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Paroles et Visages - Page 9

  • Transmission d'un patrimoine, d'une œuvre

    Si de nos jours, la transmission à sa descendance ( ses enfants dans la majorité des cas et, à défaut ses petits-enfants ou encore par les branches collatérales les nièces et neveux) d’un patrimoine immobilier et financier que l’on possède, d’une entreprise artisanale ou commerciale que l’on a créée… S’avère difficile vu la complexité et la diversité des situations qui se présentent (familles dites « recomposées », rupture de liens familiaux, séparations et divorces « dramatiques », veuvage et remariage et enfants d’un « second lit », absence de descendance directe, enfants adoptés, etc. … Il en est d’une autre, de transmission, qui elle, est « encore plus problématique et incertaine voire ne pouvant se faire », c’est celle de la transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire dont on est l’auteur, le créateur – l’œuvre artistique et ou littéraire de toute une vie…

     

    Pour ce qui ressort du patrimoine immobilier, d’une entreprise artisanale, c’est là une affaire de juridiction, il y a le Droit, les Lois, avec les « chargés d’affaire » que sont les avocats, les juges, les notaires…

     

    Mais pour ce qui ressort de la transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire, là, c’est une affaire de relation humaine, de volonté de l’un ou de l’autre de ses proches – enfants, petits-enfants, nièces, neveux, frères ou sœurs ou cousins ou cousines plus jeunes que soi selon le cas – et la volonté, la détermination à entretenir, à continuer de faire connaître, à promouvoir… C’est très souvent, le plus souvent à vrai dire, « loin d’être gagné, loin d’être acquis »… Et encore faut-il pour l’auteur, pour le créateur de son œuvre, qu’il puisse « subodorer » quelle serait la personne la mieux à même de continuer à « porter le flambeau » et donc à contribuer à faire passer dans les générations suivantes…

     

    Peut-être que dans le monde où l’on vit aujourd’hui, où tout se délite, où tout se décompose et où plus rien ne s’inscrit dans la durée, où les repères s’effacent ou ne sont plus les mêmes qu’avant… Faudrait-il se résoudre à ne plus envisager de transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire – voire à « faire une croix dessus »…

     

    Il y a en effet tous ces projets, toutes ces aspirations, tous ces modes de vie – relation, activités – des uns et des autres (des proches notamment et de leurs descendants) qui sonr « à mille lieues » de l’homme, de la femme que fut durant toute sa vie, l’auteur d’une œuvre artistique et ou littéraire.

     

    Pour la transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire, en somme, il n’y aurait vraiment que :

     

    -WayBack Machine (Internet Archives) pour celles et ceux, écrivains, auteurs, créateurs, qui publient leurs œuvres « en ligne »… Internet Archives donc, pouvant être « comparé » - dans une certaine mesure non définie- à la durée de vie d’une étoile dans l’univers… Laquelle étoile poursuivant sa course parmi de très nombreuses autres étoiles, et pouvant être découverte par des êtres tels que les humains de la Terre pour autant que ces êtres soient parvenus à un stade avancé de leur évolution…

     

    -Et, plus « spécifiquement et uniquement » sur notre monde, la Terre ; tous ces auteurs, écrivains, artistes, dont les œuvres sont évoquées et transcrites dans les livres d’Histoire, dans les livres qui sont lus de par le monde… Les livres n’ayant pas cependant la même durée de vie que les étoiles…

    Et il est peu probable que des êtres - « humanoïdes » ou non, dotés d’intelligence, quelque part très loin dans l’univers, « découvrent » quelque œuvre d’humain réalisée il y a des millions d’années sur la planète Terre…

     

     

  • À-prioris et ressentis

    Il est de ces à-priori qui, en grande partie, correspondent à la réalité ; de ces ressentis personnels – des choses et des êtres – dont on essaye parfois de se démettre mais que l’on finit à la longue, par porter en soi telles des certitudes…

    Les exprimer, les confier, ces ressentis personnels, des choses et des êtres… N’est pas forcément « heureux » dans la mesure où, exprimés, confiés tels qu’ils le sont avec les mots – ses propres mots à soi dont on use – peuvent « ne pas très bien passer », être « mal perçus » parfois même indisposer ou choquer…

    Il vient un temps dans la vie de chacun, où « tout est dit, tout est plié » - « aléa jacta est » pour les catholiques qui se rendent à la messe ; où l’on ne changera rien de cette réalité qui en quelque sorte « colle d’assez près » à ce que l’on a imaginé, cru en soi… Alors, lorsque ce vient ce temps – en général plus proche du terme de notre vie que de son début et de son milieu – l’on n’a autant plus rien à gagner qu’à perdre… Ansi « se lâche-t-on , se décide-t-on à dire, à exprimer…

    Le « hic » qu’il y a dans « cette affaire là », c’est que (ça arrive), ces certitudes construites en soi sur des à-priori ou sur du ressenti ; peuvent nous conduire à demeurer dans l’erreur, dans la négation totale d’une vérité qui nous échappe, dont on n’a pas idée un seul instant de notre vie…

    En général le « hic » est peu probable… Mais il existe…

     

    « Jeter le manche après la cognée » n’est sans doute pas la meilleure chose à faire ; mais au au vu et au su en soi, de ce dont est fait le manche qui nous a paru d’une qualité contraire à celle que l’on attend du manche ; il n’y a pas grand-chose à perdre que de le jeter…

     

     

  • Les Télés nous gavent avec Sarkozy !

    Helcéhi : Sarkozy !

     

    Cénouille : Sarkozy !

     

    Béhèmehouétéhoué : Sarkozy !

     

    La Cinqueues : Sarkozy !

     

    Thé est fait : Sarkozy !

     

    Aux heures de grande écoute…

     

    « Alors tu me les sarcles, aussi, ces allées piétinées par les Juges » ?

     

     

  • Sex appeal ...

    Vieille femme voilée.jpg

    Cette femme « relativement âgée » - pour ne pas dire « vieille » - exerce-t-elle auprès des hommes… « Quelque attirance », de telle sorte qu’un homme – même lui aussi « relativement âgé » - aurait envie de l’aborder afin de « plus que  lui conter fleurette et de la regarder dans le blanc de l’œil en tout bien tout honneur » ? … De la « draguer positivement » ?

    J’ai toujours été « sidéré » à la vue d’une femme musulmane voilée, âgée de plus de 70 ans, voire simplement « plus de la première jeunesse », et de surcroît, « absolument pas attirante du tout », de visage !

    Vous m’direz «  pourvu qu’il y ait un trou et que ça sente, l’apparence ne compte guère » !

    En effet certains hommes – des « brut de brut » - « en sont là » !

    Mais le voile que je sache, en dessous du nombril, est « de tissu », n’est pas « un masque de fer » !

    Allez, à Strasbourg, ville de douceur, accueillante et bienveillante envers tous ses habitants âgés indépendamment de leurs origines… « Vive le couscous de l’amitié avec nos mamys musulmanes lors d’une « journée portes ouvertes » de la mosquée de Hautepierre !

     

    L’inférioration de la femme actée dans les pays musulmans et matérialisée par le port du voile par injonction patriarchale – Soit dit en passant le port du voile n’est pas spécifié dans le Coran - C’est une réalité inacceptable et une forme d’obscurantisme…

    Et, comme je dis aussi (tout autre sujet) « une vieille femme (et « moche ») qui porte le voile, n’est pas du tout attirante  et porte donc inutilement le voile » ! « À la limite elle peut ne point dépareiller dans un couscous de l’amitié lors d’une journée portes ouvertes de la mosquée du quartier de Hautepierre à Strasbourg » - rire…

     

     

  • 23 milliards de pensions de retraite non versées

    L’argent des retraites non versées par année en France s’élève à 23 milliards d’euros.

    1 personne sur 4 en moyenne en France, meurt avant d’atteindre l’âge légal de la retraite, aujourd’hui fixé à 62 ans (le paiement des pensions de retraite ne commençant donc qu’à partir de 62 ans)…

     

    5 ans c’est la durée moyenne estimée, du temps écoulé – entre 57 et 62 ans – pendant lequel 1 Français sur 4 décède (compte tenu de ceux et de celles qui meurent avant 57 ans)…

    Ainsi 250 000 personnes chaque année en France décèdent avant 62 ans – dont la majorité (les deux tiers probablement) entre 57 et 62 ans – et l’ensemble de ces 250 000 personnes, c’est 23 milliards d’euro par an.

     

    Combien de pensions de retraite peut-on servir par an, en France, avec 23 milliards d’euro ?

    Eh bien justement 250 000 chaque année, payées elles, chacune de ces pensions, à partir de 62 ans…

    En 2025 le nombre de personnes en France accédant à la retraite à l’âge de 62 ans est de l’ordre de 55 000, ce qui fait donc en 2025, 55 000 retraités en plus des déjà retraités… Mais… Sur les plus de 15 millions de retraités en France, chaque année environ 600 000 (donc un peu plus d’un demi million sur les 15 millions – soit 1 sur 30 - ) meurent…

     

    Est-ce qu’en 2035, en 2040, l’on arrivera à 250 000 personnes arrivant à la retraite ? ( en effet, entre aujourd’hui 55 000 et 250 000 en 2035 ou 2040, ça fait vraiment une différence « surréaliste » !

     

    Où vont les 23 milliards d’euros de pensions de retraite non versées ? Alors que « seulement » 5 milliards suffiraient pour pensionner à partir de 62 ans, 55 000 personnes ?