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Paroles et Visages - Page 150

  • Des "Jenfoutre" qui "font la pluie et le beau temps"

    Avec le nouveau Bing, moteur de recherche dopé à l’Intelligence Artificielle, il est désormais possible « par la grâce » de cet « interlocuteur miracle », aidé dans la rédaction d’un texte et même d’un roman ou d’un essai, de produire une « œuvre » de très haute qualité, « originale » et « novatrice »…

     

    Nos hommes et femmes politiques, siégeant au Palais Bourbon, dont bon nombre d’entre eux sont à l’origine de lois qu’ils ont proposées et qui ont été discutées dans l’hémicycle et ensuite validées par les sénateurs et enfin par le Conseil Constitutionnel… Devront prévoir, du moins l’un d’entre eux, une Loi stipulant, pour un livre d’auteur, édité et publié, que ce livre fasse l’objet de la mention suivante en bas de la page de couverture : « Produit avec l’aide de l’intelligence artificielle » ou, au contraire « Non produit avec l’aide de l’intelligence artificielle », afin de « barrer la route du succès » à des crétins habituellement incapables de rédiger un texte de 10 lignes sans faute de grammaire et d’orthographe et ayant du sens… Et, plus généralement même, à des « doués naturels » de l’écriture qui, soucieux d’audience, de célébrité et de visibilité, envisagent de « parfaire » leur œuvre avec l’aide de l’intelligence artificielle…

     

    Notons que cette « différenciation » entre les livres d’auteur édités et publiés, peut être justement faite avec l’aide de l’intelligence artifielle qui ainsi, « dénoncerait elle même le subterfuge ».

     

    D’où « l’intelligence artificielle à bon escient », au service d’une « vraie Justice » !

    Mais… Il n’y a pas QUE l’intelligence artificielle et robotique « en cause » dans l’évolution de la société du 21ème siècle… Il y a AUSSI, les puissances médiatiques les ordres d’opinion, le monde du journalisme et des intellectuels « de progès »qui, au nom de la « diversité culturelle » promeuvent des rappeurs, des groupes musicaux, des artistes, de nouveaux écrivains, la plupart d’entre eux « jetteurs de poudre aux yeux, « saltimbanque-fringués » et plébiscités sur les réseaux sociaux… De telle sorte que le « vrai talent » en aucun cas « boosté » par l’intelligence artificielle, n’est pas reconnu… Et est même « botté en touche » voire insulté, hué !

     

    « Il faudrait » - je ne mâche pas les mots » - Un « terrorisme de salut public » avec des « commandos » déterminés, pour abattre tout ce merdier, toute cette crasse pailletée argentée, tous ces « Jenfoutres » qui font la pluie et le beau temps, tous ces crétins empanachés qui, tous, font du monde où l’on vit, un enfer pour les gens de bonne volonté, un « grand han de heurts » !

     

  • Anecdotique ...

    Dans les années 1980, j’ai connu un homme dans une ville du Pas de Calais, qui me disait à propos de coups de téléphone reçus à n’importe quelle heure mais plus précisément à des heures où normalement l’on se trouve à table, à propos également de personnes arrivant chez lui à l’improviste :

    «Quoi que je sois en train de faire, du bricolage urgent dans ma maison, du jardinage, me préparer à partir en courses, en train de prendre mon petit déjeûner ou mon repas du midi ou du soir, même si je suis très occupé et de surcroît pressé… Je privilégie, toujours en priorité immédaite, l’accueil d’une personne qui me rend visite à l’improviste, et dès que le téléphone sonne, je décroche aussitôt pour répondre, je considère que c’est l’accueil qui est plus important que ce que l’on est en train de faire ; lorsque quelqu’un arrive ou que le téléphone sonne, j’abandonne immédiatement ce que je suis en train de faire »…

    Je dois avouer qu’en ce qui me concerne, notamment à propos de « coups de fil intempestifs » à des moments particulièrement inopportuns, et assez souvent je dois le dire, lorsque vient une personne à l’improviste chez moi, je suis quasiment à l’opposé, question réaction (décrocher le téléphone, accueillir), de cet homme que j’ai connu dans les années 1980 dans une ville du Pas de Calais…

    Donc, hors de question de répondre quand sa sonne, « cul vissé et le bec dans la gamelle » à des heures « indues » (au moment de se mettre à table), et je « rechigne » à abandonner ce que je suis en train de faire, lors de la venue de quelqu’un à l’improviste…

    « Mérit’je » en conséquence d’être taxé d’individualiste ou de « parfait égoïste » ?

    « Ça devait être un grand altruiste, ce mec du Pas de Calais » !

     

  • "Cent balles dans le Dada"

    Hommes sans voix.jpg

    Tant que le Marché aux mains des dominants qui sont tous multimilliardaires et possédent à seuls 90 % des richesses et des ressources de la Terre, sera peuplé d’acheteurs, et que les acheteurs pour bon nombre d’entre eux, verront accrues, dans un système économique de marché, des facilités de financement mises en place par les dominants…

    Tant que près de la moitié de huit milliards d’humains, mettra « cent balles dans le Dada » et que le « Dada » branlotera, faisant ainsi illusion, sans même la pièce insérée…

    Tant qu’il y aura de ceux et de celles qui dialoguent avec les puissants, persuadés qu’ils sont, ces puissants, créateurs d’emplois et de bien – être relatif pour le plus grand nombre…

    Les hommes et les femmes sans voix, qui ne peuvent acheter – ou si peu - tant ils vivent dans la précarité, n’auront pas pour les défendre ou pour les représenter, assez de porte-paroles qui eux, dérangent, bousculent, sensibilisent les clientèles du Marché, et qui à force de «faire sonner les cloches » parviennent à empêcher de dormir les puissants…

     

     

  • Je déteste ...

    Je déteste les capuches, les cheveux verts, bleus ou violets ou rouges ; les bonnets de rappeurs, les casquettes NEW YORK ou présentant des logos pétants, les énormes inscriptions genre « suis ceci suis cela » sur tee-shirt ; les lunettes de soleil dans les cheveux, les piercings et toutes les quincailleries possibles et imaginables qu'on se fout aux oreilles, au nez, au cou, au poignet, à la cheville...

    Je déteste les fringues extravagantes, les filles et femmes en futal moulant ou en jeans troués exprès ; les chapeaux genre sombrero plus gros que des soucoupes volantes, les tortillages de cul en discothèque ou au bal du samedi soir ou de la fête du village ; les "rassis" avec petite sacoche en cuir de vache en bandoulière, les séances de dédicaces d'auteurs en vogue, la messe, les coloriages sur cahier de motifs, les thrillers américains, l'abaya et le voile ; les best-sellers de la saison des grands auteurs célèbres, les premier roman qui font le buzz ; la scène du petit écrin contenant la belle bague que le beau mec offre à la femme qu'il drague au cours d'un dîner aux chandelles ; les fautes d'orthographe et de grammaire (en dépit de mes néologismes et de mes formules langagières et de parfois, une grammaire que j'invente) ; la gastronomie sauçarde, les escargots et les cuisses de grenouille (mais je boufferais bien des fricassées d'insectes) ; je ne sais pas faire la différence entre un pinard à 8 euro et un autre pinard à 20 euro ; je ne veux pas être enterré à l'église, je veux aller au paradis des minous, des toutous et des humains pelés ; je veux squatter sans limite les murs du Web...

    Et merde à la bien pensance consensuelle qui schmucte la crevette sexe sale, et pour finir (enfin pour "clore sans clore") je rabats toujours la cuvette des WC où que je pose mon postérieur chez moi, chez quelqu'un ou dans des chiottes publiques - soit dit en passant j’ai une préférence pour les WC à la turque…



     

  • Difficultés rencontrées par les restaurants du cœur

    Pour quelles raisons en France, se pose actuellement en cette fin d’été 2023, la question des ressources, tant en argent qu’en intervenants (des bénévoles) des Restaurants du Cœur ?

    Seraient elles dues, les difficutés présentes, en matière de ressources financières et de présence d’intervenants bénévoles, que rencontrent les Restaurants du Cœur et les associations humanitaires œuvrant afin de réduire la précarité et la misère de millions de gens en France, au fait qu’en France existent, contrairement à bien d’autres pays, des aides sociales (RSA, Allocations, etc.)… Et qu’en conséquence, les gens, en général comptant sur la « générosité » d’un « état providentiel », n’auraient plus à se préoccuper eux – mêmes d’aider les démunis ?

    Il est cependant tout à fait évident qu’avec des revenus de RSA (575, 52 euro pour une personne adulte de plus de 25 ans) plus des revenus d’autres aides sociales ou allocations, « ça aide tout juste pour ne pas mourir de faim (et encore)… Bien sûr sans ces revenus là, ça serait bien pire…

    Dans les pays (surtout et essentiellement aux USA, Canada, en Europe) où n’existent pas ou très peu d’aides sociales, ce sont les associations humanitaires (de charité publique, et souvent, de religieux) qui permettent aux démunis de se nourrir et de se fournir en produits de première nécessité… Et dans ces pays les associations ont davantage d’intervenants qu’en France, peut-être mieux organisées (la nécessité faisant loi)…

    De là à dire « qu’il faudrait réduire voire supprimer les aides sociales en France » pour que s’organise à plus grande échelle et avec plus d’argent, plus d’intervenants, un système de protection sociale axé sur les associations humanitaires et le souci de chacun »… ça serait vite dit !

    Les individualismes, les égoïsmes, la préoccupation de soi et de ses proches avant tout, tout cela « bien enraciné » depuis de nombreuses années en France… Auraient pour conséquence, si l’on réduisait ou supprimait les aides sociales, de ne pas forcément motiver les gens à se solidariser davantage, à s’organiser en associations qui prendraient en charge avec plus d’argent reçu, avec plus d’intervenants, que ce que l’on constate actuellement…

    D’où la nécessité du maintien des aides sociales…

    « Cassons » ce « mythe » du type qui arrive en BMW, au chômage et ne recherchant guère un emploi, se présentant au Restaurant du Cœur, et qui, dans la file d’attente grille la moitié d’un paquet de clopes à 15 euro le paquet ! … (ça c’est du RN et de la morale de bien pensance tout craché… Mais aussi c’est un « mythe » que dénoncent les partis de gauche et qui, hélas il faut aussi le dire est « parfois un peu vrai quoiqu’un peu trop caricaturé »…

    Soit dit en passant, quand je « file » une pièce de 2 euro à un SDF devant l’entrée d’un Intermarché, j’estime que le type il a le droit de faire ce qu’il veut des 2 euro que je lui file… Y compris de s’acheter un magnum de blanc à 12 degrés ou un paquet de clopes… Et… « si ça vous choque, eh bien tant pis » !