 5 milliards d’années, tout comme nous ne pouvons pas voir le soleil tel qu’il sera dans huit minutes : nous savons juste à coup sûr que dans huit minutes le soleil sera le même qu’au moment où nous le voyons… Et de même le nuage stellaire que nous observons aujourd’hui depuis le télescope, nous savons que dans un siècle, que dans trente millénaires, il nous donnera la même image parce qu’il faudrait plus de trente millions d’années pour qu’il nous donne une image différente…

     

    Ainsi ne pouvons nous voir – grâce au télescope James Webb- « que » jusqu’à « presque » la naissance de l’univers il y a 13,7 milliards d’années… Mais le télescope James Webb ne nous fait pas voir l’univers tel qu’il sera, âgé de 16 milliards d’années…

     

    L’univers tel qu’il sera âgé de 16 milliards d’années n’existe pas, le futur n’existe pas… On peut juste, en tant qu’humains, « prévoir, penser, imaginer, supposer » comment cela sera dans 1 ou 2 milliards d’années … Et pour cela, il ne faut compter que sur le visible, et le visible à nos yeux c’est celui qui, depuis l’instant présent, s’enfonce dans l’immensité et dans l’éloignement des profondeurs du temps, dans une chimie et dans une physique dont la connaissance que nous en avons augmente… Mais dont nous ne saurons jamais comment cette chimie et cette physique évolueront et jusqu’où…

     

    En supposant que la vitesse de la lumière – 300 000 km par seconde – ne serait plus une contrainte ; l’on pourrait voir alors en instantané, tout comme l’on voit la mouche sur la table à 1 mètre de nos yeux, ce qui se passe le jour où nous sommes à 11h 26 exactement, sur une planète « Arroterre » située à 150 000 km d’une étoile semblable à notre soleil dans un bras spirale de la galaxie d’Andromède, laquelle galaxie d’Andromède se trouve à 2,55 millions d’années lumière en distance, de la Terre (mais les 2,55 millions d’années lumière de distance pouvant être franchis, sans la contrainte de la vitesse de la lumière, en un instant d’à peine 1 dixième de seconde d’un temps qu’ il faudrait définir selon une autre dimension que celle que nous appréhendons en tant qu’humains)…

     

    Le temps -sa mesure, sa durée, sa réalité vraie indépendemment de ce perçoit tout être vivant, du temps – existe avec ou sans la contrainte de la vitesse de la lumière, la vitesse de la lumière étant, en sa réalité par les humains mesurée, la vitesse maximum et considérée indépassable…

     

    Une particule ou un ensemble de particules – ce dont est constitué la lumière notamment entre autres ensembles de particules formant un objet – subit une accélération qui lui fait acquérir de la masse. À 300 000 km par seconde, la masse de la particule ou de l’ensemble de particules se met à tendre vers l’infini. (Théorie d’Einstein).

     

    Dans le vide de l’Espace cosmique, la vitesse de la lumière est de 299 792 km/s. Dans l’hypothèse d’un dépassement au-delà de 299 792 km/s, pour que la particule ou que l’ensemble de particules puisse continuer à accélérer, il faut fournir une énergie d’autant plus importante que la masse augmente ; or, à la vitesse de 299 792 km/s, la masse de la particule ou de l’ensemble de particules tend vers l’infini.

     

    Toutefois, dans un milieu matériel de l’Espace dont nous ignorons encore de quoi est fait ce milieu, une particule ou un ensemble de particules peut alors se déplacer plus vite que la lumière. (Découverte du physicien Russe Pavel Tcherenkov Prix Nobel de Physique en 1958).

     

    Si le temps existe – avec ou sans la contrainte de la vitesse de la lumière – le futur lui, n’existe pas :

    Ainsi ce qui se passe que nous pourrions voir dans l’instantané sur une planète « Arroterre » de la galaxie d’Andromède – sans la contrainte de la vitesse de la lumière ou nous parvenant à une vitesse très supérieure à celle de la lumière (de l’ordre de moins d’une seconde) est ce qui se produit au moment où nous le voyons, mais ce qui se produira demain nous ne pouvons le voir parce que non existant…

     

     

     

  • Question de termes employés

    Il me semble « un peu leste et dans le raccourci » que de qualifier d’homophobe une personne qui, dans un texte évoquant des couples homosexuels ayant adopté un enfant, écrit ces mots : « papa et papate », ou « maman et mamane »… Termes pouvant être jugés « caricaturaux et offensants »… Alors que nous sommes là dans de l’humour, pouvant « rire de tout » sans pour autant verser dans l’agressivité, dans la discrimination, dans l’offense délibérée et affichée…

    « Rire de tout » n’est-ce point, dans une certaine mesure « expurger » l’inacceptable lorsque dans la réalité, dans le vécu, l’inacceptable – que l’on déplore et condamne – se produit ? … Quitte à, prenant le risque en « expurgeant » par l’humour, d’inciter à commettre l’inacceptable ?

    À propos de « papa et papate » ou de « maman et mamane » d’ailleurs – et dans le vécu – pour un enfant de 6, de 8 ans ; comment cet enfant appelle-t-il « au vrai » chacun de ses deux parents ?

    Est-ce par exemple pour un enfant dont l’un des deux parents est un homme de 30 ans et l’autre un homme de 50 ans : « papa et papy » ?

    « J’imagine » qu’en environnement scolaire à Cergy Pontoise ou à Sarcelles ou à Bobigny, « papa et papate » ou « maman et mamane » reviennent assez souvent dans les propos qu’échangent les enfants entre eux âgés de 6 à 10 ans du primaire, de 11 à 15 ans du collège et de 16 à 18 ans au lycée…

    En revanche, à Carcarès dans les Landes ou à Bourganeuf dans la Creuse, ces termes de « papa et papate » et de « maman et mamane » dans les écoles en récré, ne doivent guère être trop employés par les enfants…

     

     

     

     

  • Les cochons ...

    ... Classés au 5 ème rang des animaux les plus intelligents de la planète selon deschercheurs et des scientifiques ... 

    Cochons.jpg

    Petit conte porcin : 

     

    Il était une fois un pays-monde (ou un monde -pays) où l’Islam était devenu la Religion Universelle…

     

    Tous les cochons domestiques d’élevage, tous les cochons sauvages des forêts ainsi que tous les sangliers et autres suidés, qui étaient, tous confondus, entre 2 et 3 milliards dans le pays-monde (ou dans le monde-pays) ne purent tous être exterminés, la plupart d’entre eux, chassés par hélicoptères mitrailleurs, par hordes de chasseurs parcourant les forêts, furent abattus et, comme il fallait les enterrer, les autorités islamistes gouvernant le pays-monde (ou le monde-pays) décidèrent de faire creuser d’immenses fosses par les chétiens, les juifs, les athées convertis forcés à l’Islam…

     

    Un certain nombre de cochons domestiques d’élevage – en particulier, en France, des cochons basques – ayant « senti » une « évolution » dans la gestion par les humains, autant des élevages industriels que des élevages purement locaux (et « bio »), rejoignirent leurs cousins cochons sauvages dans les forêts… Ce qui fut peu le cas cependant, dans les élevages industriels Chinois où les cochons étaient nourris avec de la merde humaine mélangée à de la farine de soja transgénique, et peut-être eux, « moins intelligents » que leurs congénères Européens…

     

    Pendant le temps que devait durer ce travail forcé de creusement de fosses, le temps aussi, nécéssaire pour creuser des milliers de fosses là où c’était possible – hors des zones habitées- et vu que la chasse, pourtant très organisée, de la gent porcine, ne pouvait décimer la totalité de la gent porcine… Quelques cochons domestiques, sauvages, sangliers et autres suidés parvinrent à échapper à l’extinction de leur espèce, ayant décrypté la formule élaborée par des généticiens spécialistes des mutations animales… Ainsi leur poussèrent derrière les oreilles des branchies et ils purent désormais vivre dans les océans, très loin des terres habitées par les humains islamisés mangeurs de poulet, de bœuf, de mouton Halal…

     

    Habitant désormais les océans, aussi loin que possible des terres habitées et ayant su repérer des zones océaniques où n’était pas pratiquée la pêche industrielle en profondeur, les cochons devenus amphibies (ils pouvaient remonter en surface et se déplacer en surfant sur les vagues et donc se servir de leurs naseaux pour respirer de l’air) parvinrent à intercepter les ondes hertziennes émises depuis d’immenses « tours-relais » métalliques dotées en leur sommet de puissants récepteurs émetteurs, qu’avaient érigées les humains (il faut dire que les Islamistes maîtres du monde, tout-ennemis qu’ils étaient de la Science, des arts, de la musique et de la Littérature et ayant instauré la Charia partout, avaient néanmoins leurs ingénieurs, leurs chercheurs, leurs scientifiques de la communication, de l’information et de la propagande, notamment dans l’Internet, le numérique, le stockage de données dans les data – centers et les appareillages de vidéo surveillance -cette « science là » entrant dans le dessein d’Allah)…

     

    Les cochons se trouvant en capacité de se concerter entre eux, parvinrent à utiliser leurs propres ondes de suidés à partir desquelles avec les ondes hertziennes captées et dont les humains islamisés se servaient, ils furent capables de produire des ondes « meurtrières » pour les humains… Et vint un temps où du milieu des profondeurs océaniques, les cochons diffusèrent des quantités énormes de ces ondes meurtrières qui décimèrent les humains… Et, certains de ces cochons remontant en surface pour « diffuser », « grognecriaient » en une sorte de langage sommairement articulé : « Allahouhakbar » …